49 min

:12 [NEXT40] Part 1 - Olivier Goy - October - La fortune sourit aux audacieux 40 nuances de Next - les champions de la French Tech

    • Empreendedorismo

Faut-il faire les meilleures écoles pour réussir dans la vie ? Pas toujours. Heureusement, il existe de nombreuses voies pour s’accomplir. L’entrepreneuriat en est une.
Entrepreneur récidiviste, Olivier Goy, co-fondateur et CEO d’October signe ce 12eme épisode de 40 nuances de Next.
Comme à l’accoutumée, dans la première partie, nous plongeons dans son business. Olivier nous dit tout des dessous du changement de nom de l’entreprise. Pour arriver de Lendix à October il lui a fallu passer par quelques « galères ».
Implantés dans 5 pays, les dirigeants d’October ont pu voir de près comment les différents Etats ont réagi pour aider leurs entreprises et leurs entrepreneurs. Olivier nous décrypte les différents « PGE » et nous raconte comment ils sont montés au créneau auprès de Bercy pour obtenir l’accréditation qui leur donnera, à ceux aussi, la possibilité de les délivrer en France. 
Ce podcast est aussi l’occasion de revenir sur certains débats : les rachats de nos fintech arrivent-ils trop tôt dans leur développement ? Doit-on plutôt se désoler de voir si peu de cession en France ?
Puis c’est l’homme derrière cette réussite du Next 40 qui se confie à notre micro : un passionné de sport de montage, gros consommateur d’informations et de podcasts, addict à son téléphone. On reviendra sur la folie d’entreprendre à 26 ans quand on est tout à fait indestructible et qu’on ne connait pas les dangers vs entreprendre à 40 ans, conscients des dangers et ayant la possibilité de s’appuyer sur son réseau et sa crédibilité pour aller plus vite.
Ce sont la discipline et les rituels qui font aussi la réussite des dirigeants : Olivier nous racontera quelques-uns de ses rituels.
On découvre sa carte blanche, dédiée à la fondation qu’il a co-créé avec son épouse, Virginie Goy, en décembre dernier : Phosphore Food. Ou comment l’art se met au service des plus démunis.
Enfin, nous terminerons cet épisode par l’interview de la pétillante Maryline Perenet, l’incroyable fondatrice de Digit’Owl qui démocratise le code à l’école et ce, sans écran !
 


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Faut-il faire les meilleures écoles pour réussir dans la vie ? Pas toujours. Heureusement, il existe de nombreuses voies pour s’accomplir. L’entrepreneuriat en est une.
Entrepreneur récidiviste, Olivier Goy, co-fondateur et CEO d’October signe ce 12eme épisode de 40 nuances de Next.
Comme à l’accoutumée, dans la première partie, nous plongeons dans son business. Olivier nous dit tout des dessous du changement de nom de l’entreprise. Pour arriver de Lendix à October il lui a fallu passer par quelques « galères ».
Implantés dans 5 pays, les dirigeants d’October ont pu voir de près comment les différents Etats ont réagi pour aider leurs entreprises et leurs entrepreneurs. Olivier nous décrypte les différents « PGE » et nous raconte comment ils sont montés au créneau auprès de Bercy pour obtenir l’accréditation qui leur donnera, à ceux aussi, la possibilité de les délivrer en France. 
Ce podcast est aussi l’occasion de revenir sur certains débats : les rachats de nos fintech arrivent-ils trop tôt dans leur développement ? Doit-on plutôt se désoler de voir si peu de cession en France ?
Puis c’est l’homme derrière cette réussite du Next 40 qui se confie à notre micro : un passionné de sport de montage, gros consommateur d’informations et de podcasts, addict à son téléphone. On reviendra sur la folie d’entreprendre à 26 ans quand on est tout à fait indestructible et qu’on ne connait pas les dangers vs entreprendre à 40 ans, conscients des dangers et ayant la possibilité de s’appuyer sur son réseau et sa crédibilité pour aller plus vite.
Ce sont la discipline et les rituels qui font aussi la réussite des dirigeants : Olivier nous racontera quelques-uns de ses rituels.
On découvre sa carte blanche, dédiée à la fondation qu’il a co-créé avec son épouse, Virginie Goy, en décembre dernier : Phosphore Food. Ou comment l’art se met au service des plus démunis.
Enfin, nous terminerons cet épisode par l’interview de la pétillante Maryline Perenet, l’incroyable fondatrice de Digit’Owl qui démocratise le code à l’école et ce, sans écran !
 


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