18 min

Comment être heureux, bordel ? Le Bonheur : mode d’emploi physiologique CourirUnTrail

    • Vildmarken

Vous vous êtes déjà demandé à quoi ça tenait, d’être heureux ?







Juste simplement, physiologiquement, biologiquement ?







Qu’est-ce qui fait que le singe sautillant dans notre cortex est happy, et nous laisse avec une agréable sensation de plénitude ?







À la fin de cet article, vous saurez. Et en plus, je vous donne en bonus la check-list qu’il vous faut !







Commet être heureux ?







En fait, c’est assez simple.







C’est assez simple, si on se rappelle que nous sommes des mammifères.







Le bonheur, le fait d’être heureux, n’a pas de définition pour notre corps.







C’est nous qui mettons une bonne couche de masturbations intellectuelles dessus.







Car quand on s’ennuie – ou que notre corps s’ennuie- on aime réfléchir, quitte à souffrir.







Réfléchir, c’est fléchir deux fois. Alain Damasio, La Zone du Dehors







Mais restez encore un peu avec moi, avant d’aller courir à nouveau, en ne pensant à rien.







Oui, faites une exception, réfléchissez sur votre bonheur.







Vous allez voir, on va trouver comment être heureux, simplement.







Comme être heureux, c’est trop intellectuel pour notre corps, je vais le dire différemment : il s’agit d’être cool, pépère, détendu, apaisé, en sécurité, et pourquoi pas avec la sensation d’avoir l’un ou l’autre papillon dans le ventre.







Être heureux comme un animal sauvage, sans prédateur à l’horizon.







Bref, être dans un de ces bons jours. Tous les jours.







Et pour ça, il suffit de revêtir notre tenue d’alchimiste.







Alchimiste de notre propre corps.







On va jouer avec les hormones.







Je vois à votre air suspicieux que vous êtes encore novice.







Je vous propose de commencer par manier seulement quatre hormones.







Ça vous va ? Quatre hormones sur la grosse cinquantaine qu’on pourrait utiliser, ça devrait le faire, non ?







J’ai confiance en vous, vous êtes fantastiques (oui, surtout toi!)







En plus, vous devez certainement déjà être un tant soit peu familiarisé avec nos hormones du jour : la dopamine, l’endorphine, l’ocytocine et la sérotonine.







Si ces hormones existent, comme tout dans notre corps, c’est simplement pour pouvoir survivre le mieux possible.







Mais comment savoir si on survit «le mieux possible» ?







Alors, là, on a un don hors du commun.







Si on survit « le mieux possible», alors, nous sommes récompensés par une sensation de plaisir.







Eh oui. Si on kiffe notre life, c’est plutôt bon signe.







Bon, je vous présente un peu plus en détail nos héroïnes du jour, les ingrédients magiques pour qu’on puisse exercer nos talents d’apprenti alchimiste :







* La dopamine : c’est le petit coup de boost qui signifie «mais oui, mon beau / ma belle, t’assures!». C’est elle qui est présente dès qu’on atteint un objectif, aussi petit soit-il. Vous aimez cocher une case dans votre To-Do-List ? C’est elle. Vous venez de recevoir une notification et c’est cool ? C’est elle. Votre montre vient de vous confirmer que ça fait deux heures que vous courez ? Oui, c’est encore elle. Elle est cool, la dopamine.







Mais elle ne fait pas le bonheur. Enfin, pas tout à fait.







* L’endorphine : C’est la dure à cuire. Ça fait mal,

Vous vous êtes déjà demandé à quoi ça tenait, d’être heureux ?







Juste simplement, physiologiquement, biologiquement ?







Qu’est-ce qui fait que le singe sautillant dans notre cortex est happy, et nous laisse avec une agréable sensation de plénitude ?







À la fin de cet article, vous saurez. Et en plus, je vous donne en bonus la check-list qu’il vous faut !







Commet être heureux ?







En fait, c’est assez simple.







C’est assez simple, si on se rappelle que nous sommes des mammifères.







Le bonheur, le fait d’être heureux, n’a pas de définition pour notre corps.







C’est nous qui mettons une bonne couche de masturbations intellectuelles dessus.







Car quand on s’ennuie – ou que notre corps s’ennuie- on aime réfléchir, quitte à souffrir.







Réfléchir, c’est fléchir deux fois. Alain Damasio, La Zone du Dehors







Mais restez encore un peu avec moi, avant d’aller courir à nouveau, en ne pensant à rien.







Oui, faites une exception, réfléchissez sur votre bonheur.







Vous allez voir, on va trouver comment être heureux, simplement.







Comme être heureux, c’est trop intellectuel pour notre corps, je vais le dire différemment : il s’agit d’être cool, pépère, détendu, apaisé, en sécurité, et pourquoi pas avec la sensation d’avoir l’un ou l’autre papillon dans le ventre.







Être heureux comme un animal sauvage, sans prédateur à l’horizon.







Bref, être dans un de ces bons jours. Tous les jours.







Et pour ça, il suffit de revêtir notre tenue d’alchimiste.







Alchimiste de notre propre corps.







On va jouer avec les hormones.







Je vois à votre air suspicieux que vous êtes encore novice.







Je vous propose de commencer par manier seulement quatre hormones.







Ça vous va ? Quatre hormones sur la grosse cinquantaine qu’on pourrait utiliser, ça devrait le faire, non ?







J’ai confiance en vous, vous êtes fantastiques (oui, surtout toi!)







En plus, vous devez certainement déjà être un tant soit peu familiarisé avec nos hormones du jour : la dopamine, l’endorphine, l’ocytocine et la sérotonine.







Si ces hormones existent, comme tout dans notre corps, c’est simplement pour pouvoir survivre le mieux possible.







Mais comment savoir si on survit «le mieux possible» ?







Alors, là, on a un don hors du commun.







Si on survit « le mieux possible», alors, nous sommes récompensés par une sensation de plaisir.







Eh oui. Si on kiffe notre life, c’est plutôt bon signe.







Bon, je vous présente un peu plus en détail nos héroïnes du jour, les ingrédients magiques pour qu’on puisse exercer nos talents d’apprenti alchimiste :







* La dopamine : c’est le petit coup de boost qui signifie «mais oui, mon beau / ma belle, t’assures!». C’est elle qui est présente dès qu’on atteint un objectif, aussi petit soit-il. Vous aimez cocher une case dans votre To-Do-List ? C’est elle. Vous venez de recevoir une notification et c’est cool ? C’est elle. Votre montre vient de vous confirmer que ça fait deux heures que vous courez ? Oui, c’est encore elle. Elle est cool, la dopamine.







Mais elle ne fait pas le bonheur. Enfin, pas tout à fait.







* L’endorphine : C’est la dure à cuire. Ça fait mal,

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