46 min

Sylviana et l'amour en vadrouille Maman se rebelle

    • Parenting

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Cette semaine dans Maman se (re)belle, je vous emmène en voyage avec Sylviana de @LamourEnVadrouille (j’ai demandé à Sylviana et c’est bien son nom de famille “Lamour” :)

Outre les conseils pour les familles qui voudraient faire la même expérience, elle nous confie son histoire qui commence par le constat que l’instruction telle que proposée en France n’est pas ce dont elle et son mari ont envie pour leurs 3 enfants. Donc ca part du choix de pratiquer l’IEF (instruction en famille) qui a permis à Sylviana et sa famille d’abattre les frontières et de partir en vie nomade.… et ça donne grave envie !

Avoir du temps, l’utiliser comme on le souhaite, respecter les temps de chacun. (Ça ferait quoi si vous n’étiez plus obligée de vous lever le matin pour emmener les enfants à l’école ? Mettez vos réponses en commentaire)Sylviana a profité de cette nouvelle étape de vie pour se reconvertir.
Se poser et réfléchir à ce qu’on veut vraiment faire.
Montrer à ses enfants qu’on peut écouter ses envies, ses rêves.
Tout faire pour ne pas éteindre cette flamme qui brûle en eux. 

Faire des choix à 5 et considérer les enfants comme des individus à part entière.
“Notre vie, aujourd’hui, fait qu’on a des rêves, qu’on a des envies et qu’on va tout faire pour les réaliser, ou en tout cas pour s’en approcher le plus possible”.
“Il ne faut pas qu’on se mette de barrières. Il ne faut pas écouter les autres quand on dit que c’est trop dangereux, que ce n’est pas possible. On y va. On va y arriver. Et au pire on aura un non… et on reviendra en arrière… et on prendra un autre chemin… parce que c’était peut être pas le bon, mais il y a d’autres solutions. Il n’y a jamais de souci. Il n'y a que des solutions”.Se donner les moyens pour réaliser ses rêves, ses objectifs…

On relève ensemble deux paradoxes entre sa vie de nomade et la mienne citadine :

1er paradoxe : On pense qu’ils sont isolés en partant à l’autre bout de la terre en camion, alors qu’ils ont sans aucun doute une vie plus riche socialement que nous avec notre vie metro/boulot/dodo.

2ème paradoxe : La pression financière. On peut être amené à refuser ce rêve par manque d’argent alors qu’en partant on aurait moins de frais (pas de factures d'électricité, ni de gaz, ni d’eau, pas de loyer et autres faux frais d’une vie classico classique citadine). Sylviana nous raconte à un moment le fait que sa sœur ne pouvait pas venir parce que trop de frais du quotidien écrasant sous cette pression financière, là où Sylviana et sa famille n'avaient plus cette pression.

Et dernier point abordé et non des moindres : l’importance de la communication. C’est déjà important en tant normal mais quand on est H24 les uns à vivre avec les autres, la communication devient vitale pour rendre l'expérience plaisante. “Prendre toutes les expériences positivement” me dit-elle. “Il y a toujours quelque chose à en tirer de positif.” Mais le prérequis pour tout prendre positivement, c’est d’avoir une bonne communication avec son/sa partenaire. Bien connaître l’autre. Avoir le temps de le rencontrer, chose impossible dans une vie sédentaire où on va bosser la journée et on ne se voit que 2 ou 3h le soir, fatigués de sa journée de travail. Apprendre à communiquer. Participer à des groupes, lire des livres sur le sujet comme les 4 accords toltèques ou les 5 langages de l’amour. “C’est pas les bisounours tous les jours, mais on sait se le dire. Qu’est ce qu’on trouve comme solution pour que ça convienne à tout le monde ?”. “Savoir se parler c’est hyper important. Faut apprendre à se parler”.

>> Retrouvez l'épisode...

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Outre les conseils pour les familles qui voudraient faire la même expérience, elle nous confie son histoire qui commence par le constat que l’instruction telle que proposée en France n’est pas ce dont elle et son mari ont envie pour leurs 3 enfants. Donc ca part du choix de pratiquer l’IEF (instruction en famille) qui a permis à Sylviana et sa famille d’abattre les frontières et de partir en vie nomade.… et ça donne grave envie !

Avoir du temps, l’utiliser comme on le souhaite, respecter les temps de chacun. (Ça ferait quoi si vous n’étiez plus obligée de vous lever le matin pour emmener les enfants à l’école ? Mettez vos réponses en commentaire)Sylviana a profité de cette nouvelle étape de vie pour se reconvertir.
Se poser et réfléchir à ce qu’on veut vraiment faire.
Montrer à ses enfants qu’on peut écouter ses envies, ses rêves.
Tout faire pour ne pas éteindre cette flamme qui brûle en eux. 

Faire des choix à 5 et considérer les enfants comme des individus à part entière.
“Notre vie, aujourd’hui, fait qu’on a des rêves, qu’on a des envies et qu’on va tout faire pour les réaliser, ou en tout cas pour s’en approcher le plus possible”.
“Il ne faut pas qu’on se mette de barrières. Il ne faut pas écouter les autres quand on dit que c’est trop dangereux, que ce n’est pas possible. On y va. On va y arriver. Et au pire on aura un non… et on reviendra en arrière… et on prendra un autre chemin… parce que c’était peut être pas le bon, mais il y a d’autres solutions. Il n’y a jamais de souci. Il n'y a que des solutions”.Se donner les moyens pour réaliser ses rêves, ses objectifs…

On relève ensemble deux paradoxes entre sa vie de nomade et la mienne citadine :

1er paradoxe : On pense qu’ils sont isolés en partant à l’autre bout de la terre en camion, alors qu’ils ont sans aucun doute une vie plus riche socialement que nous avec notre vie metro/boulot/dodo.

2ème paradoxe : La pression financière. On peut être amené à refuser ce rêve par manque d’argent alors qu’en partant on aurait moins de frais (pas de factures d'électricité, ni de gaz, ni d’eau, pas de loyer et autres faux frais d’une vie classico classique citadine). Sylviana nous raconte à un moment le fait que sa sœur ne pouvait pas venir parce que trop de frais du quotidien écrasant sous cette pression financière, là où Sylviana et sa famille n'avaient plus cette pression.

Et dernier point abordé et non des moindres : l’importance de la communication. C’est déjà important en tant normal mais quand on est H24 les uns à vivre avec les autres, la communication devient vitale pour rendre l'expérience plaisante. “Prendre toutes les expériences positivement” me dit-elle. “Il y a toujours quelque chose à en tirer de positif.” Mais le prérequis pour tout prendre positivement, c’est d’avoir une bonne communication avec son/sa partenaire. Bien connaître l’autre. Avoir le temps de le rencontrer, chose impossible dans une vie sédentaire où on va bosser la journée et on ne se voit que 2 ou 3h le soir, fatigués de sa journée de travail. Apprendre à communiquer. Participer à des groupes, lire des livres sur le sujet comme les 4 accords toltèques ou les 5 langages de l’amour. “C’est pas les bisounours tous les jours, mais on sait se le dire. Qu’est ce qu’on trouve comme solution pour que ça convienne à tout le monde ?”. “Savoir se parler c’est hyper important. Faut apprendre à se parler”.

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46 min