La fille qui rendait coup sur coup (Tome 5 de la saga Millenium) Pastilles culturelles
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- Arts
Vous entrez dans un pub chaleureux et retrouvez de vieux amis que vous n’avez pas vu depuis deux ans. Aucun n’a changé, le rendez-vous est agréable, émouvant, plaisant et parfois drôle. C’est l’impression que l’on ressent lors de la lecture du tome 5 de Millénium, La fille qui rendait coup sur coup. Un polar efficace, plein de suspense, mais cependant moins passionnant que le précédent roman.
L’histoire nous plonge dans le passé de Lisbeth Salander, la jeune héroïne geek bien connue des amateurs de la saga, un personnage qui s’est peu à peu hissé au rang d’icône culturelle mondialisée. Plutôt originale à l’origine (Stieg Larsson écrivait au début des années 2000), son identité de pirate informatique autiste a un peu vieilli et elle a même beaucoup de concurrence avec la série Mr. Robot ou encore Black Mirror.
On retrouve aussi avec plaisir le journaliste Mikael Blomkvist désormais très mobilisé pour la survie de son propre journal.
Ce livre est trop bien ficelé, sans prise de risque. En restant trop fidèle à la saga dont il a repris la trame, David Lagercrantz n’apporte aucune variation dans les caractères et les choix de ses personnages. Ironiquement, il aborde le thème de l’inné et de l’acquis dans le comportement des êtres humains. Or, les événement extraordinaires survenus dans les tomes précédents ne semblent pas avoir eu d’effet sur la vie des héros.
Vous entrez dans un pub chaleureux et retrouvez de vieux amis que vous n’avez pas vu depuis deux ans. Aucun n’a changé, le rendez-vous est agréable, émouvant, plaisant et parfois drôle. C’est l’impression que l’on ressent lors de la lecture du tome 5 de Millénium, La fille qui rendait coup sur coup. Un polar efficace, plein de suspense, mais cependant moins passionnant que le précédent roman.
L’histoire nous plonge dans le passé de Lisbeth Salander, la jeune héroïne geek bien connue des amateurs de la saga, un personnage qui s’est peu à peu hissé au rang d’icône culturelle mondialisée. Plutôt originale à l’origine (Stieg Larsson écrivait au début des années 2000), son identité de pirate informatique autiste a un peu vieilli et elle a même beaucoup de concurrence avec la série Mr. Robot ou encore Black Mirror.
On retrouve aussi avec plaisir le journaliste Mikael Blomkvist désormais très mobilisé pour la survie de son propre journal.
Ce livre est trop bien ficelé, sans prise de risque. En restant trop fidèle à la saga dont il a repris la trame, David Lagercrantz n’apporte aucune variation dans les caractères et les choix de ses personnages. Ironiquement, il aborde le thème de l’inné et de l’acquis dans le comportement des êtres humains. Or, les événement extraordinaires survenus dans les tomes précédents ne semblent pas avoir eu d’effet sur la vie des héros.
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