25 episodes

Chaque semaine nous explorons l'univers et les points de vue de personnalités des industries créatives et culturelles qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre. Pour retrouver l'émission en texte et en image rendez-vous sur www.reuni.com

Le Monde de RÉUNI Réuni

    • Society & Culture
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Chaque semaine nous explorons l'univers et les points de vue de personnalités des industries créatives et culturelles qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre. Pour retrouver l'émission en texte et en image rendez-vous sur www.reuni.com

    Lorenza Lenzi, Cheffe et co-fondatrice des restaurants Caché et Amagat

    Lorenza Lenzi, Cheffe et co-fondatrice des restaurants Caché et Amagat

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.
    Née à Rome, Lorenza Lenzi est une épicurienne passionnée aux multiples casquettes. Cheffe et co-fondatrice de nombreux concepts food, elle est notamment à l'origine des restaurants Caché et Amagat de la Villa Riberolle dans le 20ème.

    Véritable foodie, Lorenza est une travailleuse hors-pair et une adepte des concepts éphémères qu'elle développera, entre autres, avec l'équipe de The Social Food.

    Ayant grandi dans une famille d'artistes, Lorenza nous raconte sa douce enfance italienne passée aux côtés de son grand-père, qui lui transmettra l'amour du beau et du bon. De son appartement à ses cuisines, Lorenza nous invite à découvrir son univers aux diverses influences.

    Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :


    - Lorenza Lenzi se présente
    - La visite de son appartement et ses anecdotes
    - Son parcours
    - Son enfance en Italie et son héritage artistique
    - Ses différentes expériences dans le monde culinaire
    - La création des restaurants Caché et Amagat
    - Son art de vivre
    - Ses inspirations

    “Il y a aussi des tableaux, auxquels je tiens beaucoup car ce sont des portraits de mon grand-père, qui sont dessinés par Federico Fellini. Ils sont faits sur des serviettes de table parce que quand ils allaient au restaurant ensemble, Federico s’amusait à dessiner sur des serviettes.”

    “Le week-end, comme j’adorais Rose Bakery, je travaillais en tant que pâtissière chez eux. Rose m’a beaucoup appris et j’ai trouvé ça fascinant, c’était la rigueur et la perfection.”

    “À Rome, on avait un grand et très bel appartement avec les ateliers de mon grand-père dans lequel il faisait ses scénographies donc il y avait plein de couleurs et d’esquisses partout, c’était très beau.”

    “Et un jour, Gianpaolo est tombé par hasard sur une ancienne imprimerie au fond d’une impasse à la Villa Riberolle dans le 20ème où tout était à faire”.

    “Après un voyage à Ibiza avec The Social Food, on a eu l’idée d’y faire un restaurant Catalan de tapas, qui s’appelle Amagat.”

    “On a tout refait et on l'a agencé avec nos goûts”.

    “On fait notre propre huile d’olive car il y a énormément d’oliviers chez mes parents dans la campagne en Italie.”

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    Crédits photos RÉUNI.

    La compte Instagram de Lorenza Lenzi : https://www.instagram.com/lorenzalenzi/

    Le compte de Caché : https://www.instagram.com/cache_paris/

    Le compte d'Amagat : https://www.instagram.com/amagat_paris/

    Le compte de Petite Table : https://www.instagram.com/petitetableparis/

    Le compte de The Social Food : https://www.instagram.com/thesocialfood/

    Le compte de Rose Bakery : https://www.instagram.com/rosebakeryparis/

    Le compte de Sylvain Roucayrol : https://www.instagram.com/sylvainroucayrol/

    Le site de The Socialite Family : https://www.thesocialitefamily.com

    Le documentaire Nose : https://tv.apple.com/fr/movie/nose/umc.cmc.68or2a2lla2l2rteox4lehgm3

    Le site d'Épices Shira : https://shira.fr

    Le compte de Roï Hendel : https://www.instagram.com/roihendel/

    • 1 hr 12 min
    Laure Amoros, fondatrice d’Oros et éditrice d’objets

    Laure Amoros, fondatrice d’Oros et éditrice d’objets

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.

    Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :


    - Laura Amoros se présente
    - Son installation à Marseille
    - Son appartement
    - Sa passion pour le bois
    - L’agencement de son appartement
    - Ses objets préférés
    - Ses objets en bois fétiche
    - Son parcours professionnel
    - Son projet Oros Design
    - Son travail en binôme avec son père
    - Son processus de travail
    - Ses designers préférés
    - Ses inspirations
    - Sa salle de bain
    - Son bureau
    - Les objets en bois qu’elle édite

    “J’aime bien décorer au fur et à mesure. Peut-être qu’il manque un tableau ou un fauteuil, mais j’aime me laisser le temps.”

