9 episodes

Découvrez ici les podcasts du site 36 Solutions Contre l'Épuisement dans lequel Alicia (psychologue et psychothérapeute) propose chaque semaine des informations et des techniques concrètes pour que chacun puisse trouver ses propres ressources pour un mieux être au quotidien ;)



Musique du Podcast: Swell - On a train

36 solutions contre l'épuisement Alicia Mimm

    • Health & Fitness

Découvrez ici les podcasts du site 36 Solutions Contre l'Épuisement dans lequel Alicia (psychologue et psychothérapeute) propose chaque semaine des informations et des techniques concrètes pour que chacun puisse trouver ses propres ressources pour un mieux être au quotidien ;)



Musique du Podcast: Swell - On a train

    l’AI-CNV une écoute au service de nos émotions

    l’AI-CNV une écoute au service de nos émotions

    Table des matières



    * La CNV face à l’épuisement





    * L’AI-CNV







    Dans cet article de la rubrique des techniques à piocher, je vous propose de découvrir de quelle manière la pratique de la CNV et l’écoute de nos émotions avec une oreille avisée, peut permettre de trouver l’apaisement.







    Voici une technique possible parmi les nombreuses présentes sur ce blog. Libre à vous de vous sentir attiré ou non par cette approche. Cela est en fonction de votre sensibilité et de votre cheminement personnel.













    La CNV face à l’épuisement





    La CNV peut être un outil et/ou un art de vivre. Elle peut jouer un rôle de prévention de la survenu:







    * du Burn-out professionnel, * du Burn-out parental * et de tout autre type d’épuisement émotionnel tel que les épuisements par accumulation.







    La Communication NonViolente (CNV) comme « manière d’être en relation » a été créée par le Docteur en psychologie et Psychologue Clinicien Marshall B. Rosenberg dans les années 70.







    Elle demeure aujourd’hui une référence pour comprendre et résoudre la plupart de nos conflits (internes ou relationnels).







    Lors de l’une de mes spécialisations (dans l’accompagnement au Burn-out Parental) j’ai vécu la belle surprise de voir préconiser cette approche par des spécialistes du domaine (Profs. Isabelle Roskam & Moïra Mikolajczak) pour soutenir la récupération de nos ressources.







    Il en va de même dans l’accompagnement du Burn-out Professionnel dans lequel la mise en évidence des besoins, la compréhension des émotions et l’accueil de ce qui se vit en nous, s’avèrent de précieux alliés accessibles grâce à la CNV.







    « Quand nous nous sentons mal, la présence d’une personne en contact avec notre souffrance n’a pas de prix. Il est d’ailleurs étonnant de constater l’effet qu’elle produit sur nous. Cela ne résoudra pas notre problème, mais, ce type de lien rend plus doux notre cheminement vers une solution. »« Etre vraiment soi, aimer pleinement l’autre ! » de Marshall B. Rosenberg.







    La CNV peut nous permettre de résoudre des conflits, d’apprendre à mieux se connaitre, à mieux se comprendre. Nous allons le voir maintenant, lorsque ce processus est accompagné par un professionnel spécialisé en accompagnement individuel, la CNV peut aider à apaiser des blessures du présent et du passé.













    L’AI-CNV





    L’AI-CNV est une manière d’utiliser la CNV qui vise à offrir:







    * une écoute sincère et bienveillante, * un espace où déposer ce que l’on a sur le coeur, * recréer une relation de soi à soi plus respectueuse et harmonieuse, * explorer les possibilités de développer des relations à autrui qui nourrissent nos propres besoins tout en tenant compte de ceux des autres.







    « Avec le processus CNV les critiques, accusations, jugements sont traduits en faits, sentiments et besoins afin de permettre, au delà des mots, de clarifier les intentions, d’être entendu dans les besoins fondamentaux, de trouver par soi-même des solutions,

    • 34 min
    Connaître le besoin d’alimentation, d’hydratation et d’élimination

    Connaître le besoin d’alimentation, d’hydratation et d’élimination

    Table des matières



    * Besoin d’alimentation, d’hydratation et d’élimination, pourquoi y veiller ?





