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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    Alice Ekman - Tik Tok: le cheval de Troie de la Chine

    Alice Ekman - Tik Tok: le cheval de Troie de la Chine

    C dans l'air l'invitée du 20 mai 2024 : Alice Ekman, analyste en charge de l'Asie à l'Institut d'études de sécurité de l'Union européenne

    Le gouvernement français a pris une décision inédite dans une démocratie occidentale. Mercredi dernier, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé une série de mesures afin de rétablir l'ordre en Nouvelle-Calédonie après 3 jours d’affrontements. L'état d'urgence y a été décrété et l’accès au réseau social chinois TikTok, largement utilisé par les émeutiers, a été interdit.


    Aux États-Unis aussi la pression est montée sur TikTok. Le Sénat américain a adopté le 23 avril une loi qui oblige la plateforme à couper ses liens avec sa maison mère, ByteDance, et plus largement la Chine, s’il ne veut pas être interdit dans le pays.


    Alice Ekman est spécialiste de la Chine, analyste responsable de l’Asie à l’Institut d’études de sécurité de l’Union européenne et auteure de "Chine-Russie. Le grand rapprochement" aux éditions Gallimard. Elle reviendra sur l’influence et l'ingérence chinoise à travers la plateforme TikTok.

    • 10 นาที
    Incertitudes en Iran - Vos questions sms

    Incertitudes en Iran - Vos questions sms

    C dans l'air du 20 mai 2024 : Mort d'Ebrahim Raïssi : incertitudes en Iran

    Nos experts :
    • FRÉDÉRIC ENCEL - Docteur en géopolitique - Maître de conférences - Sciences Po Paris
    • ALAIN BAUER - Professeur au CNAM, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement
    • AGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l’IREMMO, Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient
    • DAVID RIGOULET-ROZE - Politologue - Chercheur associé à l’IRIS, rédacteur en chef de la revue Orients stratégiques
    • CHIRINNE ARDAKANI (via skype) - Avocate franco-iranienne au Barreau du Val d’Oise, membre du collectif Iran Justice

    • 7 นาที
    Président iranien: un crash et des questions - L'intégrale

    Président iranien: un crash et des questions - L'intégrale

    C dans l'air du 20 mai 2024 : Mort d'Ebrahim Raïssi : incertitudes en Iran

    Son hélicoptère s'est crashé dans un épais brouillard, alors que le convoi présidentiel se dirigeait vers la ville de Tabriz, au nord-ouest de Téhéran. Le président iranien Ebrahim Raïssi est mort ce lundi, à 63 ans. "J’annonce cinq jours de deuil public et je présente mes condoléances au cher peuple iranien", a déclaré l'ayatollah Ali Khameneï, plus haut responsable de la République islamique dans un communiqué publié quelques heures plus tard. "La nation n’a pas besoin d’être inquiète ou anxieuse puisque l’administration du pays ne sera pas du tout perturbée", a tout de suite ajouté le guide suprême, signe que le pays reste dirigé par les Mollahs. Propulsé par le Conseil des gardiens de la révolution, qui avaient écarté tous ses concurrents, Ebrahim Raïssi avait été élu en juin 2021, lors d'un scrutin boycotté par une majorité d’Iraniens, notamment à Téhéran. Réputé proche d'Ali Khameneï, Ebrahim Raïssi, était pressenti pour succéder au guide suprême, âgé de 85 ans. D'abord Juge religieux, il avait été nommé procureur de Téhéran en 2014. Connu pour sa sévérité, il avait été placé la même année sur la liste noire des États-Unis pour "complicité de graves violations des droits humains".


    En septembre 2022, c'est encore sous sa présidence qu'a eu lieu la sanglante répression dans les rues après la révolte populaire qui a suivi la mort de Mahsa Alimi. Près de 500 Iraniens liés aux manifestations ont été tués, dont huit pendus. C'est aussi à cette période que le régime iranien a commencé à éborgner "systématiquement" les manifestants, selon Iran Human rights. Selon l'ONG basée en Norvège, au moins 138 personnes ont été victimes de cette méthode de répression. Exilée en France, la journaliste iranienne Aïda Ghajar a également recueilli des dizaines de témoignages de victimes d'éborgnement. Une manière selon elle, de "tenir à l'ombre", ces manifestants tout en les dissuadant de critiquer le régime des mollahs.


