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Debrief de la journée de Bourse en 2 minutes. Retrouvez toute l'actualité des marchés financiers à la clôture du CAC.

Debrief Bourse Boursorama

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Debrief de la journée de Bourse en 2 minutes. Retrouvez toute l'actualité des marchés financiers à la clôture du CAC.

    Le debrief Bourse du 17 juin : le CAC 40 reste sous vigilance

    Le debrief Bourse du 17 juin : le CAC 40 reste sous vigilance

    L'instabilité politique en France engendre toujours beaucoup de nervosité sur les marchés. Après avoir enregistré sa pire baisse hebdomadaire depuis le début de la guerre en Ukraine, le CAC 40 tente de se reprendre mais peine sur la marche à suivre.
    Le CAC 40 termine la séance sur une hausse de 0,91% vers les 7571 points dans un volume d'échanges de 3,5 milliards d'euros.
    Au chapitre des valeurs,
    Le secteur bancaire tente un timide rebond après avoir lâché 8% la semaine dernière. BNP Paribas reprend 1,25%, Société Générale 1,17% tandis que Crédit Agricole reste sur le quai : -0,38%.

    • 2 min
    Le debrief Bourse du 14 juin : le CAC 40 a annulé tous ses gains de 2024

    Le debrief Bourse du 14 juin : le CAC 40 a annulé tous ses gains de 2024

    Quelle semaine. Depuis dimanche soir, rien ne va plus dans la vie politique française et sur le marché français. Et ce n'est pas cette journée de vendredi qui a changé la donne. Le CAC 40 qui avait encaissé en début de semaine craque sur cette séance de vendredi et finit sur un recul sévère de x% vers les xx points et x milliards d'euros échangés.
    Aux Etats-Unis, S&P 500 et Nasdaq ont signé de nouveaux records historiques hier. On a donc besoin de souffler et à 17h45, le Dow Jones cède x% et le Nasdaq x%. La star incontestée du jour c'est Adobe (+%). L'éditeur de logiciels de création graphique
    à la faveur du relèvement de sa prévision de chiffre d'affaires annuel sur fond de forte demande pour ses outils d'édition reposant sur l'intelligence artificielle (IA).
    Valeurs en hausse
    Tout comme hier, le compartiment des valeurs dans le vert est très très dégarni. Seuls Atos et Rémy Cointreau échappent à l'hécatombe.
    Valeurs en baisse
    Solutions 30 recule de plus de x% lanterne rouge du SBF 120, indice qu'il va quitter le 24 juin en compagnie de X-Fab pour y être remplacé par Casino et Esso.

