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#14 – Caroline Hilliet Le Branchu, PDG de la Belle-Îloise Histoires d'Entreprises

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Aujourd’hui, je suis reçu par Caroline Hilliet Le Branchu, PDG de la Belle-Îloise. La Belle-Îloise est née il y a un siècle à Quiberon et met en conserve depuis tout ce temps des sardines. Si vous êtes déjà fidèle de leurs magasins ou de leurs catalogues, vous savez que la Belle-Îloise propose maintenant une large gamme de conserves de sardines, mais également de maquereaux et de thons déclinés sous toutes les formes et de multiples recettes. Les soupes ont fait une récente apparition. Tout cela dans l’esprit de l’arrière-grand-père de Caroline : en ne sacrifiant jamais rien à la qualité. Dans l’entretien qui suit, nous abordons comme toujours les faits générateurs de la Belle-Îloise ainsi que les grandes étapes franchies par les quatre générations qui se sont succédées.   

Avec cette ETI ancrée bretonne, ce qui m’a le plus frappé finalement en plus évidemment de la beauté des plages de Quiberon et de la vue sur Belle-Île, c’est la rencontre tout en continuité d’un lointain passé avec nos préoccupations contemporaines. D’un produit simple et fragile issu de la mer, la Belle-Îloise propose maintenant une gamme diversifiée et a construit une vision permettant de continuer de grandir dans le futur. En faisant le choix de ne pas servir la grande distribution au moment où celle-ci a explosé en France, la Belle-Îloise s’est fermée des portes. Mais en restant fidèle à elle-même et à l’esprit des fondateurs, elle maîtrise maintenant une large partie de sa chaîne de valeur avec notamment près de 100 magasins et observe comme nous les querelles producteurs-distributeurs d’un œil bienveillant mais distant. Caroline dirige une société qui est née et a grandi dans un monde où la mer donnait et les hommes prenaient sans compter. Ce monde est révolu. La Belle-Îloise choisit ses zones de pêche et choisit des fournisseurs en fonction de leur mode de pêche. Nous abordons sans tabou le sujet dans l’entretien qui suit. Et puis il n’est pas besoin d’être fin psychologue pour comprendre le réel souci de Caroline de laisser un monde meilleur tout en proposant à notre quotidien une belle et heureuse expérience gustative. Découvrez avec Caroline l’histoire de la Belle-Îloise et d’une partie de la côte bretonne.  

Bonne écoute ! 

Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis. 



N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn si vous avez envie de passer sur le podcast ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine 



Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. 



Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard. 

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd’hui, je suis reçu par Caroline Hilliet Le Branchu, PDG de la Belle-Îloise. La Belle-Îloise est née il y a un siècle à Quiberon et met en conserve depuis tout ce temps des sardines. Si vous êtes déjà fidèle de leurs magasins ou de leurs catalogues, vous savez que la Belle-Îloise propose maintenant une large gamme de conserves de sardines, mais également de maquereaux et de thons déclinés sous toutes les formes et de multiples recettes. Les soupes ont fait une récente apparition. Tout cela dans l’esprit de l’arrière-grand-père de Caroline : en ne sacrifiant jamais rien à la qualité. Dans l’entretien qui suit, nous abordons comme toujours les faits générateurs de la Belle-Îloise ainsi que les grandes étapes franchies par les quatre générations qui se sont succédées.   

Avec cette ETI ancrée bretonne, ce qui m’a le plus frappé finalement en plus évidemment de la beauté des plages de Quiberon et de la vue sur Belle-Île, c’est la rencontre tout en continuité d’un lointain passé avec nos préoccupations contemporaines. D’un produit simple et fragile issu de la mer, la Belle-Îloise propose maintenant une gamme diversifiée et a construit une vision permettant de continuer de grandir dans le futur. En faisant le choix de ne pas servir la grande distribution au moment où celle-ci a explosé en France, la Belle-Îloise s’est fermée des portes. Mais en restant fidèle à elle-même et à l’esprit des fondateurs, elle maîtrise maintenant une large partie de sa chaîne de valeur avec notamment près de 100 magasins et observe comme nous les querelles producteurs-distributeurs d’un œil bienveillant mais distant. Caroline dirige une société qui est née et a grandi dans un monde où la mer donnait et les hommes prenaient sans compter. Ce monde est révolu. La Belle-Îloise choisit ses zones de pêche et choisit des fournisseurs en fonction de leur mode de pêche. Nous abordons sans tabou le sujet dans l’entretien qui suit. Et puis il n’est pas besoin d’être fin psychologue pour comprendre le réel souci de Caroline de laisser un monde meilleur tout en proposant à notre quotidien une belle et heureuse expérience gustative. Découvrez avec Caroline l’histoire de la Belle-Îloise et d’une partie de la côte bretonne.  

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