    * Ces besoins au regard de la fatigue émotionnelle





    * Des illustrations pour conscientiser nos besoins d’alimentation, d’hydratation et d’élimination





    * les stratégies de l’alimentation, de l’hydratation et de l’élimination





    * Observez comment vous vivez ces besoins





    * A vous de jouer !

























    Aujourd’hui, dans la rubrique « les besoins en bref » je vous propose de découvrir quelques notions sur les besoins d’alimentation, d’hydratation et d’élimination à travers la prévention de l’épuisement.







    Une introduction pour identifier nos besoins, apprendre à les conscientiser et être à leur écoute pour prendre soin de soi. Et pour la suite … rendez-vous dans mes accompagnements en ligne ! 😉





    Besoin d’alimentation, d’hydratation et d’élimination, pourquoi y veiller ?





    Manger sainement et s’hydrater suffisamment sont des besoins nécessaires à notre survie:







    * Notre organisme a besoin d’un apport suffisant pour se réchauffer et avoir de l’énergie pour nous mettre en mouvement.* En parallèle nous avons nécessité d’éliminer régulièrement les déchets qui résultent du fonctionnement de notre organisme. C’est ce que l’on appelle le besoin d’élimination.







    Il est important de veiller à ces besoins indépendamment d’une situation de fatigue ou d’épuisement. 







    * Il est intéressant, lorsqu’on évoque cette notion de besoin d’alimentation, d’hydratation et d’élimination, d’avoir en conscience que le stress et la fatigue influencent nos capacités digestives.





    Ces besoins au regard de la fatigue émotionnelle





    Plus il y a de stress et de fatigue plus notre digestion est difficile.







    Ainsi il est important de veiller à garder une alimentation saine, c’est-à-dire celle qui va apporter des vitamines et des éléments bénéfiques à notre corps, de veiller à ce que ce soit des produits de qualité, frais, et d’éviter les aliments trop complexes à digérer.







    Il est important de garder cela à l’esprit également sachant que notre stress et notre fatigue nous pousse à nous jeter sur des aliments riches en sucre et en graisse. 





    Des illustrations pour conscientiser nos besoins d’alimentation, d’hydratation et d’élimination





    Voici les illustrations que j’utilise pour m’entraîner à rester consciente de ces besoins. 







    J’ai deux types de cartes inspirantes pour illustrer ces besoins :

    • 11 min
    Mon syndrome de l’imposteur

    Mon syndrome de l’imposteur

    Vous arrive-t-il de vous dire que vous ne méritez pas telle ou telle réussite ? Que vous n’êtes pas à votre bonne place parce que vous pensez ne pas être légitime ? Que vos proches ou vos collègues de travail finiront un jour par découvrir que vous n’êtes pas aussi fort ou aussi intelligent que ce qu’ils pensent ?







    Cet article vous intéressera si vous pensez ou avez pensé cela à un moment de votre vie … car il est possible que vous ayez développé un syndrome de l’imposteur.







    Pour découvrir en quoi cela consiste, comment savoir si c’est votre cas et comment y remédier je vous propose de lire ce qui suit :





    C’est quoi le syndrome de l’imposteur ?





    Lorsqu’on emploie généralement le terme « imposteur » on admet qu’il correspond à un individu qui trompe ceux qui l’entourent (sa famille, ses amis ou ses collègues). L’imposteur use potentiellement d’une ou plusieurs fausses identités et met des qualités et des capacités en avant alors qu’il ne les possède pas réellement.







    L’usage courant de ce terme rapproche donc l’imposteur du manipulateur ou du menteur. Toutefois, lorsqu’on parle de syndrome de l’imposteur, il n’est pas du tout question de cela !







    Ce syndrome a été identifié par les psychologues Pauline Rose CLANCE et Suzanne Ament IMES en 1978. Il a ensuite été défini par P. R. CLANCE (psychologue clinicienne et professeur de psychologie clinique à la Georgia State University) dans les années 80.













    Définition du terme





    Selon les chercheurs dans ce domaine, ce syndrome se définit par :







    * Une impression de tromper;







    * Attribuer sa réussite à des causes externes (comme la chance, le hasard, les relations, …) et nos échecs à nous même;







    * La peur d’être démasqué.







