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Capitalisez sur l'expérience de maitres dans l'art de l'hypercroissance :
Method to scale est le podcast qui donne la parole à celles et à ceux qui ont réussi un passage à l'échelle avec leur projet. 

Au cours d'échanges à quatre voix, Julien Laure, Partner chez Theodo, Julien Masson, Fondateur de xMakers et Aymeric Marraud des Grottes, Partner chez Raise vous proposent de revenir sur trois étapes de leur parcours :
- l'amorçage (le 0 à 1)
- le scale (le moment de passage à l'échelle)
- l'étape d'après : ce qu'il reste à cracker pour aller encore plus loin

Notre objectif : vous partager leurs méthodes et vous permettre de gagner du temps dans vos projets professionnels ou personnels.

Bonne écoute !

N'hésitez pas à nous retrouver sur notre site : https://www.methodtoscale.fr/
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Method to scale Julien Masson, Julien Laure, Aymeric Marraud des Grottes

    • Zaken en persoonlijke financiën

Capitalisez sur l'expérience de maitres dans l'art de l'hypercroissance :
Method to scale est le podcast qui donne la parole à celles et à ceux qui ont réussi un passage à l'échelle avec leur projet. 

Au cours d'échanges à quatre voix, Julien Laure, Partner chez Theodo, Julien Masson, Fondateur de xMakers et Aymeric Marraud des Grottes, Partner chez Raise vous proposent de revenir sur trois étapes de leur parcours :
- l'amorçage (le 0 à 1)
- le scale (le moment de passage à l'échelle)
- l'étape d'après : ce qu'il reste à cracker pour aller encore plus loin

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    #52 - Les plans d'architecte générés par l'IA - Avec Chloé Martinot, CEO Mesetys

    #52 - Les plans d'architecte générés par l'IA - Avec Chloé Martinot, CEO Mesetys

    Dans cet épisode nous avons eu le plaisir de recevoir Chloé Martinot, co-fondatrice et co-CEO de Mesetys.

    Après des années chez ManoMano, Chloé co-créé un premier studio d'architecte d'intérieur avec Mayssa El Fakir, architecte d'intérieur diplômée de Camondo, et se rendent compte de la charge mentale des architectes qui doivent faire face à de nombreux retours de leurs clients très exigeants et émotionnels. Elles dressent un premier constat : les plans d'architecte ne sont pas à chaque fois des prototypes. De nombreuses choses sont réutilisables. À l'époque en 2018, quelques algorithmes exécutent très bien, mais ne créent pas. On ne parle pas encore d'IA etc. L'associée de Chloé est convaincue du besoin métier, Chloé est plus sceptique sur la solution technique. Les deux associées se rendent sur des chantiers, pour se faire un avis. Elles se rendent compte qu'il y a un palier de 4-5 chantiers, après lequel la gestion des équipes est très dure. Les informations transitent entre sms, whatsapp, pinterest, des carnets pour chaque projet... très loin du scale. En plus de cela, les architectes peinent à être rentables en Europe. Chloé et son associée se demandent : comment peut-on faire de meilleurs plans ? Pendant 4 ans, sur 120 logements, Chloé et son associée listent les règles pour avoir un bon plan : elles font un standard du bon plan d'architecte. Un CTO les rejoint pour construire une plateforme et un algorithme, en expliquant pourquoi ce sont des bons plans et toutes les versions passées de ces plans, ainsi que les commentaires laissés par les architectes, les clients sur ces plans. Elles nourrissent ainsi l'algorithme. Pendant le COVID, un hôpital en Chine est créé en 10 jours. Les premiers algorithmes de construction se mettent en place. Toute l'équipe de Mesetys fait des recherches pour obtenir les plans. Le métier d'architecte est encore peu digitalisé : comment convaincre les architectes de ce changement ? Le pitch est simple : "On est du métier, on vous permet de gérer plus de 5 projets en même temps" "Vous en avez marre de recevoir des Whatsapp le dimanche soir car votre client vous notifie de changement sur des plans, on vous met à disposition une plateforme où ils annotent directement". Les objections des clients : les clients sont parfois âgés, comment les faire venir ? Le contre argument phare : la digitalisation est en marche, on prend le train ou pas, vos clients c'est pareil. L'objectif de Mesetys : devenir l'outil du lundi matin de toutes les agences d'archi et à terme, devenir le réflexe pour analyser des plans avant de décider de vivre quelque part. 

    Bonne écoute !

