Impliquez-vous • Fréquence Terre

Frédéric Bénot
Impliquez-vous • Fréquence Terre

Voilà plusieurs décennies que les politiques nous promènes avec leur promesses de régulations écologiques. Le trou dans la couchez d'Ozone = 1980. La pollution atmosphérique, le réchauffement climatique = 1970. Ils sont au courant mais nous mènent en bateau pour répondre à l'intérêt économique d'une poignée d'entreprises qui ont financé leurs campagnes électorales et auxquelles ils sont redevables. Arrêtons d'attendre que la solution vienne d'eux et prenons-nous en main en tant que citoyens ! Engageons-nous dans des actions, montons les entreprises responsables de demain où il fait bon travailler, avec nos règles. Rejoignons les associations qui ont compris cela depuis plus longtemps que nous ! Impliquez-vous est un podcast qui vous propose de découvrir des actions dans lesquelles vous allez pouvoir vous engager pour commencer à stopper le réchauffement climatique.

Episodes

  1. 6D AGO

    Les gorgones : un écosystème méditerranéen fascinant (avec Terra Cultura)

    Les gorgones, ces être marins étonnants, sont l’un des joyaux cachés des fonds de la mer Méditerranée. Damien Lafon, rédacteur en chef du magazine Terra Cultura, nous plonge dans un univers où biologie, écologie et mythologie se croisent pour nous offrir un spectacle unique. Les gorgones : entre mythe et réalité Quand on évoque les gorgones, on pense souvent à la mythologie grecque, notamment à Méduse et sa chevelure de serpents. Pourtant, dans le monde marin, les gorgones sont bien différentes. « Les gorgones, c’est un univers totalement à part. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce ne sont pas des plantes, mais des animaux », explique Damien Lafon. Ces organismes fascinants appartiennent à la famille des cnidaires, tout comme les méduses ou les anémones. Parmi les espèces les plus connues, la gorgone pourpre (Paramuricea clavata) se distingue par sa beauté et sa présence exclusive en Méditerranée. Un écosystème riche et varié Les gorgones, souvent perçues comme des arbres sous-marins, vivent en colonie. Chaque branche abrite des centaines de polypes, ces petits organismes qui capturent le zooplancton pour se nourrir. « Ce sont des filtreurs extraordinaires. Chaque polype contribue à nourrir la colonie et assure sa croissance », précise Damien Lafon. On peut observer différentes espèces, comme la gorgone noire, la gorgone bleue ou encore la gorgone éventail. Ces animaux jouent un rôle crucial dans l’équilibre des fonds marins, en fournissant un habitat à d’autres espèces comme les poissons ou les étoiles de mer.     Une croissance lente mais spectaculaire Les gorgones poussent très lentement, à raison de 1 à 5 centimètres par an. Cette lenteur les rend particulièrement vulnérables. « Une gorgone d’un mètre peut avoir plusieurs dizaines d’années. Leur fragilité est un réel enjeu pour leur survie », souligne Damien Lafon. Leur habitat préféré se trouve entre 20 et 120 mètres de profondeur, dans des zones où la lumière est tamisée et les courants suffisants pour leur apporter des nutriments essentiels. Les menaces qui pèsent sur les gorgones Comme beaucoup d’écosystèmes marins, les gorgones sont exposées à de multiples dangers : * Le réchauffement climatique : « La hausse de la température de l’eau peut être fatale pour ces espèces fragiles », rappelle Damien. * La pollution : Une mauvaise qualité de l’eau, due aux activités humaines, peut affecter leur croissance. * Les pressions humaines : L’ancrage des bateaux et les coups de palmes des plongeurs peuvent causer des dégâts irréparables. « Un coup de palme mal placé peut briser une branche qui a mis des années à pousser », précise Damien, soulignant l’importance de sensibiliser les usagers de la mer. Protéger un écosystème unique Face à ces menaces, des initiatives de protection voient le jour, notamment dans des régions comme les calanques de Marseille. « Des zones marines protégées ont été créées pour limiter les activités humaines et préserver ces joyaux », explique Damien. Ces mesures incluent l’interdiction d’ancrer les bateaux dans certaines zones, la régulation de la plongée et la mise en place de programmes de sensibilisation. « Il est essentiel d’apprendre à observer sans toucher et à respecter la fragilité de ces habitats », insiste-t-il. Pourquoi les gorgones sont essentielles Les gorgones ne sont pas seulement belles à observer. Elles jouent un rôle vital dans les écosystèmes marins. « Elles servent de refuge et de nourricerie à de nombreuses espèces, tout en contribuant à la biodiversité de la méditerranée », explique Damien Lafon. Protéger les gorgones, c’est donc préserver un équilibre fragile, indispensable à la santé des fonds marins et à la richesse de n...