    Le syndrome de l’imposteur amène la personne à vivre dans le doute quant à ses capacités, à sous-estimer les valorisations d’autrui à son égard ainsi que tout autre signe extérieur qui soulignerait sa valeur.







    Avec ce syndrome on a l’impression de vivre avec une sorte de «masque » comme l’explique P. R. CLANCE (1985): « le masque d’une identité en opposition avec ce qu’ils ont l’impression de vivre ».







    De ce fait on vit dans la crainte d’être démasqué !







    « On dirait que plus je m’améliore, plus mon sentiment d’inadéquation augmente et je me dis: n’importe quand, quelqu’un pourrait se rendre compte que je suis une totale imposture et que je ne mérite rien de tout ce que j’ai fait ».Emma WATSON, Actrice. Citation in « Traiter la dépréciation de soi » par Kevin Chassangre et Stacey Callahan.





    Syndrome de l’imposteur, une maladie ?





    Le syndrome de l’imposteur n’est pas une maladie au sens clinique et diagnostique du terme. Cependant c’est un syndrome réel considéré par les psychologues comme « un obstacle au bien-être ou à l’expression de son véritable potentiel ».







    En France, il existe un très grand nombre d’appellations différentes pour nommer le syndrome de l’imposteur (exemples : sentiment d’imposture, de fraude perçue, imposteur névrotique, complexe de l’imposteur, syndrome de l’imposteur, etc…).







    Cela crée du flou malgré le fait que sa description soit claire. De ce fait la notion nous paraît vague et reste méconnue .







    « 62 à 70 % de la population générale douterait un moment ou un autre au cours de sa carrière de la légitimité de son statut, de son succès ».Pauline Rose CLANCE.







    D’après les recherches,

    • 47 min
    Ce bon vieux journal !

    Ce bon vieux journal !

    Vous pouvez aussi écouter cette article via le podcast du blog en cliquant simplement sur « play » dans le lecteur ci-dessus 😉







    Il y a des personnes qui confient chaque jour la moindre de leur pensée, leur expérience de vie, dans les pages de leur journal quand d’autres n’auront sans doute jamais osé écrire une ligne de crainte d’en perdre leur virilité: « Tenir un journal ? C’est pour les petites filles ! ». Et puis il y a ceux et celles qui en ont tenu un, quelques jours, quelques années, avant de le laisser prendre la poussière sur une étagère ou au fond du tiroir de leur table de nuit.







    Je me rappelle bien ! Les miens ont eu des couvertures enfantines, un champ de tournesol, un clown pastel dans le décor d’une chambre d’enfant, puis plus sobre en avançant en âge, en cuire et relié. Ensuite est venu le temps des écrans, une application qui ne m’a pas inspiré longtemps et finalement des pages de notes. Quelques feuilles volantes par moment. Je n’ai jamais réussi à m’y astreindre régulièrement et en y repensant je donnerais beaucoup pour recommencer de zéro et tout noter !







    Et vous ? Avez vous déjà tenu un journal ? A quoi ressemblait-il ?





    Des effets bénéfiques





    Si vous avez suivi la semaine 2 du défi du cordonnier, vous avez pu lire les effets bénéfiques engendrés par l’écriture et la prise de note. J’avais en effet abordé la puissance de ces notes pour alléger l’esprit et éviter une partie de la charge mentale. Cette semaine on va parler de l’une des formes d’écriture: le journal.







    Avec cette technique ancestrale, nous avons la possibilité de susciter chez nous un allègement de l’esprit mais également des opportunités de réflexion, davantage de clarté, la possibilité de se replonger dans notre passé, des pistes de compréhension, etc …







    Après quelques points d’histoire et d’apports scientifiques afin de mieux comprendre comment l’utilisation d’un journal fonctionne, nous verrons ensemble comment nous l’approprier, ou nous le réapproprier, afin d’en faire, à notre tour, notre compagnon de route.













    Chers diaristes





    Le diariste est le nom que l’on donne aux personnes qui tiennent un journal personnel. Ce terme on le retrouve à la fois de l’ancien mot français « diaire » (registre des évènements de la vie quotidienne d’une institution religieuse) et du terme anglais « diarist » (auteur d’un journal intime).