    Une chose est sûre, malgré la mort du président iranien Raïssi, la menace reste intacte pour Israël. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu n'a pour l'instant pas réagi à la nouvelle, lui qui se trouve actuellement dans une posture délicate. Ces derniers jours, son principal rival et membre du cabinet de guerre, Benny Gantz, a menacé de démissionner si le Premier ministre ne lui présentait pas d'ici le 8 juin un plan d'action en six points permettant à la fois une libération complète des otages et un désengagement progressif de l'armée à Gaza. Un compromis que Netanyahu a déjà rejeté : "Tandis que nos troupes héroïques se battent pour détruire les bataillons du Hamas à Rafah, M. Gantz a choisi de présenter un ultimatum au premier ministre au lieu de présenter un ultimatum au Hamas", a-t-il réagi samedi par voie de communiqué. Quelques jours plus tôt, c'est le ministre de la Défense Yoav Gallant qui accusait le Premier ministre de précipiter l’État hébreu vers l’instauration d’un régime militaire à Gaza, dont il juge le coût humain et financier insoutenable. Pris en tenaille dans son cabinet de guerre, Benyamin Netanyahu est désormais visé par la communauté internationale. Il y a quelques heures, le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI) a réclamé un mandat d'arrêt contre le Premier ministre israélien pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.


    Qui était le président iranien Ebrahim Raïssi ? Quelles conséquences peut avoir sa mort sur la situation au Proche-Orient ? Pourquoi le régime iranien a-t-il mis au point un éborgnement méthodique de ses opposants dans la rue ? Et la décision de la CPI menace-t-elle Benyamin Netanyahu ?

    Nos experts :
    • FRÉDÉRIC ENCEL - Docteur en géopolitique - Maître de conférences - Sciences Po Paris
    • ALAIN BAUER

    • 1 ชั่วโมง 4 นาที
    Made in China - Vos questions sms

    Made in China - Vos questions sms

    C dans l'air du 18 mai 2024 : Made in China, l'Amérique se barricade. Et nous ?

    Nos experts :
    • Philippe DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"
    • Sylvie MATELLY - Économiste, directrice de l’Institut Jacques Delors, auteure de "Géopolitique de l’économie"
    • Ursula GAUTHIER - Cheffe du service international et ancienne correspondante en Chine - L'Obs
    • Thomas PORCHER - Économiste, membre des "Économistes Atterrés"

    • 7 นาที
    Made in China, l'Amérique se barricade. Et nous ? - L'intégrale

    Made in China, l'Amérique se barricade. Et nous ? - L'intégrale

    C dans l'air du 18 mai 2024 : Made in China, l'Amérique se barricade. Et nous ?

    Face à la Chine, les États-Unis haussent le ton. Pour dissuader les exportations de voitures électriques chinoises à bas coût, les Américains ont annoncé mercredi une impressionnante hausse des droits de douanes contre le géant asiatique, de 25 à 100%. Joe Biden voit d'un mauvais œil l'arrivée de ces véhicules peu chers car lourdement subventionnés et reproche à la Chine des pratiques commerciales déloyales : transfert forcé de technologies, violations de la propriété intellectuelle, dumping social… "Nos travailleurs peuvent être plus compétitifs que n’importe qui tant que la concurrence est juste. Mais pour trop longtemps, elle ne l’a pas été", a déclaré mardi le président américain lors d’un discours à la Maison-Blanche. Face à cette mesure inédite, la Chine prépare ses arrières. Jeudi, le président Xi Jinping a accueilli son homologue russe Vladimir Poutine, avec qui il a annoncé renforcer son partenariat stratégique. Fragilisé par sa guerre en Ukraine et les sanctions économiques qui en découlent, le président russe s'appuie lourdement sur les importations chinoises. Les échanges commerciaux sino-russes ont ainsi dépassé les 240 milliards d’euros en 2023. En France, l'ambiance est également à la méfiance face aux pratiques commerciales chinoises, mais Emmanuel Macron n'a pas osé froisser Xi Jinping lors de sa visite à Paris la semaine dernière. Tout juste a-t-il déclaré vouloir souler "en toute amitié et confiance" les "préoccupations, pour essayer de les surmonter".

