59 min

Quand ça chamboule tout 36 solutions contre l'épuisement

    • Mental Health

Cette semaine comme les autres, j’ai à cœur de transmettre de l’espoir, de la bienveillance et des pistes de ressources. En situation de crise on est tous à flux tendu, on est peut être déjà éreinté, on part au quart de tour à la moindre étincelle, bref nos émotions ont souvent le dessus.







Je n’ai toujours pas la solution idéale et générale puisque cela n’existe pas, ou qu’il en existe parfois 36 et que cela dépend de qui nous sommes et de ce que nous vivons.







Pour autant, je fais ma part comme le ferait le colibri de l’histoire (à voir en fin d’article). Dans ce que je transmets ici chacun de nous saura de quoi il pourra et voudra se saisir. On essayera ici de comprendre quel impact ce type de crise peut avoir sur notre psychisme, puis je vous laisserai piocher parmi quelques réflexions et techniques de bien-être.







Si l’article est trop long pour vous, écoutez le podcast ci-joint.





Comment une crise nous impacte





Une crise est définie en psychologie comme « un changement brusque et décisif dans le cours d’un processus » (Cf. biblio de fin d’article). Cela peut être, par exemple, une maladie individuelle ou une perte brutale, ou encore une crise d’ampleur générale comme l’effondrement d’une institution, une crise sanitaire, une guerre, etc… La crise est vécue comme un point de rupture et peut aussi être associée à la sensation d’une menace vitale. Cette sensation est différente d’une personne à l’autre.















Cette crise peut nous laisser quelques temps dans la sidération, comme sans mot et sans pensée. C’est une fois que l’on reprend nos esprits que l’on peut y reconnaitre la sensation de perturbation, le sentiment de dépression, etc…







Lorsqu’il y a crise, il y a aussi pour nous, mise en place de moyens d’actions visant à notre survie … ça vous dit quelque chose ? Lorsqu’on observe, soi ou les autres, ayant des comportements inhabituels et souvent démesurés (agressivité et assaut des magasins d’alimentation, …) faisant bondir notre représentation du civisme. Et oui, la crise induit en nous le déclenchement d’une alarme qui agit sur notre cerveau archaïque (reptilien) car la crise génère de l’angoisse.







Face à cette angoisse nous ne réagissons pas tous de la même manière. Pour éviter le chaos ce sont alors les ressources externes (environnement proches, êtres chers, institutions, société, … ) qui permettront de réguler les débordements.







La crise est difficile à vivre car nous sommes des êtres qui ne pouvons vivre sans équilibre. Tout bouleversement amène notre corps et notre cerveau à rechercher de l’équilibre en tout moment et pour cela nous allons puiser dans nos ressources internes et externes les moyens d’y arriver (physiologie, psychologie et sociologie).





C’est insupportable à vivre ?





Si la crise dépasse les limites de notre personne (par exemple lors d’une crise sanitaire ou sociale) alors nous avons la difficulté supplémentaire de ne pas trouver facilement nos repères directes ou nos ressources habituelles et le vécu en est alors décuplé.







Il nous faudra alors mobiliser les ressources adéquates pour réguler notre état et retrouver un certain équilibre. Pour cela, l’être humain a divers actions possible: modifier son comportement, utiliser ses systèmes de défenses (le recourt à l’humour et le fait de transformer la situation en occasion de créer du beau ou de s’ouvrir à l’altruisme en font partie), s’extraire de la situation, … dans tous les cas la crise amènera le changem...

Cette semaine comme les autres, j’ai à cœur de transmettre de l’espoir, de la bienveillance et des pistes de ressources. En situation de crise on est tous à flux tendu, on est peut être déjà éreinté, on part au quart de tour à la moindre étincelle, bref nos émotions ont souvent le dessus.







Je n’ai toujours pas la solution idéale et générale puisque cela n’existe pas, ou qu’il en existe parfois 36 et que cela dépend de qui nous sommes et de ce que nous vivons.







Pour autant, je fais ma part comme le ferait le colibri de l’histoire (à voir en fin d’article). Dans ce que je transmets ici chacun de nous saura de quoi il pourra et voudra se saisir. On essayera ici de comprendre quel impact ce type de crise peut avoir sur notre psychisme, puis je vous laisserai piocher parmi quelques réflexions et techniques de bien-être.







Si l’article est trop long pour vous, écoutez le podcast ci-joint.





Comment une crise nous impacte





Une crise est définie en psychologie comme « un changement brusque et décisif dans le cours d’un processus » (Cf. biblio de fin d’article). Cela peut être, par exemple, une maladie individuelle ou une perte brutale, ou encore une crise d’ampleur générale comme l’effondrement d’une institution, une crise sanitaire, une guerre, etc… La crise est vécue comme un point de rupture et peut aussi être associée à la sensation d’une menace vitale. Cette sensation est différente d’une personne à l’autre.















Cette crise peut nous laisser quelques temps dans la sidération, comme sans mot et sans pensée. C’est une fois que l’on reprend nos esprits que l’on peut y reconnaitre la sensation de perturbation, le sentiment de dépression, etc…







Lorsqu’il y a crise, il y a aussi pour nous, mise en place de moyens d’actions visant à notre survie … ça vous dit quelque chose ? Lorsqu’on observe, soi ou les autres, ayant des comportements inhabituels et souvent démesurés (agressivité et assaut des magasins d’alimentation, …) faisant bondir notre représentation du civisme. Et oui, la crise induit en nous le déclenchement d’une alarme qui agit sur notre cerveau archaïque (reptilien) car la crise génère de l’angoisse.







Face à cette angoisse nous ne réagissons pas tous de la même manière. Pour éviter le chaos ce sont alors les ressources externes (environnement proches, êtres chers, institutions, société, … ) qui permettront de réguler les débordements.







La crise est difficile à vivre car nous sommes des êtres qui ne pouvons vivre sans équilibre. Tout bouleversement amène notre corps et notre cerveau à rechercher de l’équilibre en tout moment et pour cela nous allons puiser dans nos ressources internes et externes les moyens d’y arriver (physiologie, psychologie et sociologie).





C’est insupportable à vivre ?





Si la crise dépasse les limites de notre personne (par exemple lors d’une crise sanitaire ou sociale) alors nous avons la difficulté supplémentaire de ne pas trouver facilement nos repères directes ou nos ressources habituelles et le vécu en est alors décuplé.







Il nous faudra alors mobiliser les ressources adéquates pour réguler notre état et retrouver un certain équilibre. Pour cela, l’être humain a divers actions possible: modifier son comportement, utiliser ses systèmes de défenses (le recourt à l’humour et le fait de transformer la situation en occasion de créer du beau ou de s’ouvrir à l’altruisme en font partie), s’extraire de la situation, … dans tous les cas la crise amènera le changem...

59 min