100 episodes

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    The Hour, à redécouvrir sur Arte

    The Hour, à redécouvrir sur Arte

    Arte.tv est toujours là pour proposer des titres qualitatifs qu’on a pu rater par le passé, et la mise en ligne de The Hour ne fait pas exception. À la tête de cette production BBC en 2011 qui a duré deux saisons, on retrouve la scénariste Abi Morgan, déjà connue pour ses récits puissants et émouvants (qui nous a offert plus tard The Split par ailleurs également disponible sur arte.tv). Avec The Hour, Morgan a plongé dans une reconstitution ambitieuse et captivante de la salle de rédaction d’une chaîne de télévision britannique des années 1950. L’équipe créative derrière cette série comprend un casting cinq étoiles dont Ben Whishaw, Romola Garai et Dominic West. C’est dans l’univers fascinant de la télévision en pleine guerre froide que le spectateur est transporté. Chaque épisode mélange intrigue politique, drame personnel et journalisme engagé. La série commence en 1956, une période de tensions et de bouleversements, aussi bien sur la scène internationale qu’au sein du Royaume-Uni.




    https://youtu.be/cJxp25IJv9I?si=EwzQhcrz36CxEoD9




    La première saison de pose les bases de l’univers de la série. On y découvre Freddie Lyon (Wishaw), un journaliste brillant mais souvent rebelle, qui n’hésite pas à aller contre l’autorité pour révéler la vérité. Bel Rowley (Garai), sa meilleure amie et collègue, est nommée productrice de « The Hour », une nouvelle émission d'actualités ambitieuse. Hector Madden (West), un présentateur charismatique mais complexe, rejoint l'équipe en tant que visage de l'émission. Les relations entre ces trois différents personnages et leurs principes sont au cœur de la série. Par exemple, les deux hommes représentent deux visions différentes du journalisme : Freddie, le puriste passionné par la vérité à tout prix, et Hector, le présentateur charismatique parfois plus préoccupé par son image que par les principes éthiques. 



    L'intrigue principale de la première saison tourne autour de la couverture par l’émission de la crise de Suez et de la guerre froide. En parallèle, une intrigue secondaire captivante se développe : Freddie découvre une conspiration et une série de meurtres liés à des figures importantes du gouvernement. Cette découverte met en danger sa vie et celle de ses collègues, tout en dévoilant les tensions et les secrets au sein de la rédaction. La saison 2 reprend en 1957, et du temps a passé. Le ton semble un peu plus sombre mais avec des personnages toujours aussi intenses. En tout cas, au cours de ces deux saisons, la reconstitution historique avec des costumes impeccables et des décors authentiques immergent encore plus dans l’époque des années 50.



    Si même plus de 10 ans après la diffusion de la série elle reste autant d’actualités, c’est parce qu’Abi Morgan a réussi à écrire des personnages intemporels et à mettre en lumière le journalisme engagé. La société d’aujourd’hui montre une défiance claire envers les médias qui ont trop tendance à tordre la vérité. L’écho qu’on y retrouve n’est toujours pas loin…



    [bs_show url="the-hour-2011"]



    The Hour est à (re)découvrir sur arte.tv même toutes ces années après pour tous les aficionados de drames engagés.

    Trois séries historiques un peu anachroniques

    Trois séries historiques un peu anachroniques

    Avec le retour de la saison 3 de Bridgerton, c’était le moment de revenir sur les séries historiques qui sont ancrées dans la modernité.



    Bridgerton sur Netflix



    Si la première saison était centrée sur Daphne et Simon, et la deuxième mettait en avant Kate et Anthony, la troisième se concentre sur la relation entre Penelope et Colin. Après avoir entendu Colin Bridgerton (Luke Newton) la dénigrer dans son dos à cause de son physique, Penelope Featherington (Nicola Coughlan) abandonne ce chevalier dont elle est amoureuse depuis la première saison. À cette amère déception s'ajoute le fait qu'Eloise cesse de lui parler quand elle découvre que Penelope est la célèbre Lady Whistledown. Face à un tableau aussi sombre, Penelope décide qu'il est temps de trouver un mari, un qui lui donnerait l'indépendance de continuer sa double vie, loin de sa famille. Mais, à cause de son manque de confiance, elle échoue lamentablement sur le marché matrimonial. Cependant, lorsque Colin revient de vacances, il se rend compte que quelque chose a changé chez Penelope. Pour retrouver son amitié, il se propose comme mentor pour l'aider à trouver le mari qu'elle mérite. Pour découvrir la deuxième partie, les quatre épisodes qui mèneront à la fin de la saison, il faudra attendre jusqu'au 13 juin.




