La revue de presse France Inter

durée : 00:05:48 - La revue de presse - par : Claude ASKOLOVITCH - Libération et le Monde nous présentent le rôtisseur de mots Redouane Bougheraba. Le Figaro madame est porté par la grâce et la force du sport -que menace un milliardaire partisan du dopage, croqué par les Echos. Libération raconte une gare de métro gorgée de symboles, masquée par la dissolution.

durée : 00:06:34 - La revue de presse - par : Claude ASKOLOVITCH - Society dit l'honneur des Indiens Lakotas et une statue de Crazy Horse qui sera un jour la plus grande du monde. Les sites du Parisien et de Ouest-France, disent la vie d'Angela, splendide mère et mendiante genevoise, tuée en Haute-Savoie. La Vie nous donne un chant choral autour du don d'organes.

durée : 00:06:14 - La revue de presse - par : Claude ASKOLOVITCH - Une fillette violée par des gosses de son âge parce qu'elle est juive -affaire révélée par le Parisien- dit notre époque où la barbarie renaît, quand l'adolescente de 1945 entrant en cinéma, qui serait Anouk Aimée, dite par Libération, symbolise l'espérance infinie d'après le fascisme...

durée : 00:05:58 - La revue de presse - par : Claude ASKOLOVITCH - ... qui raconte les "disciplines rares" de l'Université. Le Bien public raconte Arlette, chassée à 86 ans de la maison construite par son mari. L'Ardennais raconte Adeline qui passe son bac à 36 ans. Ouest-France et Libération racontent Fatoumata Kébé, astrophysicienne envolée de Noisy-le-Sec.

durée : 00:05:30 - La revue de presse - par : Claude ASKOLOVITCH - .Le Parisien dit les commotionnés de la dissolution. L'Equipe joue sur la langue pour positionner Thuram à la gauche de Mbappé. Le Figaro dit la sublime bande-son du Napoléon de Gance. Dans la Croix, Frédéric Joly nous adjure de prendre soin de nos mots, car la crise de la langue est politique.

durée : 00:05:41 - La revue de presse - par : Claude ASKOLOVITCH - Le calvaire de Sadek et de milliers d'Afghans, est raconté par le Nouvel Obs. Libération raconte des femmes de Sierra Léone abusée par de belles promesses, vendues comme esclaves au Koweit et ailleurs. Le Maine libre nous fair rêver avec les volants des bolides du Mans.