    “Depuis son adolescence, mon père est passionné par le bois. (...)Donc le garage familial est devenu une menuiserie, même si mon père n’en a jamais fait son métier.”

    “J’ai grandi entourée de parents qui travaillaient la matière.”

    “Oros au début est un média qui parle du bois dans l’industrie créative.”

    “Donc j’ai construit cette culture du bois par mon père qui a une pratique très précise de la menuiserie.”

    “Avant il était peut-être plus dans de la menuiserie traditionnelle et moi je vois des choses, des savoir-faire donc on échange et ça le challenge.”

    “Dans les éditions que je propose, je veux faire des objets fonctionnels que l’on puisse utiliser dans le quotidien.”

    “Et je veux aussi à travers ces objets valoriser le bois, les essences locales parce que ça a plus de sens pour moi.”

    “A Marseille il y a vraiment une richesse créative. De plus en plus de créatifs s’installent ici ou de nouvelles marques, donc ça bouge beaucoup et ça nourrit au quotidien.”

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    Références :

    Le compte Instagram d’Oros Design : https://www.instagram.com/oros.design/

    Le site d’Oros Design : https://oros.design/

    Les chaises Bruno Rey : https://ideat.thegoodhub.com/2022/04/05/hay-bruno-rey/

    Le compte Instagram d’Axelle Chay : https://www.instagram.com/axel_chay/

    Le compte Instagram du designer Rio Kobayashi : https://www.instagram.com/riokobayashi_d/

    La maison d’édition Chose Commune : https://www.instagram.com/chose_commune/

    La maison d’édition A week Abroad : https://www.instagram.com/aweekabroad/

    • 1 hr
    Emmanuelle Luciani, historienne de l’art et fondatrice du pavillon Southway

    Emmanuelle Luciani, historienne de l’art et fondatrice du pavillon Southway

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.

    Historienne de l’art, curatrice ou encore collectionneuse, Emmanuelle Luciani est une artiste aux multiples casquettes. En 2019, elle crée Le Pavillon Southway, un lieu marseillais à mi-chemin entre la galerie d’art et la chambre d’hôte, dont l’esthétique atypique émerge de son imaginaire du passé.

    Née à Marseille dans les années 90, elle nous partage son amour inconditionnel pour cette ville et son patrimoine unique, qu’elle essaye de préserver et de faire vivre au travers de ses différents arts.

    Ancrée sur le bassin méditerranéen depuis de nombreuses générations, elle nous fait vivre l’histoire de son lieu unique, dans lequel elle construit des environnements en collaboration avec d’autres artistes.

    Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :


    - Emmanuelle Luciani se présente
    - Son parcours
    - L’histoire de Marseille
    - Son amour pour Marseille
    - Le patrimoine marseillais
    - La réhabilitation de la maison de son arrière-arrière-grand-père
    - Le Pavillon Southway
    - L’esthétique du Pavillon Southway
    - Son amour de l’histoire
    - L’aménagement du Pavillon
    - Le jardin méditerrannéen
    - Son art de vivre
    - Son amour pour l’artisanat
    - Son rapport aux vêtements
    - Sa mission de préservation du patrimoine

    “Marseille, c’est la plus vieille ville de France, avec 2600 ans d’histoire et c’est un peu de la sédimentation historique, un mille-feuille d’histoire.”

    “J’ai eu envie de faire de l’art autrement, de me reconnecter à ce qu’a été l’histoire des grands mécènes, qui vivaient dans des maisons. Je voulais pouvoir vivre dans l’art.”

    “On aime recevoir à la fois des artistes et des gens de passage. Et le fait de pouvoir faire cohabiter ces deux aspects, souvent ça déclenche quelque chose, et c’est très satisfaisant.”

    “Ici, rien n’est juste, ce ne sont que des anachronismes.”

    “J’ai l’impression que j’aime juste faire des choses avec d’autres gens. Je me dis artiste et curateur mais j’ai plusieurs casquettes et je change souvent. C’est ce qui me plaît, pouvoir changer.”

    “Dans les années préindustrielles, tout était fait à la main, et donc j’aime vraiment les vieux objets. Tu sens ce qui s’est passé entre la personne qui a fabriqué et l’objet.”