    https://youtu.be/Fsvp49lDJ7g?si=pNdxmwDHmCjD7K88




    [bs_show url="bridgerton"]



    Dickinson sur AppleTV+



    Créée par Alena Smith, cette série explore la vie de la célèbre poétesse américaine Emily Dickinson d'une manière rafraîchissante et innovante en trois saisons. Dickinson combine des éléments contemporains avec le cadre du XIXe siècle, créant une expérience unique qui résonne profondément avec le public moderne. Cet anachronisme n’est pas sans rappeler Bridgerton, que ce soit avec la musique ou des moments dramatiques exagérés des dialogues modernes. Dickinson se déroule dans les années 1850, une époque où les attentes sociétales étaient strictes, surtout pour les femmes. La série suit Emily Dickinson, interprétée par Hailee Steinfeld, alors qu’elle lutte pour trouver sa voix poétique et sa place dans un monde qui ne comprend pas son génie. La série aborde des thèmes intemporels tels que la lutte pour l'égalité des sexes, la quête de l'identité personnelle et le défi de la conformité sociale. L’atmosphère unique apporté avec les personnages secondaires peut parler plus directement aux jeunes générations tout en respectant le contexte historique.




    https://youtu.be/sar-PdTJjz0?si=fDEwv3m0nJSFVnS5




    [bs_show url="dickinson"]



    Sissi sur M6+



    Enfin, Sissi est revenue en 2021 dans une série allemande. Sissi raconte l'histoire d'Elisabeth de Wittelsbach (Dominique Davenport), princesse bavaroise, qui devient l'impératrice d'Autriche en épousant François-Joseph (Jannick Schümann). Jusque-là, pas de surprise vraiment, mais contrairement aux adaptations plus romancées des années 1950 et 1960, cette version cherche à offrir une perspective plus réaliste et nuancée de la vie à la cour de Habsbourg. La série va montrer non seulement les aspects romantiques de leur relation, mais aussi les défis politiques, les intrigues de cour et les luttes personnelles de Sissi. Tout ça, il faut l’imaginer dans un format presque soapesque avec des rebondissements dramatiques. La saison 4 est en production et ne devrait pas tarder mais les trois premières sont disponibles sur M6+.




    https://youtu.be/Kioa4qetnzs?si=t45CX4L8_CNcjzrv




    [bs_show url="sisi-2021"]

    Les espions de la terreur, les lendemains des attentats de 2015

    Les espions de la terreur, les lendemains des attentats de 2015

    Présentée en septembre au festival de la fiction de La Rochelle où elle a remporté le prix de la meilleure musique, Les espions de la terreurarrive enfin sur M6+. Une mini-série en quatre épisodes qui tient en haleine, pleine de tension mais aussi d’humanité, aux lendemains des attentats du Bataclan et du Stade de France de 2015. Il s’agit d’une adaptation du livre du même nom publié en 2018 par le journaliste Matthieu Suc scénarisé par Franck Philippon et réalisé par Rodolphe Tissot.




    On y suit la traque des responsables des attentats de novembre 2015 qui met les services secrets français sous haute tension. Parmi eux, Lucie (Fleur Greffier vue dans Les gouttes de Dieu), agent anti-terroriste de la DGSI expérimentée et déterminée, se bat pour faire avancer l’enquête. Contre l’avis de sa direction, elle s’allie avec Malika (Rachida Brakni), analyste chevronnée de la DGSE. De son côté, malgré la paranoïa qui règne au sein des services, Vincent (Vincent Elbaz), major à la DGSI territoriale de Lille, met tout en œuvre pour protéger sa nouvelle source et lui permettre d’infiltrer le cœur du djihadisme français. L’engagement sans limite de ces héros anonymes, prêts à tout pour protéger la France de nouvelles attaques, va mettre à mal leurs vies privées et réveiller des cicatrices profondes. Les prestations des acteurs sont un sans faute et pèsent de tous leurs poids.