    19 min
  2. APR 8

    Macaques crabiers : miroir de nos interactions avec la nature

    Damien Lafon, rédacteur en chef de Terra Cultura, partage son expertise sur les macaques crabiers, des primates fascinants au cœur de l’Asie du Sud-Est. Habitat, comportements sociaux et interactions avec les humains dévoilent un lien étroit entre ces singes et les enjeux environnementaux actuels. Une immersion dans le quotidien des macaques crabiers « Les macaques crabiers, ou macaques à longue queue, sont omniprésents en Asie du Sud-Est. On les trouve aussi bien sur des îles isolées que dans des zones urbaines comme Bali ou la Thaïlande, » explique Damien Lafon. Observés dans leur habitat naturel – plages, mangroves, forêts tropicales – ces singes témoignent d’une capacité d’adaptation exceptionnelle. Leur alimentation variée, allant des fruits aux crustacés comme les limules, illustre cette adaptabilité. « J’ai vu un macaque utiliser un caillou pour casser des coquillages en Malaisie, preuve d’une intelligence pratique impressionnante, » raconte-t-il. L’organisation sociale : une communauté matrilinéaire Les macaques crabiers vivent en groupes appelés communautés matrilinéaires. « C’est la mère qui joue un rôle central : elle s’occupe des petits, souvent avec l’aide des autres femelles, » précise Damien. Cette structure permet de protéger les petits tout en favorisant la cohésion du groupe. Les mâles, quant à eux, quittent le groupe à l’âge adulte, évitant ainsi la consanguinité. « C’est fascinant de voir comment la nature a orchestré ce comportement, » ajoute-t-il. Les macaques et les villes : entre opportunisme et défis Dans les zones urbaines, les macaques crabiers exploitent les ressources humaines. « À Ubud, Bali, j’ai vu des singes voler des lunettes ou des appareils photo, puis les échanger contre de la nourriture, » Ces interactions montrent leur capacité à manipuler les humains, mais posent aussi des défis. Les macaques deviennent parfois agressifs, forçant les habitants à renforcer la sécurité de leurs maisons. Le macaque crabier : espèce invasive ou symbole culturel ? Malgré leur statut d’espèce invasive, les macaques crabiers sont souvent protégés par des croyances locales. « Dans l’hindouisme, ils sont associés au dieu-singe Hanouman, symbole de courage et de protection, » Cependant, cette prolifération entraîne des mesures de contrôle, notamment la castration de certains mâles pour limiter les naissances. Apprendre de nos cousins éloignés L’observation des macaques crabiers révèle des parallèles intrigants avec les humains. « Leur usage d’outils, leur organisation sociale et leur capacité à s’adapter rappellent nos propres comportements, »   Ces primates nous offrent un miroir de notre rapport à l’environnement et à la communauté. Leur résilience face aux pressions humaines est une leçon sur l’importance de coexister harmonieusement avec la nature.   Apprenez-en plus sur les macaques en écoutant notre podacst, en regardant notre interview ci-dessous, ou en allant également directement sur le site de Terra Cultura lire l’article : Macaques Crabiers : Habitat, Comportement et Rôle Écologique [VIDÉO]

    24 min
  3. APR 1

    L’Art Aborigène : Héritage Spirituel et Culturel de l’Australie [avec Terra Cultura]

