1 hr 26 min

#40 David Depesseville, cinéaste, réalisateur de "Astrakan‪"‬ NÉGATIF

    • Film Interviews

Grand entretien avec David Depesseville, cinéaste et réalisateur du film "Astrakan"
➡︎ https://revue.negatif.co/grand-entretien/david-depesseville

RÉSUMÉ

Découvert dans la subversive sélection « Diagonales » du festival Premiers Plans d’Angers, Astrakan s’est révélé être un beau premier long-métrage, offrant un regard  tendre et brut sur l’enfance. Rencontrer David Depesseville nous a  permis de retracer pas-à-pas les gestes qui ont conduit à la création de  ce portrait sensible d’un orphelin, Samuel.

Enfant placé dans une famille rurale et précaire du Morvan, il  rejoint un foyer composé d’une fratrie et deux parents. Marie et Clément  ont accueilli Samuel par nécessité financière (l’allocation versée en  échange de cette prise en charge), mais le considèrent peu à peu comme  un troisième fils. Malgré tout cela, Samuel demeure de fait un étranger  dans cette famille.

Lycéen, David Depesseville écrivait sur les films. Il a continué  cette pratique réflexive dans un carnet et souhaite que le spectateur,  lui aussi, soit troublé par ses images : « J’aime bien les films qui  demandent à repenser le film a posteriori. Remettre en cause la  perception du spectateur me semble être la moindre des choses pour  continuer de s’interroger sur qu’est-ce qu’une image ? qu’est-ce que je  vois ? comme je la vois ? » Tout un programme et une confiance folle  dans le cinéma pour le réaliser.

LES CHAPITRES
00:00:00 – Introduction
00:01:43 – D’une cinéphilie secrète au désir de filmer
00:10:54 – Puissances mélodramatiques de l’orphelin
00:18:22 – Insuffler un souffle dès le scénario
00:23:43 – Samuel et la mémoire traumatique
00:29:33 – Écrire des personnages complexes
00:37:30 – Choisir les acteurs, voix et corps
00:43:12 – Chuchotements et confiance
00:49:26 – Le travail essentiel du découpage
00:57:58 – Naturalisme et réalisme
01:07:25 – Faire délirer le film
01:13:27 – Les images au service de la musique
01:23:05 – Continuer à filmer, à pratiquer

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Découvert dans la subversive sélection « Diagonales » du festival Premiers Plans d’Angers, Astrakan s’est révélé être un beau premier long-métrage, offrant un regard  tendre et brut sur l’enfance. Rencontrer David Depesseville nous a  permis de retracer pas-à-pas les gestes qui ont conduit à la création de  ce portrait sensible d’un orphelin, Samuel.

Enfant placé dans une famille rurale et précaire du Morvan, il  rejoint un foyer composé d’une fratrie et deux parents. Marie et Clément  ont accueilli Samuel par nécessité financière (l’allocation versée en  échange de cette prise en charge), mais le considèrent peu à peu comme  un troisième fils. Malgré tout cela, Samuel demeure de fait un étranger  dans cette famille.

Lycéen, David Depesseville écrivait sur les films. Il a continué  cette pratique réflexive dans un carnet et souhaite que le spectateur,  lui aussi, soit troublé par ses images : « J’aime bien les films qui  demandent à repenser le film a posteriori. Remettre en cause la  perception du spectateur me semble être la moindre des choses pour  continuer de s’interroger sur qu’est-ce qu’une image ? qu’est-ce que je  vois ? comme je la vois ? » Tout un programme et une confiance folle  dans le cinéma pour le réaliser.

LES CHAPITRES
00:00:00 – Introduction
00:01:43 – D’une cinéphilie secrète au désir de filmer
00:10:54 – Puissances mélodramatiques de l’orphelin
00:18:22 – Insuffler un souffle dès le scénario
00:23:43 – Samuel et la mémoire traumatique
00:29:33 – Écrire des personnages complexes
00:37:30 – Choisir les acteurs, voix et corps
00:43:12 – Chuchotements et confiance
00:49:26 – Le travail essentiel du découpage
00:57:58 – Naturalisme et réalisme
01:07:25 – Faire délirer le film
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01:23:05 – Continuer à filmer, à pratiquer

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