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{EXP#4} - Guérir son masculin intérieur Cosmic Love

    • Самосовершенствование

J’ai une confiance inouïe en la Vie et je me sens et je me sais guidée et protégée. Depuis plusieurs mois j’avais plein de raisons valables pour justifier la baisse de mon chiffre d’affaires et de mes revenus en général. Jusqu’à être en colère d’être la seule à gagner de l’argent pour la famille. Je sais depuis des années les croyances et la sensation qui me pèse quand je pense à cela. C’est un stress qui m’écrase et me fige.

Sauf que. Mettre à jour ses pensées ne suffit pas à les transformer. Quoi qu’en dises l’industrie du coaching qui veut te rendre millionnaire. Et rapidement s’il te plait.

Un proverbe dit : prie dieu, mais attache ton chameau. Il y a une blague aussi avec un rabin qui refuse de monter dans un canot de sauvetage et qui attend sur le toit de sa maison inondée que Dieu le sauve, puisqu’il l’a prié toute sa vie. Arrivé au paradis il est en colère contre Dieu qui lui répond : je t’ai envoyé 3 canots, tu n’es pas monté dedans, je ne peux pas faire mieux!

Alors oui j’ai confiance en la vie. A tel point que je me suis retrouvée dans une situation financière difficile. Mais pourquoi?

Pour choisir réellement de guérir mon masculin. Celui qui fait ce qu’il faut faire. Sans se poser de questions. Sans rechigner. Sans faire entrer ses émotions en ligne de compte.

Mais ça je m’en suis rendue compte seulement quelques semaines après.

Je te raconte l’histoire!

En juin dernier j’avais postulé à un job de vendeuse, parce qu’il était proche de chez moi, seulement à 20 ou 30% et surtout par peur de ne pas réussir à maintenir mon chiffre d’affaires avec mon activité. Et puis aussi je sentais venir intérieurement une immense vague de pause que je n’allais pas pouvoir refuser. Et puis, juste avant que ma demande n’aboutisse, j’ai rappelé le patron du shop pour lui dire que je n’étais plus à la recherche d’un emploi.

C’était très clair en moi que ce n’était pas une obligation de pendre ce poste. Que je pouvais avoir foi en l’Univers, que j’étais protégée.

Et c’est vrai.

Mais peut être pas dans les détails et la forme que je voulais.

Début juillet je suis envahie par ce besoin d’arrêter de publier et de penser à mon entreprise. Qui ne fonctionne pas encore seule pour le chiffre d’affaires mininum dont j’ai besoin; c’est à dire que j’avais besoin de mettre de l’énergie et des efforts pour créer des résultats. Mais je sens qu’un burn-out me guette et que c’est le moment de faire autrement. J’ai connu le burn-out qui met le cerveau en surchauffe et le corps en immobilisation. Je ne veux pas recommencer, alors j’écoute.

J’écoute et en même temps les difficultés financières se font sentir de plus en plus sérieusement. Des factures que je ne peux pas payer en temps et en heure. De l’argent que j’emprunte aussi. Il est temps de faire face à la situation telle qu’elle est pour canaliser mon énergie là où c’est nécessaire.

J’ai une confiance inouïe en la Vie et je me sens et je me sais guidée et protégée. Depuis plusieurs mois j’avais plein de raisons valables pour justifier la baisse de mon chiffre d’affaires et de mes revenus en général. Jusqu’à être en colère d’être la seule à gagner de l’argent pour la famille. Je sais depuis des années les croyances et la sensation qui me pèse quand je pense à cela. C’est un stress qui m’écrase et me fige.

Sauf que. Mettre à jour ses pensées ne suffit pas à les transformer. Quoi qu’en dises l’industrie du coaching qui veut te rendre millionnaire. Et rapidement s’il te plait.

Un proverbe dit : prie dieu, mais attache ton chameau. Il y a une blague aussi avec un rabin qui refuse de monter dans un canot de sauvetage et qui attend sur le toit de sa maison inondée que Dieu le sauve, puisqu’il l’a prié toute sa vie. Arrivé au paradis il est en colère contre Dieu qui lui répond : je t’ai envoyé 3 canots, tu n’es pas monté dedans, je ne peux pas faire mieux!

Alors oui j’ai confiance en la vie. A tel point que je me suis retrouvée dans une situation financière difficile. Mais pourquoi?

Pour choisir réellement de guérir mon masculin. Celui qui fait ce qu’il faut faire. Sans se poser de questions. Sans rechigner. Sans faire entrer ses émotions en ligne de compte.

Mais ça je m’en suis rendue compte seulement quelques semaines après.

Je te raconte l’histoire!

En juin dernier j’avais postulé à un job de vendeuse, parce qu’il était proche de chez moi, seulement à 20 ou 30% et surtout par peur de ne pas réussir à maintenir mon chiffre d’affaires avec mon activité. Et puis aussi je sentais venir intérieurement une immense vague de pause que je n’allais pas pouvoir refuser. Et puis, juste avant que ma demande n’aboutisse, j’ai rappelé le patron du shop pour lui dire que je n’étais plus à la recherche d’un emploi.

C’était très clair en moi que ce n’était pas une obligation de pendre ce poste. Que je pouvais avoir foi en l’Univers, que j’étais protégée.

Et c’est vrai.

Mais peut être pas dans les détails et la forme que je voulais.

Début juillet je suis envahie par ce besoin d’arrêter de publier et de penser à mon entreprise. Qui ne fonctionne pas encore seule pour le chiffre d’affaires mininum dont j’ai besoin; c’est à dire que j’avais besoin de mettre de l’énergie et des efforts pour créer des résultats. Mais je sens qu’un burn-out me guette et que c’est le moment de faire autrement. J’ai connu le burn-out qui met le cerveau en surchauffe et le corps en immobilisation. Je ne veux pas recommencer, alors j’écoute.

J’écoute et en même temps les difficultés financières se font sentir de plus en plus sérieusement. Des factures que je ne peux pas payer en temps et en heure. De l’argent que j’emprunte aussi. Il est temps de faire face à la situation telle qu’elle est pour canaliser mon énergie là où c’est nécessaire.

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