    Une Histoire Remontant à 40 000 Ans L’art aborigène est bien plus qu’une simple expression artistique. Il s’agit d’un véritable témoignage historique et spirituel d’une culture vieille de plus de 40 000 ans. Svetlana Markov, correspondante pour Terra Cultura, rappelle que cet art est omniprésent en Australie : « Sur une seule région, il peut y avoir jusqu’à 5000 sites de peintures rupestres, et dans tout le pays, ce chiffre atteint les 100 000. » Ce patrimoine exceptionnel reste néanmoins marqué par la colonisation, qui a détruit de nombreux sites sacrés le long de la côte est du pays. Le Temps du Rêve : Une Dimension Sacrée Le concept du « Temps du Rêve » est central dans la culture aborigène. Svetlana souligne que les peintures ne sont pas de simples œuvres, mais des messages des esprits, créés uniquement lors de cérémonies. « Seuls les initiés, ceux qui possèdent des connaissances spirituelles et magiques, sont autorisés à peindre », explique-t-elle. Ces œuvres transmettent des récits sacrés, des mythes et des connexions profondes avec la terre. Les Sites Sacrés de l’Australie Certains sites comme Uluru, Kadachuka et les montagnes des Kimberley sont particulièrement significatifs. Svetlana mentionne également le site d’Ubirr, situé à proximité de Darwin, qui était autrefois un lieu de rassemblement pour les communautés aborigènes. « C’est ici que les artistes échangeaient leurs rêves, leurs expériences et leurs connaissances durant la saison des pluies, » partage-t-elle. Les Esprits Mimi et Leurs Représentations Les esprits mimi occupent une place importante dans l’art aborigène. Ces figures élancées et symboliques, souvent accompagnées de sacs, sont des gardiens spirituels. Svetlana raconte : « Ces sacs contiennent des graines, des enfants, ou encore des paroles, symbolisant ainsi la vie et la survie. » Ces représentations démontrent l’interconnexion entre l’homme, la nature et le sacré. Une Conservation Impressionnante Malgré l’exposition des peintures à l’extérieur, leur état de conservation reste remarquable grâce à l’utilisation de pigments naturels comme l’hématite, un oxyde de fer rouge. Svetlana précise : « Ce pigment est particulièrement durable, permettant à ces œuvres de traverser les âges. » Une Culture Profondément Secrète L’une des particularités de la culture aborigène est son caractère secret. Les informations concernant les symboles sacrés ou les rituels sont jalousement gardées. «Même après avoir travaillé avec des femmes aborigènes, il était difficile de comprendre entièrement leur culture» Elle ajoute que pour accéder à ces connaissances, il faut vivre au sein des communautés sur le long terme et être initié à travers des cérémonies. Le Paradoxe de l’Art Aborigène Contemporain Aujourd’hui, l’art aborigène a une portée internationale, mais il est soumis à des restrictions culturelles. Les artistes contemporains ne peuvent reproduire fidèlement les symboles sacrés. Svetlana explique : « Ces symboles doivent être modifiés ou recouverts afin de protéger leur essence spirituelle. » Cette préservation garantit la pérennité des traditions tout en rendant l’art accessible au grand public. Des Sites Touristiques Sous Surveillance Des lieux comme Uluru et Kakadu sont aujourd’hui des attractions touristiques sous contrôle. Les visiteurs doivent respecter des règles strictes, comme quitter les sites à la tombée de la nuit. « Des rangers aborigènes veillent à la préservation de ces endroits ». Ces mesures permettent de concilier tourisme et respect des traditions. Une Transmission Fragile Svetlana souligne également la difficulté pour les jeunes générations aborigènes de maintenir leur patrimoine culturel face à la modernité.