    “J’ai la passion du travail. Je fais quelque chose où tu es en recherche permanente. Et je m’estime très chanceuse pour ça et de collaborer avec des gens très talentueux.”

    “Mais j’admire globalement les gens qui produisent, comme les artisans ou même les pizzaiolos. Ce truc de produire quelque chose, je trouve ça extraordinaire.”

    “Je trouve très désagréable de vivre avec des trucs qui m’encombrent. La fluidité du mouvement, c’est ça mon rapport aux vêtements.”

    “Ici on a tous en commun la passion de vouloir sauver le patrimoine et de ne pas perdre l’histoire.”

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    Références :

    Le compte Instagram d’Emmanuelle Luciani : https://www.instagram.com/emmanuelleluciani_southway/

    La compte du Pavillon Southway : https://www.instagram.com/pavillon_southwaystudio/

    Le compte du studio Southway : https://www.instagram.com/southwaystudio/

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    • 1 hr 5 min
    Daniel Rozensztroch, Directeur Artistique - “Pour moi le luxe c’est aussi bien un petit objet de bazar qui vaut 50 centimes qu’une pièce somptueuse créée par un orfèvre.”

    Daniel Rozensztroch, Directeur Artistique - “Pour moi le luxe c’est aussi bien un petit objet de bazar qui vaut 50 centimes qu’une pièce somptueuse créée par un orfèvre.”

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.

    Ancien Directeur du style du magazine Marie Claire, mais également Directeur Artistique à l’origine du concept de la boutique Merci à Paris, Daniel Rozensztroch est un esthète, pionnier de l’art de vivre.

    Il nous reçoit chez lui, dans un son loft du Haut-Marais (3ème arrondissement de Paris), un appartement atypique où la grande bibliothèque côtoie les multiples collections d’objets du quotidien. Un cocon très personnel, débordant de trésors précieusement dénichés au fil du temps, et où chaque chose a sa place et son importance.

    Dans son univers singulier, Daniel nous raconte son parcours créatif et revient sur les bribes de son enfance qui ont forgé sa sensibilité esthétique. Une rencontre chargée d'histoires et de références, où de toute évidence, luxe et simplicité vont de pair.

    Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :


    - Daniel Rozensztroch se présente
    - Son loft du Haut-Marais
    - L’histoire de l’hôtel particulier
    - L’architecture du bâtiment
    - L’aménagement de son appartement
    - L’aménagement de sa cuisine
    - Son objet de cuisine favori
    - Son amour pour les marchés
    - Sa passion pour les chaises
    - L’aménagement de sa bibliothèque
    - Sa collection de livres anciens
    - Sa collection d’objets
    - Ses meubles chinés
    - Son rapport aux vêtements
    - Son esthétique
    - L'esthétique de son enfance
    - Son parcours professionnel
    - Son poste de Directeur de Style chez Marie-Claire
    - Son poste de Directeur Artistique chez Merci
    - Son regard sur le monde actuel
    - Sa vision pour le futur

    “J’ai toujours vécu dans des lofts. J’adore l’architecture industrielle. Pour moi c’est un patrimoine architectural au même titre que d’autres bâtiments historiques.”

    “J’adore cuisiner, j’adore recevoir, et j’ai beaucoup de vaisselles et d’ustensiles.”

    “Ce qui m’attire dans les objets c’est d’abord les matières, comme le verre qui me fascine. Les savoir-faire et l’histoire de l’objet par rapport à son usage m’interpellent aussi. Ce sont toujours des objets utilitaires, des objets simples, de la vie quotidienne.”

    “Ce ne sont pas des objets décoratifs, ce sont des objets que j’ai envie d’utiliser, et surtout de le mélanger à des objets d’usage contemporain. Je ne suis pas dans une vision passéiste et nostalgique. C’est comme une manière recyclée même si c’est une vision plus actuelle.”

    “L'esthétique des marchés me touche, ce sont des lieux sublimes d’un point de vue visuel.”

    “Pour moi le plancher c’est quelque chose d’essentiel dans un espace. Nous sommes dans un lieu où l’on fabriquait des objets, c’est pourquoi j’ai voulu quelque chose de très brut.”

    “Ce n’est pas une accumulation, les livres c’est toute ma vie ! C’est l’histoire du design, des objets, de la mode, de la cuisine.”

    “J’ai des vestes qui se ressemblent toutes, elles sont de la même couleur, elles varient simplement avec une matière ou un détail.”