    • 2 min
    Le debrief Bourse du 13 juin : le CAC 40 repart dans le rouge

    Le debrief Bourse du 13 juin : le CAC 40 repart dans le rouge

    Le rebond d'hier est déjà de l'histoire ancienne et le CAC 40 finit dans le rouge, à -x% vers les xx points et x milliards d'euros échangés. Le rendez-vous de la semaine, c'était la Fed. La banque centrale américaine a maintenu ses taux directeurs inchangés et laissé entendre que son assouplissement monétaire n'aurait peut-être pas lieu avant décembre, les responsables de la banque ne prévoyant qu'une seule réduction de taux de 25 points de base pour cette année. Un conclusion qui n'a pas vraiment plu aux investisseurs d'autant que aujourd'hui, les prix à la production ont reculé de 0,2% en mai alors qu'une hausse de 0,1% était attendue. Sur un, la progression est de 2,2% contre 2,5% anticipé.
    Outre-Atlantique, la tendance est d'ailleurs similaire
    Le secteur européen de l'automobile affiche la plus forte baisse du jour (-2%). La Commission européenne a annoncé mercredi l'imposition de droits de douane supplémentaires allant jusqu'à 38% sur les voitures électriques expédiées de Chine vers l'UE. Bruxelles juge anticoncurrentielles les importantes subventions dont bénéficient les constructeurs installés là-bas. Mais nombre d'observateurs jugent d'une part que Pékin pourrait riposter et d'autre part que cette surtaxe n'est pas suffisante pour réellement entraver la croissance des ventes des nouveaux géants chinois, comme BYD. « Même si les marques chinoises de véhicules électriques vendent leurs voitures en Europe à un prix 50% plus élevé que (leurs prix nationaux), elles restent très compétitives », a déclaré Yale Zhang, directeur général de la société de conseil Automotive Foresight. « BYD est le seul acteur qui, selon nous, pourrait encore atteindre le seuil de rentabilité sur un modèle d'importation grâce à son avantage structurel en termes de coûts », selon les analystes de Bernstein. Cette mesure touche en plus certains groupes occidentaux présents en Chine, comme BMW (en baisse de 1,7%) et Renault (-2,5%). Stellantis recule de 2%.
    En amont de sa journée investisseurs dans le Michigan, le groupe dirigé par Carlos Tavares a confirmé ses objectifs pour l'année en cours, notamment une marge opérationnelle de 10% à 11% au premier semestre avec un flux de trésorerie industriel sensiblement inférieur à celui de la même période de l'année précédente. Une amélioration du free cash-flow est attendue pour le second semestre.
    Même si l'inflation et la croissance économique américaines s'affaiblissent, cela se fait un rythme trop lent pour convaincre la Réserve fédérale de lever le pied sur sa politique restrictive. C'est l'enseignement de la réunion de la Fed mardi et mercredi. En raison de ce tableau imprécis, la banque centrale n'anticipe désormais qu'une seule baisse de taux en 2024, contre les trois prévues en mars dernier. « Il faudra probablement plus de temps pour obtenir la confiance dont nous avons besoin pour assouplir la politique », a déclaré hier soir le président de la Fed, Jerome Powell. Mais il y a clairement un débat au sein de l'organe de décision de la banque centrale, qui compte 19 membres : quatre personnes ne voient pas le taux des Fed funds bouger de toute l'année, sept soutiennent une détente de 25 points de base et huit autres de 50 points, ce à quoi Jerome Powell fait valoir que l'une ou l'autre option est « plausible

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    Le debrief Bourse du 12 juin : le CAC 40 se stabilise, l’inflation américaine rassure

    Le debrief Bourse du 12 juin : le CAC 40 se stabilise, l’inflation américaine rassure

    Après deux jours de nervosité, la Bourse de Paris rebondit. Les investisseurs restent et resteront attentifs aux différentes évolutions politiques et ce jusqu’à l’issue du scrutin législatif le 7 juillet mais pour l’heure ils se concentrent sur la bonne nouvelle du jour avec cette inflation américaine qui ralentit plus que prévu en mai. 
    Le CAC 40 termine la séance sur une hausse de 0,97% vers les 7864 points dans un volume d’échanges de 3,7 milliards d’euros à la clôture.

    Au chapitre des valeurs,
    Schneider Electric est en tête de l’indice : +4,76%. 
    Les semi-conducteurs se portent bien avec ST Micro qui avance de 3,27%. 
    On note aussi une reprise du côté des bancaires. Société Générale s’offre un rebond de 2,10%, insuffisant toutefois pour effacer les pertes de la veille. BNP Paribas avance de 1,76%. Crédit Agricole progresse de 1,58% bénéficiant d’un relèvement de recommandation de Jefferies qui passe de « conserver » à « acheter » sur la valeur, tout en rehaussant fortement son objectif de cours de 13,40 à 21,60 euros.
    A l’opposé les valeurs dites défensives sont dans le rouge à l’image d’Orange qui perd 2,67%. 
    Sur le SBF 120, Atos annonce être entré en négociations exclusives avec Alten afin de lui céder son activité de conseil et d'ingénierie Worldgrid pour une valeur d'entreprise de 270 millions d'euros. Le titre poursuit son plongeon et lâche plus de 20% sur cette séance. 
    A l’inverse, Ipsen progresse de plus de 4%. Le groupe a reçu hier le feu vert de la FDA, l’autorité de santé américaine, pour la commercialisation d’un médicament utilisé pour une maladie rare du foie. Un médicament développé par la biotech Genfit et dont Ipsen a acquis les droits en 2021. 
    Enfin on termine comme chaque jour par un mot sur les marchés US. Wall Street se hisse à de nouveaux plus hauts avec un Nasdaq qui savoure l’envolée d’Apple. Le marché s’enthousiasme également du recul de l’inflation américaine en mai à 3,4% sur un an. 
    A noter que ce soir, la Fed délivrera son calendrier de politique monétaire. Le ralentissement de l'inflation ouvre en effet la porte à une baisse des taux de la Fed. 
    Voilà c’est tout pour ce soir mais n’oubliez pas toute l’actualité économique et financière est sur Boursorama. 