    Les espions de la terreur réussit autant à toucher la corde sensible des émotions suscitées par les événements de 2015 que les amateurs d’enquête sous tension. On sait aujourd’hui ce qui s’est passé et l’histoire est véritablement basée sur la coopération de la DGSE et de la DGSI pour identifier et arrêter les coupables. Si au début les différents arcs narratifs sont isolés, on comprend rapidement comment ils s’impactent l’un et l’autre. L’écriture est vraiment forte, sur un sujet qui a ébranlé la nation, elle tente de montrer les séquelles psychologiques traumatisantes tout en montrant des personnages déterminés et prêts à tout pour retrouver les coupables. La relation entre les deux femmes principales souligne l’importance d’accorder sa confiance alors que tout pousse à la paranoïa. Et si on se concentre uniquement sur la partie de l’enquête thriller au sein des services secrets, il n’y a rien à redire non plus sur l’efficacité de la narration et sur toute la compréhension de l’histoire.




    [bs_show url="les-espions-de-la-terreur"]



    En quatre épisodes, Les espions de la terreur nous amène plus loin que ce qu’on a pu voir des attentats et le fait avec délicatesse et sensibilité.

    L'année 2004, la golden year des séries selon l'ACS

    L'année 2004, la golden year des séries selon l'ACS

    Année 2004, un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître... Un grand cru avec des débuts de séries comme Desperate Housewives de Marc Cherry, Veronica Mars de Rob Thomas, Lost de Damon Lindelof ; et d'autres mentionnées dans ce numéro d'Un épisode et j'arrête. L'ACS vous parlera des séries cultes encore plébiscitées aujourd'hui qui n'ont rien perdu de leur aura d'antan. Peut-être que certaines ont un peu plus vieilli que d'autres, mais leurs noms en tout cas ne seront pas inconnus.

    Little Bird sur Arte : à la recherche de ses origines

    Little Bird sur Arte : à la recherche de ses origines

    Diffusée sur Arte et Arte TV, Little Bird est une fiction qui a été récompensée par le prix du public lors de l’édition 2023 de Séries Mania. C’est une série historique qui se penche sur le passé d’Esther Rosemblum, une jeune femme d’origine amérindienne enlevée de force à sa famille dans les années 60 et adoptée par des parents juifs. Vingt ans plus tard, elle est sur le point de devenir avocate et célèbre ses fiançailles avec David, un brillant médecin, juif lui aussi. Un mariage parfait et une vie rêvée entachés par un racisme latent qu’elle subit au quotidien. Aussi, lorsqu’elle surprend sa future belle-famille à critiquer, elle aussi, ses origines, elle décide de partir à la recherche de sa famille qui la connaît sous le nom de Bezhig Little Bird.




    https://www.youtube.com/watch?v=xWNzZt1lOeU




    La « rafle des années 60 » au Canada et ses répercussions catastrophiques sur les victimes



    Entre les années 1960 et 1980, une rafle légale qui a sévi aux États-Unis et au Canada a vu l’enlèvement à leurs familles de milliers d’enfants autochtones. Le but ? Inciter les communautés des Premières Nations, métisses et inuites à s’assimiler à la culture dominante. De gré ou de force. Un morceau peu glorieux de l’histoire nord-américaine, mais qui sert ici de colonne vertébrale à la série. Et c’est là que Little Bird puise toute sa puissance émotionnelle : dans la représentation de la violence affective qu’ont subi les enfants qui, du jour au lendemain, se sont retrouvés sans repères familiaux et, par ricochet, les stigmates psychologiques qu’ils ont dû surmonter dans leur vie d’adulte. Esther (Darla Contois) a été chanceuse en ayant grandi au sein de la famille Rosemblum, dont la mère est jouée brillamment par Lisa Edelstein (Lisa Cuddy dans Dr House), mais on peut imaginer que d’autres enfants n’ont pas eu cette même fortune ou cette même facilité à s’accoutumer à cette nouvelle vie. C’est à travers ce prisme que Little Bird devient un récit important qui remplit un vrai devoir de mémoire. D’ailleurs, les fans de séries historiques devraient, avec cette fiction canadienne créée par Jennifer Podemski et Hannah Moscovitch, découvrir une portion de l’histoire encore peu portée à l’écran. Une béance audiovisuelle qui a sans doute fortement touché Jennifer Podemski, showrunneuse de cette mini-série, anichinabée par sa mère et juive par son père, qui trouve, avec cette création, un moyen fort et intelligent de réparer cette injustice.



    [bs_show url="little-bird"]



    Les 6 épisodes de 45 min de Little Bird sont disponibles dès aujourd’hui, le 16 mai, sur Arte TV et seront diffusés le 23 mai, à partir de 20h55, pour une soirée entièrement consacrée à la série.





