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Cette semaine LeChairman reçoit Aïssa Maïga.
C'est au milieu des années 70 à Dakar qu'Aïssa voit le jour. Fille d'un journaliste malien, elle grandit d'abord auprès de sa mère avant de rejoindre son père en Île de France et plus précisément à Fresnes. Mais à l'âge de huit ans, elle apprend le décès de ce dernier et elle sera marquée à jamais.
En effet, elle vit sous la houlette de son oncle Alpha protecteur qui est devenu un père de substitution. Bonne élève, elle gravit les échelons et décroche ses diplômes mais son ambition est de devenir actrice.
Après avoir essuyé plusieurs refus, elle fini par décrocher son premier rôle au milieu des années 90 et à partir de là, sa vie ne sera plus jamais la même..
Au fil d'une belle émission, Aïssa nous parle de son métier d'actrice, son rôle de maman ou encore de son amour pour le continent africain...

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Cette semaine LeChairman reçoit Jeremy Menez. Vitriot de naissance, Jeremy est un amoureux du ballon rond depuis sa plus tendre enfance. Considéré comme l'un des tout meilleurs dans sa ville natale, il a naturellement été recruté par le Fc Sochaux Montbéliard. Promis à une grande carrière, il se fait rapidement sa place auprès d'un groupe composé de Romain Hamouma ou encore Mevlut Erding.. Propulsé dans le grand bain à tout juste seize ans, il choque son monde et sa vie ne sera plus jamais la même...

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Cette semaine 500 reçoit Jack Many.
D'origine malienne, Mamadou, voit le jour au début des années 80. Avant de s'installer dans le 91, il a d'abord habité à Neuilly Plaisance ainsi qu'à Saint Maurice dans le Val de Marne. Bon élève, il est considéré par ses professeurs comme étant un jeune à fort potentiel. Mais sa passion à lui, c'est le rap. D'abord passionné, il écoute beaucoup de chansons venues d'Outre Atlantique et la rencontre avec son acolyte Juicy P ainsi que Maestro a été determinant dans la suite de sa vie.
Au fil d'un bel échange passionné et sincère, Jack Many nous livre un constat lucide sur sa vie, ses ambitions personnelles et n'hésite pas à distiller de précieux conseils.

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Cette semaine 500 reçoit Lacrim.

D'origine algérienne, Karim voit le jour à Paris au milieu des années 80. Très tôt, la famille posa ses valises dans le Val de marne à Chevilly la rue.
Enfant attachant, Karim ne laisse personne indifférent. Ses professeurs disaient de lui qu'il avait d'énormes capacités mais il a très vite été aspiré par la vie de quartier.

Suivi depuis son plus jeune âge par des éducateurs et un juge pour enfants, Karim connaîtra sa première incarcération à l'âge de 16 ans. Son salue passera par la musique, qui lui a apporté une certaine stabilité mais aussi beaucoup de déboires.

Au fil d'une discussion de près de 2h, Lacrim nous parle avec franchise et transparence de son amour pour ses enfants, parents ainsi que du côté social et humanitaire qui prend de la place dans sa vie. Il n'hésite pas à distiller de précieux conseils.

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Cette semaine 500 reçoit Karim Zeribi.

D'origine algérienne, Karim voit le jour à Avignon au milieu des annees soixante.
Bon élève, il arrête tout de même ses études à l'âge de 18 ans sans décrocher le moindre diplôme afin de poursuivre son rêve de devenir footballeur professionnel.

Après des passages à Rouen ou encore au stade lavallois, une grave blessure l'ecarte de manière définitive des terrains de football.
Loin de se laisser plomber par cette nouvelle, il passe le concours pour intégrer la SNCF.
Parrallement, il s'implique dans la vie active de sa commune en faisant notamment de la prévention dans les quartiers populaires.

Homme de terrain, son audace et sa persévérance l'ont emmené à travailler avec Jean Pierre Chevenement qui lui propose de rejoindre son cabinet en tant que conseiller technique sur la banlieue...

Aujourd'hui consultant et chroniqueur, Karim n'hésite pas à donner son avis très franc, sur les questions liées à la politique de notre société.

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Cette semaine 500 reçoit Salif Keita aka Filas.

D'origine malienne, Salif voit le jour au début des années 70.
C'est au début des années 80 que la famille Keita s'installe dans la commune de Sarcelles.
Enfant attachant, Filas comme on le surnomme et passionné de musique et n'est jamais le dernier quand il s'agit de faire des "bêtises".
Au milieu des années 90, en compagnie des BPJ pour "Black power junior" Salif grimpe dans la voyoucratie.
Malgré les avertissements répétés de sa mère ou encore des forces de l'ordre, Salif finira par passer quelques années derrière les barreaux.
Toujours assoiffé par l'appât du gain, il n'en démord pas et demeure toujours aussi gourmand.
Lors d'une énième arrestation, sa vie changera à tout jamais ...

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