    23 min
  4. MAR 25

    Rennes islandais : une histoire d’adaptation à une terre extrême

    Nichée entre des paysages de glaciers, de volcans et de plaines sauvages, l’Islande abrite une faune aussi fascinante qu’adaptée à ses conditions extrêmes. Parmi ces animaux, les rennes occupent une place singulière. Introduits par l’homme il y a plusieurs siècles, ils incarnent aujourd’hui une étonnante histoire de survie et d’intégration dans un environnement à la fois hostile et spectaculaire. Damien Lafon, rédacteur en chef de Terra Cultura, partage avec nous son expertise sur ces créatures emblématiques et leur rôle dans l’écosystème islandais. De leur introduction à leur impact écologique, cet article est un plongeon dans l’histoire intrigante des rennes islandais. Retrouvez la vidéo de cet entretien en bas de page.  Voyager en Islande, entre aventure et respect Pour Damien Lafon, l’Islande représente bien plus qu’une destination : c’est une passion. Depuis dix ans, il y organise des workshops de photographie pour capturer la beauté sauvage de l’île. « Les plaines infinies, les volcans en éruption et les cascades majestueuses sont une source d’inspiration constante» Une espèce introduite sur une terre volcanique En Islande, les rennes ne sont pas originaires de l’île. Introduits au XVIIIe siècle par le gouvernement danois, ces animaux avaient pour but de fournir de la viande et du cuir à la population locale. « Les rennes sont arrivés en Islande principalement pour des raisons de subsistance, » explique Damien Lafon, rédacteur en chef de Terra Cultura. Ces animaux herbivores se sont depuis adaptés aux conditions rudes et extrêmes de l’île. Une répartition géographique unique Les rennes se concentrent principalement dans l’Est de l’Islande, une région qui offre des plaines et quelques forêts pour leur alimentation. « L’Islande est une terre complexe, avec des volcans, des lagunes, et des zones totalement dépourvues de végétation, » précise Damien. Les rennes s’adaptent en broutant des lichens et des mousses sur les terres volcaniques, une ressource rare mais essentielle pour leur survie. Une population réglementée Avec une population estimée à 3 000 individus, les rennes islandais font l’objet d’une stricte régulation. Les autorités islandaises limitent leur prolifération pour préserver l’écosystème local et répondre à des besoins alimentaires. « L’Islande n’est pas une terre propice à l’agriculture extensive, ce qui oblige à maintenir un équilibre entre la faune sauvage et les ressources naturelles, » Une faune farouche et sauvage Contrairement à d’autres pays nordiques, les rennes islandais ne sont pas domestiqués. Ils vivent en liberté et sont extrêmement craintifs. Damien partage ses expériences : « Lors d’un voyage en février, j’ai pu capturer des images de rennes en pleine tempête, à une vingtaine de mètres, ce qui est un exploit tant ils sont difficiles à approcher» L’importance écologique et culturelle des rennes Les rennes jouent un rôle écologique crucial en Islande. Leur broutage limite la croissance des lichens, évitant une prolifération excessive. Ils sont aussi une ressource pour l’industrie locale, notamment la production de cuir. « Leur pelage dense les protège du froid et des vents extrêmes qui soufflent parfois à plus de 100 km/h » Une Islande entre traditions et modernité L’Islande est une terre de contrastes, à la fois sauvage et connectée à la modernité. « Les Islandais ne sont pas des chasseurs, mais des pêcheurs. Leur mode de vie s’adapte aux conditions naturelles extrêmes » La géothermie est exploitée pour chauffer les habitations et produire des denrées locales comme des tomates.

    22 min
  5. 03/08/2024

    L’histoire d’un village breton qui empêche la construction d’une centrale nucléaire.

    Fréquence Terre a rencontré Nicolas Guillou, réalisateur du film « Nous serons toujours là – Plogoff 1980 ». L’histoire (réelle) d’un village breton (Plogoff – Finistère, pointe du raz) qui s’est mobilisé dans les années 1980 contre l’implantation devant chez eux, d’une centrale nucléaire. Non sans rappeler des combats comme celui de Notre-Dame-Des-Landes, Nicolas Guillou raconte comment les habitants (et les maires) des communes ont appris par les journaux et sans aucune concertation préalable, qu’une centrale allait se construire sur leur territoire. La population s’est très vite mobilisée, non sans créer des déchirures au sein de la population voire même dans certaines familles. Pour monter son film, Nicolas Guillou est allé à la rencontre de la population, sur place. Il a été surpris de constater que 44 ans plus tard, la plaie n’était pas refermée. « Quand j’ai organisé mes réunions publiques pour présenter mon projet, j’ai même vu des femmes pleurer tellement le traumatisme était encore frais dans les esprits ». Ce que Nicolas Guillou voulait montrer dans son film, c’est « la mobilisation positive » … « montrer qu’il est possible d’arriver à des résultats si on se mobilise ». Si 40 ans après cet événements le traumatisme est encore palpable, pour Nicolas Guillou nous sommes loin d’avoir réglé ce genre de problème. Pour lui, le gouvernement cherche toujours à passer en force et « nous prend pour des cons ». Pour ce qui est du problème de l’énergie aujourd’hui en France et dans le monde, « nous prenons le problème à l’envers »… « Ce sont des projets qui doivent s’inscrire sur le long terme, avec la population. Nous avons des ingénieurs » … De rappeler que le nucléaire civil est au centre des intérêts en Ukraine et il faut se poser la question dans le cadre d’une guerre plus large. La préoccupation des habitants de Plogoff était d’abord une question « d’urbanisme ». La centrale allait dénaturer le paysage et des habitants allaient être délocalisés ce à quoi ils s’opposaient fermement. Ce n’est que dans un second temps et après la constitution par les habitant eux-mêmes de comités locaux d’information nucléaire (CLIN) que des scientifiques sont venus expliquer à la population locale ce qu’était le nucléaire et toute sa dangerosité. Ces séances d’information parfois à l’origine de la constitution des premières associations écologistes, ont eu comme effet de renforcer la mobilisation. Pour les pêcheurs et les agriculteurs du coin, l’inquiétude était grande : « personne n’achètera plus mes poissons » … « personne n’achètera plus mes légumes ». Même si EDF leur assurait le contraire, la méfiance s’est installée et les habitants ont découvert au final toutes les techniques sournoises employées par EDF pour leur faire courber l’échine. Vous l’avez compris, la mobilisation l’a emportée sur l’implantation de la centrale à Plogoff, mais pour Nicolas Guillou, il était important de faire revivre cet événement et de mettre en exergue ce qu’il appelle « la lutte positive », « car ce n’est pas fini »… « le cas de figure peut se reproduire »… de prendre l’exemple des bonnets rouges (mobilisation en 2013 contre le projet de la taxe poids lourds) ou encore Notre-Dame-Des-Landes. « Je reproche aux gouvernements de prendre des décisions à court terme »… » ce sont toujours des décisions qui doivent produire leurs effets pendant le quinquennat »… »sur des problématiques aussi importantes que l’énergie, il faut voir plus loin »… »j’ai peur que nous ayons le même problème avec l’éolien et le photovoltaïque ».  Plogoff sort en salles le 27 mars.