    • 2 min
    Le debrief Bourse du 11 juin : la Bourse toujours plombée par l’incertitude politique

    Le debrief Bourse du 11 juin : la Bourse toujours plombée par l’incertitude politique

    Malgré un léger sursaut en début de matinée, le CAC 40 creuse ses pertes. L’incertitude politique en France avec l’annonce d’élections anticipées pèse sur les marchés qui s’interrogent notamment sur la teneur des orientations économiques et fiscales en cas de changement majeur à la tête du pays. 
    Le CAC 40 termine la séance sur une baisse de 1,33% vers les 7789 points dans un volume d’échanges de 2,8 milliards d’euros à la clôture. 
    Le climat politique actuel continue également d’avoir un impact sur les taux longs si bien que l’écart entre le taux auquel la France emprunte sur les marchés à dix ans et celui auquel emprunte nos voisins allemands est au plus haut depuis 2020. Pour rappel, cet écart aussi appelé spread est un indicateur qui mesure la confiance des investisseurs dans la capacité du pays à honorer sa dette.
    Au chapitre des valeurs, ce sont toujours les bancaires qui continuent de souffrir. Société Générale recule encore de 5,02%. Crédit Agricole de 3,9%. BNP Paribas de 3,89%. 
    La foncière commerciale Unibail-Rodamco-Westfield se replie aussi de 4,10%. 
    Quelques sursauts sont à noter du côté de l’indice avec Edenred, Danone et Carrefour qui est numéro 1 sur l’indice : +1,17%. Des valeurs qui font figure de refuge auprès des investisseurs. 
    Sur le SBF 120, les groupes audiovisuels sont mis sous pression alors que le Rassemblement national entend privatiser l’audiovisuel public s’il accédait au pouvoir. Voilà qui pénalise fortement TF1 qui verrait ses recettes publicitaires fortement mises à mal avec un tel scénario. Le titre baisse de presque 7%. 
    De son côté, Atos n’en finit plus de sombrer près l’annonce de la poursuite des négociations pour sa restructuration financière avec le consortium mené par OnePoint. Le conseil d’administration d’Atos a en effet préféré cette offre à celle du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. 
    Enfin, on termine avec les marchés US. Wall Street a débuté la séance en territoire négatif. Les investisseurs optent pour la prudence à la veille de la décision de la Fed sur les taux. 
    Voilà c’est tout pour ce soir mais n’oubliez pas toute l’actualité économique et financière est sur Boursorama. 

    • 2 min
    Le debrief Bourse du 10 juin : sonné par la dissolution, le CAC 40 cède 1,35%

    Le debrief Bourse du 10 juin : sonné par la dissolution, le CAC 40 cède 1,35%

    On pensait les résultats des élections européennes sans trop de surprises hier, on en a été pour nos frais. Après la large victoire du Rassemblement National, le président de la République a dissout l'Assemblée nationale avec des élections législatives à venir dans trois semaines. Le CAC 40 qui n'apprécie pas trop ce genre de nouvelle inattendue termine donc la journée en repli de x% vers les x points et x milliards d'euros échangés.Sur le marché obligataire, le rendement à 10 ans français se tend de 12,5 points de base, à 3,235%
    A 17h45, le Dow Jones se replie de x%, prudent avant la publication des données sur l'inflation et la réunion de politique monétaire de la Fed cette semaine. Le Nasdaq est lui en léger progrès : +0,15%
    Valeurs en hausse
    C'est Euroapi qui rebondit après la chute de 17,9% enregistrée vendredi. Pour rappel, le spécialiste des principes actifs a décidé de se faire accompagner par un mandataire ad hoc dans les discussions entamées en février 2024 concernant le financement à moyen et long terme de son projet de transformation stratégique Focus-27.
    Eramet signe de son côté une 4e séance de hausse.
    Les valeurs de l'auto étaient bien en piste à l'image de Valeo, Michelin, Renault et Stellantis. Et pour rouler, il faut du carburant : TotalEnergies reprend 0,23% alors que le baril de Brent a refranchi la barre des 80 dollars;
    Valeurs en baisse
    Toujours très volail Emeis repart en nette repli.
    Sur le CAC 40, ce sont les bancaires qui sont le plus pénalisées par la décision d'Emmanuel Macron à l'image de Société Générale (NDRL : maison mère de Boursorama) avec BNP Paribas, et Crédit Agricole.
    Vinci et Edenred sont également à la peine : 35 valeurs de l'indice sur 40 sont dans le rouge

    • 2 min

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