    “Je suis attiré par des choses très différentes les unes des autres. Je n’aime pas le changement, mais dans la vie on a des cycles, des périodes et on évolue.”

    “C’est comme une stratification, les objets ont un rythme, ils vivent les uns avec les autres et le décor petit à petit évolue et se transforme, mais jamais de manière radicale car c’est extrêmement déstabilisant.”

    “On est dans une période que moi je trouve assez positive. Les gens sont assez préoccupés c’est vrai (...) Mais cela va nous ramener à une certaine sagesse, à des besoi

    • 1 hr 2 min
    Brigitte Benkemoun, journaliste, écrivaine et héritière de la Villa Benkemoun à Arles “j’aime beaucoup raconter des histoires”

    Brigitte Benkemoun, journaliste, écrivaine et héritière de la Villa Benkemoun à Arles “j’aime beaucoup raconter des histoires”

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.

    Entre l’énergie parisienne et le soleil arlésien, son cœur balance. Si Brigitte Benkemoun a grandi à Arles, ville d’histoire et de culture où elle passe son enfance et son adolescence, elle est très vite happée par l’intensité de la capitale. Aujourd’hui, cette ancienne journaliste devenue écrivaine, partage sa vie entre son loft-appartement du 10ème arrondissement et la Camargue où elle descend régulièrement.

    Chaleureuse et accueillante, elle aime recevoir de manière impromptue autour de plats improvisés. Ce sens de l'accueil, elle le tient de ses parents Simone et Pierre Benkemoun venus d’Algérie en 1962, dont le souvenir reste vivace à travers la Villa Benkemoun. Située en périphérie de Arles, cette grande maison construite en 1974 et imaginée par l’architecte Emile Sala, est à l’image de la famille Benkemoun : conviviale et ouverte au monde. Aux antipodes des codes architecturaux de l’époque, cette villa constitue aujourd'hui un morceau d’histoire(s) dont Brigitte fait vivre la mémoire.

    Et les histoires, Brigitte Benkemoun en a fait une deuxième vie en racontant celles des autres. De son grand oncle pied noir, à Dora Maar muse et compagne de Picasso, elle aime tisser les récits de personnalités parfois oubliées en leur redonnant une voix. Elle sortira le 11 mai prochain un nouveau livre, Sa vie pour Picasso, dans lequel elle revient sur la vie de Marie-Thérèse Walter, une autre égérie et femme de Picasso, qui lui a dévoué sa vie.

    Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :


    - Brigitte Benkemoun se présente
    - Son installation dans la 10ème arrondissement
    - Son loft-appartement
    - L'aménagement de l’appartement
    - Son goût pour la cuisine
    - Ses plats fétiches
    - Ses oeuvres
    - Sa relation aux vêtement
    - Son uniforme
    - Son parcours
    - La ville Benkemoun
    - Sa jeunesse à Arles
    - L’évolution de Arles aujourd’hui
    - Les bonnes adresses à Arles
    - Ses bonnes adresses dans le 10ème arrondissement
    - Son parcours d’écrivaine
    - Ses livres
    - L’histoire du carnet de Dora Maar
    - Son prochain livre
    - Sa signature littéraire

    “ça fait un moment qu’on habite le 10ème, on était d’abord cité d’Hauteville, et on a emménagé il y a une dizaine d’années dans cet immeuble qui était d’abord un immeuble de bureaux, construit dans les années 40 sous le principe des buildings américains.”

    “Je ne dirais pas que je crois aux forces de l’esprit mais c’est important pour moi qu’ils soient là, qu’ils existent.”

    “J’adore cuisiner, je pourrai aussi me présenter comme une cuisinière. J’aime bien recevoir, et j’aime cuisiner. “

    “Comme beaucoup de filles j’ai été très compulsive, mais je le suis de moins en moins. Je pense que j’ai un comportement qui rejoint un peu votre démarche c’est-à-dire que quand j’aime un vêtement je peux l’acheter en trois couleurs.”

    “Puis mes parents se sont installés à Arles, ils n’avaient rien en Algérie, donc ils n’ont rien perdu là-bas, mon père était fonctionnaire, ma mère institutrice. Ils avaient 31 ans donc ils ont commencé une nouvelle vie ici sans amertume, sans nostalgie.”

