45 min

Valérie Pécresse parle aux Français du bout du Monde UFE Berlin

    • Sociedad y cultura

Les Français établis hors de France sont rivés sur les chaînes de télévision que l’on peut capter à l’étranger, sur les radios et, particulièrement, les webradios ou les sites Internet. Dire qu’ils se sentent concernés par cette élection présidentielle est rappeler une première évidence, la seconde est que, depuis trop longtemps, ces mêmes expatriés ont le sentiment d’être sinon oubliés, négligés voire abandonnés par le pouvoir politique. Ceci est particulièrement vrai, malheureusement, depuis 2012. 



Valérie Pécresse s’est donc adressée par visioconférence avec les Français de l’étranger : 1000 personnes (le maximum que Zoom puisse prendre en compte) ont pu ainsi participer en direct qui, connecté à son ordinateur, à sa tablette ou à son téléphone portable, pour entendre des réponses précises à des questions cruciales que se posent ces Français qui vivent et travaillent hors de France. 



Valérie Pécresse est donc la première à avoir montré son intérêt pour ces Français du bout du monde. Elle-même – tout comme Michel Barnier ou Ronan Le Gleut – a été une « expat » dans sa jeunesse. Valérie Pécresse, étudiante, a ainsi effectué un séjour au Japon et un stage à Moscou à l’ambassade de France. 



La candidate des Républicains à la Présidence de la République était ce mardi 16 février, aux côtés de Michel Barnier, ancien ministre des Affaires Étrangères et ancien commissaire européen en charge du Brexit, notamment, et du sénateur Ronan Le Gleut, Sénateur représentant les Français établis hors de France et secrétaire général adjoint des Républicains en charge des relations avec les mouvements politiques étrangers, également Secrétaire national de la fédération les Républicains des Français établis hors de France. 



Plus de 700 questions ont été adressées par courriel dans la semaine qui a précédé. Questions relatives à l’éducation, à la fiscalité, à la sécurité des ressortissants qui vivent dans des pays à risque, à la difficulté au quotidien qu’ont ces Français à trouver « un relai » au Consulat de France le plus proche. Une compatriote qui est établie à Seattle doit se rapprocher de San Francisco (4000 km). Les valises consulaires sont trop rares,
ne parlons pas des fonctionnaires disponibles pour faire des tournées consulaires ! 



Valérie Pécresse a bien sûr évoqué ce scandaleux décret gouvernemental en date du 30 janvier 2021, stipulant que « les Français résidant dans les autres pays que l’espace européen devaient désormais justifier d’un « motif impérieux » pour revenir en France ». 

Comme l’a rappelé François Barry Delongchamps, Président de l’Union des Français de l’Étranger, « j’ai compris que la France était en train de violer un droit fondamental, car nul ne doit être privé du droit de rentrer dans le pays dont il est le ressortissant. »[1]  



Cet ancien ambassadeur de France a été devant le Conseil d’État où il a obtenu gain de cause : le décret pris par le ministre de la Santé, Olivier Véran, a été annulé. Et désormais, tous les pays européens ont compris qu’ils ne pouvaient pas refuser davantage un de leurs ressortissants vivant hors de l’Union européenne. Il n’y a donc pas ou plus de Français de deuxième catégorie. Un magnifique combat livré par l’Union des Français de l’étranger ! 



Valérie Pécresse répondant à une question a repris à son compte la proposition de Loi du sénateur Le Gleut instaurant « un fonds de soutien d’urgence » pour les Français établis hors de France, particulièrement dans les zones à risque. Proposition, rappelons-le, qui a été votée à l’unanimité au Sénat et qui n’est même pas passée devant l’Assemblée Nationale suite au refus des députés LREM « élus de l’étranger ». Un comble !  



Ronan le Gleut avait proposé la création d’un fo

Les Français établis hors de France sont rivés sur les chaînes de télévision que l’on peut capter à l’étranger, sur les radios et, particulièrement, les webradios ou les sites Internet. Dire qu’ils se sentent concernés par cette élection présidentielle est rappeler une première évidence, la seconde est que, depuis trop longtemps, ces mêmes expatriés ont le sentiment d’être sinon oubliés, négligés voire abandonnés par le pouvoir politique. Ceci est particulièrement vrai, malheureusement, depuis 2012. 



Valérie Pécresse s’est donc adressée par visioconférence avec les Français de l’étranger : 1000 personnes (le maximum que Zoom puisse prendre en compte) ont pu ainsi participer en direct qui, connecté à son ordinateur, à sa tablette ou à son téléphone portable, pour entendre des réponses précises à des questions cruciales que se posent ces Français qui vivent et travaillent hors de France. 



Valérie Pécresse est donc la première à avoir montré son intérêt pour ces Français du bout du monde. Elle-même – tout comme Michel Barnier ou Ronan Le Gleut – a été une « expat » dans sa jeunesse. Valérie Pécresse, étudiante, a ainsi effectué un séjour au Japon et un stage à Moscou à l’ambassade de France. 



La candidate des Républicains à la Présidence de la République était ce mardi 16 février, aux côtés de Michel Barnier, ancien ministre des Affaires Étrangères et ancien commissaire européen en charge du Brexit, notamment, et du sénateur Ronan Le Gleut, Sénateur représentant les Français établis hors de France et secrétaire général adjoint des Républicains en charge des relations avec les mouvements politiques étrangers, également Secrétaire national de la fédération les Républicains des Français établis hors de France. 



Plus de 700 questions ont été adressées par courriel dans la semaine qui a précédé. Questions relatives à l’éducation, à la fiscalité, à la sécurité des ressortissants qui vivent dans des pays à risque, à la difficulté au quotidien qu’ont ces Français à trouver « un relai » au Consulat de France le plus proche. Une compatriote qui est établie à Seattle doit se rapprocher de San Francisco (4000 km). Les valises consulaires sont trop rares,
ne parlons pas des fonctionnaires disponibles pour faire des tournées consulaires ! 



Valérie Pécresse a bien sûr évoqué ce scandaleux décret gouvernemental en date du 30 janvier 2021, stipulant que « les Français résidant dans les autres pays que l’espace européen devaient désormais justifier d’un « motif impérieux » pour revenir en France ». 

Comme l’a rappelé François Barry Delongchamps, Président de l’Union des Français de l’Étranger, « j’ai compris que la France était en train de violer un droit fondamental, car nul ne doit être privé du droit de rentrer dans le pays dont il est le ressortissant. »[1]  



Cet ancien ambassadeur de France a été devant le Conseil d’État où il a obtenu gain de cause : le décret pris par le ministre de la Santé, Olivier Véran, a été annulé. Et désormais, tous les pays européens ont compris qu’ils ne pouvaient pas refuser davantage un de leurs ressortissants vivant hors de l’Union européenne. Il n’y a donc pas ou plus de Français de deuxième catégorie. Un magnifique combat livré par l’Union des Français de l’étranger ! 



Valérie Pécresse répondant à une question a repris à son compte la proposition de Loi du sénateur Le Gleut instaurant « un fonds de soutien d’urgence » pour les Français établis hors de France, particulièrement dans les zones à risque. Proposition, rappelons-le, qui a été votée à l’unanimité au Sénat et qui n’est même pas passée devant l’Assemblée Nationale suite au refus des députés LREM « élus de l’étranger ». Un comble !  



Ronan le Gleut avait proposé la création d’un fo

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