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    • 39 min.
    #51 - Valoriser le processus plutôt que l'objectif final - Avec Patrick Smarzynski, CEO Glopal

    #51 - Valoriser le processus plutôt que l'objectif final - Avec Patrick Smarzynski, CEO Glopal

    Aujourd’hui, on a le plaisir de recevoir Patrick Smarzynski, co-fondateur de Webinterpret, une plateforme pour aider les e-commerçants présents sur les plateformes types Amazon, à se déployer à l’international (gestion des taux de change, des tailles etc) et Glopal qui se concentre sur les défis transfrontaliers avec de la vente directe.

    Les deux entreprises rassemblent 220 personnes, et ils ont levé 20 millions d’euros en série A en 2023. 

    À l’origine en 2007, une première solution permet à deux protagonistes ne parlant pas la même langue, de converser à distance chacun dans sa langue d’origine, et des interprètes s’occupent à distance de traduire, avec tout un système de routage des voix. Les premiers clients font partie de leur réseau d’école. Mais le peu de récurrence des utilisateurs les poussent à pivoter. Ils se tournent vers le e-commerce et dénichent leurs premiers clients. Le product market fit est trouvé. 

    E-bay les contacte : ils commencent à leur référer des clients. Trop de clients. Tous les indicateurs sont au rouge : le support, les sales. Il faut recruter des gens. Ils se basent à Varsovie, où le marché du travail est très flexible et leur permet de recruter rapidement des talents. 

    La différence entre les deux business : 
    Webinterpret : de nombreux petits clients, le coût d’acquisition client est assez faible car développement avec des partenaires, grosse attention produit avec des process ultra-automatisés pour gérer des millions de petits clients. 30% de rentabilité, grâce à un LBO ils créent du capital pour créer… Glopal.
    Glopal : ils se rendent compte que des clients qui vendent en direct ont besoin d’une solution pour vendre à l’international, notamment Tag Heuer, Dior. Le focus devient un focus sales. Ils s’entourent de super commerciaux, des "top guns"
    Patrick nous partage ses différents apprentissages : le product market fit, le channel fit : comment bien vendre en fonction des différents canaux. Comment tester rapidement ses solutions. Le marché va de plus en plus vite, l’avantage concurrentiel est fragile, il faut itérer et c’est le grand paradigme entre les process lors du scale et l’agilité. 

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    • 40 min.
    #50 - Les gros risques cyber que les entreprises ignorent - avec Jules Veyrat, CEO Stoïk

    #50 - Les gros risques cyber que les entreprises ignorent - avec Jules Veyrat, CEO Stoïk

    Jules Veyrat a cofondé Stoïk en 2021, la première insurance tech spécialisée sur le risque cyber en Europe, alors que seulement 5% des PME sont couvertes en Europe contre le risque cyber et qu’elles sont des proies faciles de cyber-attaques. A noter, le coût médian d'une cyber-attaque est de 50 000€.
    Après 4 ans à travailler chez Philosophie Magazine, Jules se tourne vers le risquer cyber après de nombreuses rencontres avec des chefs de PME. C’est l’écart entre le risque cyber et la protection cyber qui lui donne envie de s’attaquer à ce volet. Le risque cyber touche tout le monde : même un vendeur de clarinette. Plus de la moitié des attaques qui réussissent sont sur des PME, qui ne connaissent pas grand chose en cyber et n'ont pas les moyens de recruter quelqu’un. Alors que “ça n’arrive pas qu’aux autres”.
    Son produit : vendre de l’assurance et des logiciels de cybersécurité en plus pour que ses assurés aient la maitrise du risque.
    Le plus gros challenge au début : trouver des partenaires assureurs et réassureurs de confiance, en leur disant : je trouve les assurés, à quel prix, quelles conditions, quelle gestion, mais c’est toi qui paye. Ils s’associent à Tokio Marine, Swiss Re par exemple.

    En France en 2021, le ratio sinistres / primes est de 167% : les assureurs ont payés 67% de plus en sinistres qu’ils n’ont collectés en prime sur le risque cyber. Chez Stoik, pour ne pas être sur ce ratio, plusieurs moments pour maitriser le risque :
    la souscription : qui tu acceptes et à quel prix. Plusieurs outils sont disponibles pour sélectionner.
    la prévention avec des logiciels de sécurité
    gestion de crise et vitesse d’intervention

    Sur le scale, les premiers candidats sont au départ démarchés en direct. Mais il manque un tiers de confiance. Stoïk se tourne alors vers des courtiers en assurance dont le premier, Olivier Boulard. Ce canal est exclusif : il faut à 100% se reposer sur les courtiers. Quand des banques en parallèle leur envoie des leads, les courtiers se disent : on est ensemble ou concurrent ? Le challenge : animer les courtiers. Dans chaque région un référent local, qui a son réseau de courtiers locaux.