    L’utilisation d’un journal provient de divers domaines (diaire pour l’institution religieuse, journal de bord pour la navigation, journal de guerre, …) c’est donc un outil très ancien qui revêt, de près ou de loin, plusieurs utilisations et objectifs différents.







    L’utilisation dont je vais vous parler aujourd’hui ressemble d’avantage à la forme du journal tel qu’il se développait à la fin du XIXème siècle. Après une période où l’on utilisait le journal comme un outil éducatif ou spirituel (journal de bon comportement, de bonnes actions), certaines personnes ont commencé à l’utiliser sous sa forme actuelle: un recueil daté de pensées, de réflexions et d’évènements du quotidien.







    Il existe également un journal dont l’objet est « littéraire » ou « artistique ». Un support à travers lequel leur auteur transmet ces mêmes éléments personnels et créatifs mais avec l’intention que d’autres le lisent. On parle alors de journal « extime » ou de « journal personnel ».







    Cet article concerne le journal « intime ». Celui qui est caché ou secret.

    • 32 min
    Quand ça chamboule tout

    Quand ça chamboule tout

    Cette semaine comme les autres, j’ai à cœur de transmettre de l’espoir, de la bienveillance et des pistes de ressources. En situation de crise on est tous à flux tendu, on est peut être déjà éreinté, on part au quart de tour à la moindre étincelle, bref nos émotions ont souvent le dessus.







    Je n’ai toujours pas la solution idéale et générale puisque cela n’existe pas, ou qu’il en existe parfois 36 et que cela dépend de qui nous sommes et de ce que nous vivons.







    Pour autant, je fais ma part comme le ferait le colibri de l’histoire (à voir en fin d’article). Dans ce que je transmets ici chacun de nous saura de quoi il pourra et voudra se saisir. On essayera ici de comprendre quel impact ce type de crise peut avoir sur notre psychisme, puis je vous laisserai piocher parmi quelques réflexions et techniques de bien-être.







    Si l’article est trop long pour vous, écoutez le podcast ci-joint.





    Comment une crise nous impacte





    Une crise est définie en psychologie comme « un changement brusque et décisif dans le cours d’un processus » (Cf. biblio de fin d’article). Cela peut être, par exemple, une maladie individuelle ou une perte brutale, ou encore une crise d’ampleur générale comme l’effondrement d’une institution, une crise sanitaire, une guerre, etc… La crise est vécue comme un point de rupture et peut aussi être associée à la sensation d’une menace vitale. Cette sensation est différente d’une personne à l’autre.















    Cette crise peut nous laisser quelques temps dans la sidération, comme sans mot et sans pensée. C’est une fois que l’on reprend nos esprits que l’on peut y reconnaitre la sensation de perturbation, le sentiment de dépression, etc…







    Lorsqu’il y a crise, il y a aussi pour nous, mise en place de moyens d’actions visant à notre survie … ça vous dit quelque chose ? Lorsqu’on observe, soi ou les autres, ayant des comportements inhabituels et souvent démesurés (agressivité et assaut des magasins d’alimentation, …) faisant bondir notre représentation du civisme. Et oui, la crise induit en nous le déclenchement d’une alarme qui agit sur notre cerveau archaïque (reptilien) car la crise génère de l’angoisse.







    Face à cette angoisse nous ne réagissons pas tous de la même manière. Pour éviter le chaos ce sont alors les ressources externes (environnement proches, êtres chers, institutions, société, … ) qui permettront de réguler les débordements.







    La crise est difficile à vivre car nous sommes des êtres qui ne pouvons vivre sans équilibre. Tout bouleversement amène notre corps et notre cerveau à rechercher de l’équilibre en tout moment et pour cela nous allons puiser dans nos ressources internes et externes les moyens d’y arriver (physiologie, psychologie et sociologie).





    C’est insupportable à vivre ?





    Si la crise dépasse les limites de notre personne (par exemple lors d’une crise sanitaire ou sociale) alors nous avons la difficulté supplémentaire de ne pas trouver facilement nos repères directes ou nos ressources habituelles et le vécu en est alors décuplé.