    Si vous êtes friands de séries historiques, n’hésitez pas à ajouter Little Bird sur votre profil Betaseries, directement sur le site ou depuis l’application disponible sur iOS et Android. L'édition 2025 de Séries Mania se déroulera du 21 au 28 mars !

    Trois comédies OCS disponibles sur Canal+

    Trois comédies OCS disponibles sur Canal+

    Annoncée cette semaine, Canal+ fait évoluer son offre cinéma séries avec une nouvelle offre Ciné+ OCS dès le 3 juillet prochain.



    Cette nouvelle offre enrichie et consolidée réunira le meilleur d’OCS et de CINÉ+. Elle sera disponible dans les offres CANAL+ mais aussi directement auprès de nos partenaires distributeurs. Plongez au cœur du cinéma et des séries ! On en profite pour faire une reco du weekend spéciale OCS.



    Weeds



    Certes, Weeds est un classique avec son générique Little Boxes, mais comme Mary-Louise Parker a de nouveau une actualité avec la projection de sa série The Gray House en avant-première pour l’ouverture du festival de télévision de Monte Carlo, c’est le moment de reparler de la cultissime Weeds. Créée par Jenji Kohan avant d’être connue pour Orange is the New Black, l’humour noir de la série était déjà bien ancré. Son héroïne Nancy Botwin (incarnée par Mary-Louise Parker) est une mère de banlieue qui se lance dans le commerce de la marijuana après la mort soudaine de son mari qui la laisse dans une situation compliquée. Et elle ne manque pas de clients, que ce soient les parents des enfants de l’école de son fils ou encore parfois des vrais voyous, la vie de Nancy va drastiquement changer. Les personnages secondaires sont également excellents, son frère sarcastique Andy (Justin Kirk) ou encore sa voisine et meilleure amie Celia (Elizabeth Perkins) entre conflits de quartier qui parfois vont un peu plus loin, et bien sûr son rival trafiquant, qui pour le coup fait bien plus peur.




    https://youtu.be/Pr7Og2hbhWw?si=mutG5hhoZrsn3Fw-




    [bs_show url="weeds"]



    3615 Monique



    La comédie française 3615 Monique relate un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaitre : l’essor du Minitel en France. Produit emblématique pour toute une génération, plus que sa genèse, c’est l’un de ses détournements qui intéresse ici les deux créateurs de la série Emmanuel Poulain-Arnaud et Armand Robin : la création du premier service de Minitel rose qui va contribuer à la désinhibition sexuelle d’une France en plein tournant politique. 3615 Monique se situe au début des années 80, dans la fac de sciences de Jouy et suit le parcours de trois étudiants. Stéphanie, ambitieuse et soucieuse de faire ses preuves face à ses parents. Toni, tchatcheur blagueur et dragueur. Et enfin, Simon, le geek timide dans la bande, véritable cerveau de l’équipe. Si tout semble les opposer, leurs chemins vont se croiser après une idée lumineuse de Stéphanie : celle de détourner le Minitel pour en faire le premier service de rencontre en ligne. Avec des hauts et des bas, leur collaboration va changer la politique en deux saisons.




    https://youtu.be/fcc4oI0XfiY?si=ZGpXLIJT-XIXBBxu




    [bs_show url="3615-monique"]



    Minx



    On termine avec Minx, la comédie rétro. Joyce Prigger (Ophelia Lovibond), féministe convaincue de la deuxième vague grande admiratrice de Gloria Steinheim, emmène son prototype de magazine The Matriarchy Awakens à tous les éditeurs et presses possibles. Mais face à ses rencontres avec des vieux mâles grisonnants, c’est un échec complet et personne ne veut publier son torchon. Sa route croise alors celle de Doug Renetti (Jake Johnson), un éditeur de magazines porno qui va être prêt à financer et publier son projet. Rebaptisé Minx (friponne en anglais) pour la peine, la lignée édito sur le fond ne changera pas, mais sur la forme, le magazine va appâter ses lecteurs par son enveloppe érotique qui s’adresse à un lectorat féminin. Créée par Ellen Rapoport dont c’est la première série et avec Paul Feig figurant au générique comme producteur exécutif, Minx a été arrêtée au bout de deux saisons toutes disponibles sur OCS.




    https://youtu.be/U777j-blnBY?si=ERbJ9uzRKre9Am_W




    [bs_show url="minx"]


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