48 min

Une histoire sociale de l’engagement communiste Me Racontez Pas d'Histoires !

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Ce nouvel épisode consacré à l’histoire sociale de l’engagement communiste s’insère dans une série en deux parties. La première s’intéresse au PCF dans sa dimension internationale et internationaliste au cours du long XXe siècle. La seconde traite des identités militantes, des liens entre le communisme rural et l’essor des ceintures urbaines rouges, des trajectoires militantes au sein des écoles de cadres et des rapports du PCF avec les mouvements sociaux récents.

Ces deux épisodes sont un dialogue entre deux chercheurs : Julian Mischi et Alexandre Frondizi.

Julian Mischi est sociologue, directeur de recherche à l’INRAE. Ses recherches portent sur les classes populaires, le militantisme et le pouvoir local.

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire du mouvement communiste en France : Servir la classe ouvrière. Sociabilités militantes au PCF (PUR, 2010) ; Les Territoires du communisme (Armand Colin, 2013, avec E. Bellanger) ; Le Communisme désarmé. Le PCF et les classes populaires depuis les années 1970 (Agone, 2014) ; Le parti des communistes. Histoire du PCF de 1920 à nos jours (Hors d’atteinte, 2020).

Il a publié plusieurs études sur les espaces ruraux, dont les ouvrages Le Bourg et l’Atelier. Sociologie du combat syndical (Agone, 2016) et Mondes ruraux et classes sociales (EHESS, 2018, avec I. Bruneau, G. Laferté & N. Renahy).

Alexandre Frondizi est un historien des identités et des quartiers populaires au siècle des révolutions. Spécialiste d’un premier Grand Paris aux pionniers duquel il vient de consacrer une exposition, il s’intéresse notamment à la politisation des classes populaires et, dans ce cadre, a suivi les itinéraires de quelques communistes avant le Manifeste. Il est actuellement chercheur post-doctorant du Fonds national Suisse à l’Institut d’histoire de l’université de Neuchâtel.

Ce nouvel épisode consacré à l’histoire sociale de l’engagement communiste s’insère dans une série en deux parties. La première s’intéresse au PCF dans sa dimension internationale et internationaliste au cours du long XXe siècle. La seconde traite des identités militantes, des liens entre le communisme rural et l’essor des ceintures urbaines rouges, des trajectoires militantes au sein des écoles de cadres et des rapports du PCF avec les mouvements sociaux récents.

Ces deux épisodes sont un dialogue entre deux chercheurs : Julian Mischi et Alexandre Frondizi.

Julian Mischi est sociologue, directeur de recherche à l’INRAE. Ses recherches portent sur les classes populaires, le militantisme et le pouvoir local.

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire du mouvement communiste en France : Servir la classe ouvrière. Sociabilités militantes au PCF (PUR, 2010) ; Les Territoires du communisme (Armand Colin, 2013, avec E. Bellanger) ; Le Communisme désarmé. Le PCF et les classes populaires depuis les années 1970 (Agone, 2014) ; Le parti des communistes. Histoire du PCF de 1920 à nos jours (Hors d’atteinte, 2020).

Il a publié plusieurs études sur les espaces ruraux, dont les ouvrages Le Bourg et l’Atelier. Sociologie du combat syndical (Agone, 2016) et Mondes ruraux et classes sociales (EHESS, 2018, avec I. Bruneau, G. Laferté & N. Renahy).

Alexandre Frondizi est un historien des identités et des quartiers populaires au siècle des révolutions. Spécialiste d’un premier Grand Paris aux pionniers duquel il vient de consacrer une exposition, il s’intéresse notamment à la politisation des classes populaires et, dans ce cadre, a suivi les itinéraires de quelques communistes avant le Manifeste. Il est actuellement chercheur post-doctorant du Fonds national Suisse à l’Institut d’histoire de l’université de Neuchâtel.

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