L'appel trop con RIRE ET CHANSONS FRANCE

A force de rajouter des places pour les enfants dans les crèches, elles manquent de plus en plus de personnel pour accueillir nos chers bambins, selon un rapport de l’Assemblée Nationale. Heureusement, les établissements Martin sont là pour redresser la situation. Seul problème dans l’appel trop con d’aujourd'hui, Martin n’est pas trop calé niveau agents d’accueil. Lui, son truc, c’est plus les agents de sécu.

Les syndicats de cheminots sont en pleine négociation sur une prime de 95 euros par jour travaillé pendant les JO. Dans l’appel trop con du jour, Martin a évidemment décidé de récupérer cette prime. Seul problème, il n’est absolument pas cheminot, mais c’est pas grave : Martin appelle un syndicat pour se magouiller une fausse carte professionnelle vite fait bien fait.

Martin nous sort encore une belle théorie à la limite du complotisme dans l’appel trop con d’aujourd’hui : le micro-ondes, que son boucher utilise, l’empêche de voir la télé correctement. Ne vous inquiétez pas, Martin appelle son boucher, ça va bien se passer. Ou pas.

Martin s’attaque à l’inflation dans l’appel trop con d’aujourd’hui. Je ne sais pas si vous avez vu passer l’info cette semaine, mais les prix ont encore bien grimpé cette année, avec des augmentations assez importantes sur la côte d’Azur, au niveau des boissons. Et c’est un gros problème pour Martin parce qu’ll fait ses courses dans le sud, mais qu’il voudrait les payer au prix de chez lui…Attention, Ambiance scandale au supermarché !

L’appel trop con du jour nous emmène dans le bureau de vote le plus ripou de France : le bureau de vote de Martinville. Pour faire baisser le taux d’abstention, Martin organise un grand trafic de cartes électorales, à un peu plus de 15 jours des élections européennes. Et ne vous inquiétez pas s'il a déjà revendu votre vote à quelqu’un d’autre : il peut toujours vous rattraper le coup, à condition que vous acceptiez, entre autres, de changer d’identité et de vous déguiser en Martine Martin…

Évolu'tif, imagina'tif, cap'tif...on l'a tous remarqué, les coiffeurs français aiment décliner le terme "tif" à l'infini, et parfois, c'est un problème : dans l'appel trop con d'aujourd'hui, Martin se rend compte que son nouveau salon de coiffure porte le même nom qu'un autre. Et évidemment, c'est l'autre qui doit changer de nom.