    “Mes parents n'avaient pas les codes de l’architecture du sud, ils n’avaient pas de racines en Provence. Ils ne rêvaient pas du mas avec les platanes devant et ni d'un hôtel particulier en centre ville”

    “L'architecte qui s’appelait Emile Sala les a fait travailler sur un cahier où ils allaient noter tout ce qu’ils voulaient, ce qu’ils aimaient, comment ils vivaient, comment ils aimera

    • 1 hr 1 min
    Elvire Bonduelle, Artiste plasticienne, "Je fais de l'art parce que je veux donner une vision plus joyeuse et plus optimiste du monde"

    Elvire Bonduelle, Artiste plasticienne, "Je fais de l'art parce que je veux donner une vision plus joyeuse et plus optimiste du monde"

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.

    Le Monde de RÉUNI explore l'univers, le parcours et les points de vue d'artisans, d'artistes, d'entrepreneurs, de personnalités des industries créatives et culturelles qui contribuent à la préservation et à la valorisation des savoir-faire et qui influencent d'une manière ou d'une autre notre esthétique et notre art de vivre.

    Elvire Bonduelle se définit elle-même comme artiste plasticienne "d'œuvres utilisables". Elle nous reçoit dans son loft-atelier, le Bateau-Lavoir, situé dans le 18ème arrondissement à deux pas de Montmartre. Formée aux Beaux-Arts, Elvire a depuis toujours lié sa passion pour l'art à celle du design, en façonnant de toute pièce l'intérieur de son appartement. Devenu un véritable show-room, Elvire cohabite avec ses œuvres, dont l'esthétique s'accorde au quotidien.

    Sa créativité guidée par l'idée du bonheur lui donne l'envie de transmettre une vision plus joyeuse et plus optimiste du monde. Un air de légèreté, en réponse au monde menaçant qui nous entoure. Toujours très proche de l'architecture, Elvire a construit son art au fil de sa vie, forgée par des expériences marquantes en Californie ou en Thaïlande. Citadine avérée, elle s'inspire, capture et s'approprie l'urbanisme qui l'entoure pour le retranscrire à sa manière dans des créations toujours très colorées.

    Laissez-vous embarquer dans le monde d'Elvire Bonduelle, joyeuse fusion entre l'art et la vie...

    Ce que vous allez apprendre dans cet épisode :


    - Elvire Bonduelle se présente
    - L’histoire du Bateau-Lavoir
    - Son parcours artistique
    - Son amour pour le bois
    - La vision de son art
    - L’aménagement de son loft-atelier
    - Ses références à Donald Judd
    - Ses meubles
    - Ses oeuvres
    - Le rôle de l’artiste
    - Ses projets à venir
    - Son rapport fusionnel au travail
    - Son rapport au vêtement
    - Ses Façades Accessories
    - Sa vie en Californie
    - Sa vie à Bangkok
    - Les influences de ses voyages sur son travail
    - Son amour pour Paris

    “L’art ne doit pas être quelque chose d’autoritaire ou de sacré mais quelque chose avec lequel on vit qu’on s'approprie qui peut être malmené sur lequel on s’assoit, on peut se rouler dans l’art et ça devrait nous rendre heureux.”

    “Le point de départ de mon esthétique c’est l’idée du bonheur et de la légèreté. Comment s’installer dans la vie et être heureux ? J’ai fait l’apprentissage de la vie en même temps que l’apprentissage de la vie d’artiste.”

    “J’ai aimé l’idée du bois comme quelque chose de réconfortant pour nous soigner.”

    “Je le fais parce que je veux donner une vision plus joyeuse et plus optimiste du monde qui puisse circuler dans les galeries.”

    “Être artiste pour moi ce n’est pas donner des leçons, c’est surtout émouvoir positivement. Je cherche plutôt à apporter quelque chose de positif.”

    “J’aime bien l’idée qu’il n’y ait pas besoin d’explication d’une œuvre.”

    “Je crée compulsivement en permanence. C’est un peu de la folie. Je produis beaucoup mais j’essaye de faire en sorte que ça puisse exister dans le monde quelque part.”

    “J’adore voir les gens bien habillés dans la rue, je trouve ça formidable que les gens prennent soin de leur apparence”

    “Le fait d’être en Californie ça m’a délestée d’un poids culturel historique français.”

    “En Californie, il y a quelque chose de plus féminin aussi, les immeubles parisiens sont assez masculins malgré tout, c’est assez raide, froid et minéral.”

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    • 52 min

Customer Reviews

4.0 out of 5
2 Ratings

2 Ratings

J-Ghf ,

Un grand OUI !

Déjà le premier modèle est super .... le deuxième l’est encore mieux !
Et quelle invité pour la première ..... MERCI !

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