    La recherche de nouveaux marchés et l'expansion en Allemagne. Pour s'exporter, il faut des country managers, qui ont une expertise dans l’industrie et l’assurance. On leur demande de recruter une quinzaine de profils en quelques mois, des courtiers avec 10-15 ans d’expérience. Les customer facing, en face des courtiers doivent inspirer la confiance.
    Ses concurrents : les assureurs traditionnels qui ont déjà des relations avec ces courtiers sur d’autres lignes d’assurance et peuvent mettre de la pression.

    Aujourd'hui ils sont 60, veulent se développer à l'international, et développer leur expertise sur l'assurance, la fraude.

    Bonne écoute !

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    • 41 min.
    #49 - De 0 à 4 milliards de CA, l’ascension du leader mondial français des centres d’appels - avec Arnaud de Lacoste, CEO de NanoTrust

    #49 - De 0 à 4 milliards de CA, l’ascension du leader mondial français des centres d’appels - avec Arnaud de Lacoste, CEO de NanoTrust

    Dans ce nouvel épisode Method to Scale, on a eu le plaisir de recevoir Arnaud de Lacoste, co-fondateur de Acticall Sitell qui est devenue en 20 ans l’un des leaders mondiaux de centre d’appels avec 4 milliards de chiffres d’affaires. Quelques chiffres sur cette belle réussite : 1 appel sur 3 du service client EDF et 1 sur 5 pour Orange passent par Acticall Sitell.

    La genèse de cette Histoire : les 3 cofondateurs réalisent une première mission pour Gaz de France dans les années 90 via la Junior Entreprise de leur école : 3000 entreprises sont ciblées et appelées via des appels sortants. Ils achètent une technologie pour faire des appels sortants de masse, de manière prédictive, et découvre que cette technologie fait du reverse, et qu'il est possible de faire des études via des appels entrants. 

    Arnaud revient sur la phase de croissance organique qui leur faisait atteindre un plateau, à un chiffre d'affaire de 11 millions. Ils sont obligés de passer par des sources de croissance externe pour dépasser ce plateau. La 1ère phase de croissance externe est le rachat de l'ancien centre d’appel d’Athos : Vitality Com (70 millions de CA, qui perdait 11 millions d’euros par an). Après une phase de restructuration, ils atteignent 66 millions de CA, le top 5 français et deviennent éligibles aux grands appels d’offres. Commencent alors 3 années à plus de 30% de croissance...

    Après ce premier plateau, vient la conquête de l'international. L’aventure commence au Brésil : from scratch. 2 ans plus tard 1000 salariés, mais 12 millions d’euros de perte. Une volonté d'acheter à la maille continentale qui se concrétise avec le rachat de Side Tell présent dans 28 pays. C'est le début de l'aventure américaine, avec une semaine sur deux passée à Nashville. Les associés se répartissent les géographies, en 2 mois les 90 sites ont été visités.

    A côté de sa grande success story, Arnaud nous donne son avis sur Open AI, l’explosion du fake et les défis associés : dans les années à venir, on ne croira plus une image un texte une vidéo sans tampon de l'émetteur. et la blockchain est l'antidote absolue, alors pourquoi personne ne prend ce créneau ?

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    • 54 min.
    #48 - Fonder une société de courtage en immobilier post crise des subprimes - avec Ludovic Huzieux, co-fondateur et CEO de Artemis Courtage

    #48 - Fonder une société de courtage en immobilier post crise des subprimes - avec Ludovic Huzieux, co-fondateur et CEO de Artemis Courtage

    En 2009, les 6 cofondateurs, qui se sont rencontrés pendant leurs études, sont à l’époque courtiers en immobiliers. La crise des subprimes les frappe de plein fouet et leur laisse du temps pour penser à monter leur société de courtage en immobilier : une société de service, qui met en relation des clients qui cherchent des crédits immobiliers et les banques qui ont le monopole du crédit en France.

    Un 0 to 1 de minimisation des coûts lié à une volonté d’avoir un fort taux de transformation. Les cofondateurs se rapprochent des indicateurs d’affaires (notaires, agents immobiliers). dès le départ très centré client, sur la qualité et la satisfaction. La moitié des dossiers doit provenir de clients déjà financés ou famille amis… pour avoir un faible taux d’acquisition et un fort taux de transformation. 10-15% des affaires d’Artemis Courtage viennent des canaux d’acquisition de lead / outsourcing. Le taux de transformation de ces clients n’est pas le même, la qualité des dossiers pas le même, on arrive sur un marché de masse.