    Symbole de cette léthargie française, l'industrie photovoltaïque française est en train de sombrer. Mi-avril, le Tribunal de commerce de Nantes a prononcé la liquidation de Systovi, l’un des deux derniers fabricants français de panneaux photovoltaïques. L'entreprise n'a pas retrouvé de repreneurs et certains députés enragent de voir les panneaux chinois vendus quatre fois moins chers sur le marché. "La qualité était là, assure un salarié auprès du Parisien, nos produits sont performants, mais ce qui nous a tués, c’est le marché et l’écart avec les prix chinois." Le dumping a atteint son paroxysme à l'été dernier quand le prix des panneaux chinois a été divisé par deux. Résultat, l'industrie français patine et la Chine en profite : 80% des installations photovoltaïques sont actuellement fabriquées dans l'empire du milieu.

    Et la Chine ne risque pas de perdre son monopole de sitôt avec les tensions sur les ressources de nickel, minerai servant notamment à la fabrication de batteries. Alors que la Nouvelle-Calédonie est au bord de la guerre civile à cause de la réforme de son corps électoral, l'île est aussi victime de la crise du nickel, dont le prix a chuté de 43% en 2023. Une situation qui fragilise l'économie de la Nouvelle-Calédonie qui abrite 25% des ressources mondiales en nickel. À cause de cette crise, les trois groupes qui exploitent le minerai sur l'île font face à des pertes record. Le groupe français Eramet et sa filiale Société Le Nickel (SNL), premier employeur de l'archipel, a enregistré une chute de ses ventes de 50%. Une crise qui ne risque pas de favoriser un retour au calme sur ce territoire d'Outre-mer.

    Comment la Chine va-t-elle réagir à la brutale hausse des droits de douane américains ? La France est-elle trop tendre face à la guerre commerciale menée par Xi Jinping ? Et comment la crise du Nickel contribue-t-elle aux tensions en Nouvelle-Calédonie ?

    Nos experts :
    • Philippe DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"
    • Sylvie MATELLY - Économiste, directrice de l’Institut Jacques Delors, auteure de "Géopolitique de l’économie"
    • Ursula GAUTHIER - Cheffe du service international et ancienne correspondante en Chine - L'Obs
    • Thomas PORCHER - Économist

    • 1 ชั่วโมง 8 นาที
    Elie Cohen - Voiture électrique : la fin de Renault, Peugeot et Citroën ?

    Elie Cohen - Voiture électrique : la fin de Renault, Peugeot et Citroën ?

    C dans l'air l'invité du 17 mai : Elie Cohen, économiste et directeur de recherche au CNRS.

    Le patron de Stellantis Carlos Tavares va vendre en Europe, dans les concessions Peugeot, Citroën, Fiat, Opel, des voitures chinoises, fabriquée en Chine. Les modèles seront ensuite lancés dans trois régions supplémentaires à partir du dernier trimestre de cette année. Après cette annonce, Stellantis gagnait 1,47% en Bourse et Leapmotor 6,85 %. La Commission européenne a annoncé avoir ouvert une enquête sur les subventions massives accordées par Pékin à ses constructeurs de véhicules électriques, qui leur permettent de casser les prix sur le marché européen. "Les marchés mondiaux sont désormais inondés de voitures électriques moins chères. Et leur prix est maintenu artificiellement bas grâce à d'énormes subventions publiques" a déclaré Ursula von der Leyen. Le patron de Stellantis Carlos Tavares décrit la "brutalité" de la compétition qui s’annonce avec les constructeurs chinois sur la voiture électrique. Et demande à la France de laisser son entreprise faire ses propres choix industriels "raisonnables et raisonnés".

    Décryptage avec l'économiste Elie Cohen, invité de Axel de Tarle

    • 10 นาที

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