43 min

26. Écriture collective et militante sur l’exil, avec Mathilde Gal La Page Sensible, un journal de lecture et d'écriture

    • Books

Une interview où on s'interroge : comment coécrire un livre à dix personnes ? Peut-on incarner un demandeur d’asile sans véhiculer des imaginaires racistes malgré soi ?
Salut, c'est Marion ! Dans ce 26e épisode, j'accueille mon amie Mathilde Gal, autrice engagée et travailleuse sociale, pour parler :
Côté lecture : du roman Des Vies orageuses, un récit à la fois doux et percutant dont elle est co-autrice et qui vient de sortir aux éditions Le Monde à l’Envers. Il raconte les histoires croisées d’Idrissa, jeune Guinéen exilé en France, et de Sarah, toute aussi jeune médecin qui découvre le militantisme autour des questions d’exil et d’accueil.Côté écriture : Des Vies orageuses est un roman au processus de création très particulier, puisque Mathilde Gal l’a coécrit avec le collectif Tcholeiy, composé d’une dizaine de personnes concernées ou non par l’exil. Dans cette conversation, Mathilde et moi parlons d’écriture collective, de représentations racistes inconscientes, de variations dans le temps du récit et dans les modes de narration, de burnout militant et d’ateliers d’écriture… entre autres. Bonne écoute !NB : par "personnes exilées", nous faisons référence à des demandeurs et demandeuses d’asile, mais également aux personnes sans papiers.

****
Pour découvrir les coulisses de La Page Sensible et recevoir des idées de films, séries et podcasts en lien avec le roman du jour (ou pas), n'oubliez pas de vous inscrire à ma newsletter pleine de bonne humeur ! Chaque mois, je la remplis avec joie de mes meilleures recommandations et anecdotes.
Le podcast vous plaît ? Ça serait atrocement chou de laisser une note ou un commentaire, qui aideront d'autres âmes sensibles à le trouver.
Pour m'envoyer un petit mot par mail : contact [at] marionjoceran.fr
Et pour retrouver toutes les références mentionnées et notes de l'épisode, rendez-vous sur le site de La Page Sensible.
À très bientôt,
Marion

Une interview où on s'interroge : comment coécrire un livre à dix personnes ? Peut-on incarner un demandeur d’asile sans véhiculer des imaginaires racistes malgré soi ?
Salut, c'est Marion ! Dans ce 26e épisode, j'accueille mon amie Mathilde Gal, autrice engagée et travailleuse sociale, pour parler :
Côté lecture : du roman Des Vies orageuses, un récit à la fois doux et percutant dont elle est co-autrice et qui vient de sortir aux éditions Le Monde à l’Envers. Il raconte les histoires croisées d’Idrissa, jeune Guinéen exilé en France, et de Sarah, toute aussi jeune médecin qui découvre le militantisme autour des questions d’exil et d’accueil.Côté écriture : Des Vies orageuses est un roman au processus de création très particulier, puisque Mathilde Gal l’a coécrit avec le collectif Tcholeiy, composé d’une dizaine de personnes concernées ou non par l’exil. Dans cette conversation, Mathilde et moi parlons d’écriture collective, de représentations racistes inconscientes, de variations dans le temps du récit et dans les modes de narration, de burnout militant et d’ateliers d’écriture… entre autres. Bonne écoute !NB : par "personnes exilées", nous faisons référence à des demandeurs et demandeuses d’asile, mais également aux personnes sans papiers.

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À très bientôt,
Marion

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