    Lors de l’accélération, 2 leviers ont fait la différence : des standards de qualité pour gérer des produits techniques et un accompagnement sur mesure. Délivrer de la qualité est un levier du scale, si tu veux faire de la croissance organique. La qualité à tous les étages du business :
    Pour arriver à offrir une qualité de service homogène, avec un tronc commun d’expertises et de connaissances :
    choix d’un modèle de salariés plutôt que d’embaucher des commerciaux, pour en faire des conseillers avec un grand C
    mise en place de la Artemis Academy : une école de formation avec 6-7 formations par an de 10-15 recrues à chaque fois

    Mettre la tech au service des clients et des partenaires bancaires : rappel des rendez-vous, upload des pièces. La tech n’est pas utilisée en amont lors de l’acquisition, mais plus sur le métier des clients et des équipes internes, pour consacrer plus de temps à l’accompagnement des clients.

    Lors du développement hors frontière une première voie apparait : le réseau de franchises. Aujourd’hui sur une centaine de points de vente, il reste 8 franchises. Un modèle qui n’allait pas forcément assez vite :
    autant de temps investit pour des redevances de 6 à 8%

    Dernièrement, après une année compliqué sur le marché du crédit immobilier, une diversification des offres s’impose : collecte d’épargne, gestion de fortunes, assurances… que ce soit produit placement ou produit assurance, Artemis Courtage souhaite répondre à tous les besoins de ses clients sur la verticale de l’immobilier.
    Le end game : verticaliser tout le service qui va autour d’un achat immobilier : pas uniquement le crédit. Il y a tellement à faire sur cette verticale immobilière.

    Bonne écoute !

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    • 46 min.
    #47 - Résoudre les problèmes dans les usines sans arrêter la chaine de production - avec Octave Lapeyronie, co-fondateur et CEO de Fabriq

    #47 - Résoudre les problèmes dans les usines sans arrêter la chaine de production - avec Octave Lapeyronie, co-fondateur et CEO de Fabriq

    Tout commence en 2019, Octave Lapeyronie et François Déchelette sont tous les deux à la recherche d’une idée de boite. Ils rencontrent Renan Devillères, ingénieur reconverti dans le capital risque chez OSS Ventures, qui leur partage une vision très forte de digitalisation de l’industrie.

    Les deux associés se lancent dans un tour de France des usines. Le constat est marquant : des usines hyper modernes, sophistiquées, avec beaucoup d’investissement sur l’automatisation, les machines, et un énorme décalage avec les outils dédiés aux humains : des post its sur des tableaux blancs…

    Ils se lancent dans un premier produit : un prototype gratuit construit en no code. Dans cet airtable sont proposés un outil d’audit pour cibler les problèmes, un outil de correction et un outil pour rendre transverses les solutions. 3 clients testent le produit, et partagent leurs retours. C’est le début de la seconde phase, la construction du MVP rythmé par de nombreuses itérations avec ces mêmes 3 clients. Octave se lance dans la partie front end. Les clients sont séduits par ce nouveau produit.

    De nombreux cas d’usages couvrent aujourd’hui tous les problèmes pouvant être rencontrés dans les usines. Pour couvrir ces différentes fonctionnalités rapidement, la construction du départ a été très rapide. Or certains choix de data models / produits se sont révélés être des plafonds de verre, et le stock de bugs grandissant…
    Pour réduire ce trade off, mise en place d’un framework basé sur les 5 sources de valeur pouvant être apportées par un produit :
    valeur commerciale pour closer des deals facilement
    valeur marché : pour s’ouvrir à de nouveaux clients
    valeur client : les clients restent chez Fabriq
    valeur interne : qu’est ce qui va me faire économiser du temps ajd et demain ? tiny wins avec haut taux de rendement pour donner l’impression que ça bouge

    L’ADN de Fabriq, une forte priorisation des chantiers menés en interne, et une ligne de conduite : on ne dépense pas d’argent pour régler un problème : on le résout par des changements à court terme, puis avec de l’argent à long terme. Globalement, les associés ne prônent pas l’hyper croissance. Dans une organisation industrielle large : le défi est de ne pas ré inventer la roue. Le défi de Fabriq : transversaliser les connaissances. Leur vision du terrain est basée sur le lean, l’autonomie terrain, qui s’oppose à la vision fordiste avec des tâches très séparées. Tout le monde sur le terrain peut répondre aux problèmes sans arrêter la chaine de production entière.

    Bonne écoute !

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    • 32 min.

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