    7 min
  6. 02/20/2024

    Présentation de la nouvelle émission de Fréquence Terre : Impliquez-vous !

    20 ans après la création de Fréquence Terre, je vous présente une nouvelle émission qui va nous permettre de faire le point sur la situation, mais aussi de vous présenter des actions concrètes dans lesquelles vous – simples citoyens – allez pouvoir vous engager. Chaque semaine, je vais vous présenter une initiative, une association, une entreprise qui à misé sur l’avenir de l’Homme et (cela va ensemble) sur la protection de la planète. Devant l’inaction de nos gouvernements successifs qui préfèrent payer des amendes (que nous finançons) plutôt que de se mettre en conformité, nous n’avons plus rien à attendre. S’impliquer personnellement en suivant des exemples déjà en cours est la seule façon de rétablir la situation et de prendre les choses en main. Si vous pensez avoir une action à me communiquez, n’hésitez pas à prendre contact pour ma la signaler. Si vous avez monté une association, si vous « travaillez » ou êtes bénévole dans une association de protection de l’environnement, n’hésitez pas à me parler de votre initiative afin que je puisse m’en faire le relais. Et enfin, si vous avez mis en place une entreprise vertueuse, où les employés sont heureux de travailler, ou que votre entreprise agit tout en préservant l’environnement, alors contactez-moi ! Je me ferais un plaisir de vous prendre comme exemple. Impliquez-vous ! Il est temps !

    9 min

About

Voilà plusieurs décennies que les politiques nous promènes avec leur promesses de régulations écologiques. Le trou dans la couchez d'Ozone = 1980. La pollution atmosphérique, le réchauffement climatique = 1970. Ils sont au courant mais nous mènent en bateau pour répondre à l'intérêt économique d'une poignée d'entreprises qui ont financé leurs campagnes électorales et auxquelles ils sont redevables. Arrêtons d'attendre que la solution vienne d'eux et prenons-nous en main en tant que citoyens ! Engageons-nous dans des actions, montons les entreprises responsables de demain où il fait bon travailler, avec nos règles. Rejoignons les associations qui ont compris cela depuis plus longtemps que nous ! Impliquez-vous est un podcast qui vous propose de découvrir des actions dans lesquelles vous allez pouvoir vous engager pour commencer à stopper le réchauffement climatique.

To listen to explicit episodes, sign in.

Stay up to date with this show

Sign in or sign up to follow shows, save episodes, and get the latest updates.

Select a country or region

Africa, Middle East, and India

Asia Pacific

Europe

Latin America and the Caribbean

The United States and Canada