    Il nous faudra alors mobiliser les ressources adéquates pour réguler notre état et retrouver un certain équilibre. Pour cela, l’être humain a divers actions possible: modifier son comportement, utiliser ses systèmes de défenses (le recourt à l’humour et le fait de transformer la situation en occasion de créer du beau ou de s’ouvrir à l’altruisme en font partie), s’extraire de la situation, … dans tous les cas la crise amènera le changem...

    • 59 min
    Arrêtons de lutter !

    Arrêtons de lutter !

    Cette semaine on fait une pause ! Une étape nécessaire au sujet de la fatigue. Mon article est volontairement court même si l’on pourrait faire des tartines bien consistantes sur ce sujet. J’ai décidé de faire un texte concis et de vous proposer une technique qui ne vous demande pas d’outil particulier et qui ne prend pas de temps de mise en place.





    Dormir comme un bébé





    J’observe ce matin Valentin, 6 mois, dans la section des bébés de la crèche. Visiblement il est très fatigué … que croyez-vous qu’il a fait ? Je précise qu’il venait de boire son biberon. Il est donc reput … Il est entouré de personnes avec lesquelles il a créé un lien de confiance et un sentiment de sécurité.







    Va-t-il essayer de lutter contre la fatigue ? Est-il en train de se dire qu’il n’est pas bon de ressentir de la fatigue? Pourrait-il penser qu’il lui faut lutter ou dépasser ses limites ? Croit-il qu’il y a un intérêt à ne pas se laisser emporter dans les bras de Morphée ?







    Aucun suspense : il reste sur son tapis douillet, allongé sur le dos. Il respire le doudou que l’auxiliaire de puériculture lui a posé près de l’épaule. Il bouge encore légèrement ses petits bras, puis laisse ses yeux se fermer, et il s’endort.







    Regarder aussi le chat: il a chassé toute la nuit et a certainement réussi à attraper quelques souris. Ou bien s’est-il simplement amusé à sauter d’arbre en arbre ou de visiter quelques balcons. Quoi qu’il en soit, le chat fatigué s’endort, lui également.







    Dans quel cas le bébé et le chat ne s’endormiraient-il pas lorsqu’ils sont fatigués ? Certes, dans les situations où ils se sentent menacés dans leur intégrité, en situation d’insécurité ? Mais en sécurité et apaisés, ils dorment !















    Arrêter de lutter contre sa fatigue c’est accepter ses signaux et apprendre à en tenir compte pour ménager sa santé physique et psychologique.







    Un grand nombre de situations d’épuisement est dû à la méconnaissance des signes de la fatigue ou au comportement de déni par rapport à celle-ci.





    Fatigue : des signaux à entendre





    Le message de cette semaine est qu’il n’y a rien d’autre à faire que de vivre la vérité de notre fatigue dans le moment présent. Que nos ressentis soient agréables ou désagréables, ce sont eux qui doivent nous permettre de prendre mieux soin de nous.







    J’en ai parlé dans l’article sur les émotions que vous trouverez ici, les émotions et ressentis désagréables sont des sortes d’alarmes qu’il est important d’écouter. Les signes de la fatigue (psychologique et physique) sont à entendre de la même façon.





    A vous de jouer !





    Ce qui me semble important aujourd’hui c’est de mettre en lumière la tendance que nous avons parfois à occulter ce qui se passe en nous. A taire ce que l’on ressent de désagréable, quitte à être dans le déni complet de notre tristesse, notre colère, ou notre fatigue.















    Car pour lutter contre la fatigue émotionnelle il est crucial d’accepter qu’elle puisse exister. Par exemple, il est nécessaire …







    * d’éprouver le ressenti désagréable de perte de nos moyens, * de sentir et d’accepter que l’on ne trouve plus nos mots parce que notre cerveau crie sa saturation, * ou de sentir et d’accepter nos pertes de mémoire, notre frustration ou notre abattement à ne pas nous s...

    • 10 min

Top Podcasts In Health & Fitness

Huberman Lab
Scicomm Media
On Purpose with Jay Shetty
iHeartPodcasts
The School of Greatness
Lewis Howes
The Peter Attia Drive
Peter Attia, MD
Passion Struck with John R. Miles
John R. Miles
Ten Percent Happier with Dan Harris
Ten Percent Happier