Paroles contre l'antisémitisme Eloise Maillot

Je reçois pour ce 11è épisode, Julie Arfi, une des fondatrices de l'association Nous Vivrons, ainsi que Marie-Laure Brossier, ex-élu LREM de Bagnolet, membre de Nous Vivrons et co-fondatrice du Collectif 7 octobre.
À mon micro, elles parlent de leur parcours et de leur engagement, issu de la société civile au militantisme associatif, elles expliquent les problématiques de terrain, avec un décryptage empirique sur les mouvements indigénistes et décolonialistes à l'œuvre aux côtés de l'entrisme islamiste, contre nos valeurs républicaines, notamment en Seine-Saint-Denis.


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Je reçois pour ce dixième épisode, docteur en anthropologie CNRS École Pratique des Hautes Etudes (Paris), Florence Bergeaud-Blackler, et auteure chez Odile Jacob de l'ouvrage,
Le frérisme et ses réseaux, l'enquête, livre préfacé par Gilles Kepel qui lui vaut un franc succès, mais également des inimitiés, au point de devoir être sous protection depuis sa publication.
À mon micro, elle répond à mes questions sur l'origine des Frères Musulmans, sur leur stratégie d'infiltration en France et en Europe, ainsi que sur leur idéologie et leur volonté politique : quels sont ses acteurs principaux ? Ses racines historiques ? Comment ce courant alimente-t-il l'antisémitisme et pourquoi ? Quel est son lien avec le conflit israélo-palestinien ?
Un épisode passionnant et d'utilité publique qui décrypte et passe en revue des notions fondamentales pour comprendre les enjeux de cette idéologie qui touche notre territoire national et a une volonté de développement à l'international.


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Pour ce neuvième épisode de Paroles contre l'antisémitisme, je reçois Zohra Bitan, avec qui nous parlons laïcité, universalisme, antisémitisme, racisme et politique.
Une figure médiatique connue pour son franc-parler et son humour piquant qui vous chatouille les zygomatiques… pour les uns ;
 
Une snipeuse Grande Gueule made in France qui dézingue sur RMC pour les autres,
 
GARE à vous si elle vous a dans son collimateur…
 
Une « Arabe de service » pour ses détracteurs… ce qu’elle assume pleinement sur sa page X/Twitter : OUI « je suis une arabe AU service de la France ».
 
Une femme politique de gauche issue du PS et ancienne porte-parole de Manuel Valls.
Une femme de terrain au plus près de la jeunesse qu’elle connaît très bien, de nos campagnes jusque dans nos banlieues.

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Pour ce huitième épisode, je reçois la travailleuse sociale et l'anthropologue, Fadila Maaroufi.
"  Si le courage de son combat se mesurait en centimètres, Fadila Maaroufi serait une géante parmi les hommes.
 
Je vous parle souvent d'elles... au pluriel ; et si vous me suivez sur mon Instagram, je vous ai déjà parlé d'elle... au singulier.
 
Fadila Maaroufi est bien plus qu'une simple anthropologue. Elle incarne la quintessence de la détermination. Fondatrice de l'Observatoire des fondamentalismes à Bruxelles, elle s'est engagée dans une lutte acharnée contre les extrémismes religieux, bravant les dangers qui hantent les zones d'ombre de notre société contemporaine aux échos pourtant moyenâgeux.
 
Son parcours est marqué par des actes de bravoure indéniables. Mais en est-elle, elle-même consciente ? Infiltrant les milieux islamistes, elle a arpenté les sentiers périlleux où se nichent les idéologies les plus radicales, révélant au grand jour les mécanismes de manipulation et de domination qui s'y dissimulent.
 
Mais le prix de son engagement est élevé. Fadila Maaroufi est aujourd'hui boycottée par les médias belges, condamnée à l'isolement médiatique pour oser porter la lumière là où règnent les ténèbres idéologiques. "
Le podcast Paroles contre l’antisémitisme est diffusé sur Apple, Deezer et Spotify et également sur le DAB plus de radio RCJ en numérique, sur le site dans la rubrique RCJ studio et dans les dossiers spéciaux de la rédaction, ainsi que 1 dimanche par mois sur la fréquence FM de Radio RCJ, (94.8 FM).
Liens pour suivre son actu et travail :
Le Café Laïque : https://cafla.be/
L'Observatoire européen des Fondamentalismes : https://observatoirebxl.com/


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Pour ce septième épisode, je reçois l'écrivain, Rachel Khan.
Elle y parle de son histoire familiale, de ses écrits et de ses engagements contre le décolonialisme et le racisme, en faveur d'un universalisme républicain.
" Si vous me demandez sa couleur de peau ?
Je vous répondrai… Bleu, Blanc, Rouge !
 
Si vous m’interrogez sur ses croyances ?
Je vous répondrai Universalisme, laïcité et République.
 
Si vous me questionnez sur sa profession ?  
Je vous répondrai que Noire n’est pas son métier.
 
Mais qu’elle déjoue les pronostics - bien français - qui se plaisent encore trop souvent, à enfermer les personnes dans des fonctions UNIQUES… car si l’on est conseillère en politique ici, l’on ne peut pas être écrivaine là-bas,
encore moins sportive de haut-niveau ailleurs… et vous RÊVEZ si vous pensez en plus, pouvoir être diplômée d’un DESS des droits de l’homme, d’un DESS en droit humanitaire et d’un DEA en droit international !
 
D’abord encartée sous l’étiquette Les Verts, Rachel Khan écrit ensuite des discours pour des personnalités politiques, mais PROMIS, elle n’est pas venue nous servir la soupe… ni la jeter sur La Joconde ! "  

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Pour ce 6ᵉ épisode, je reçois l'écrivaine et militante contre les violences faites aux femmes Sarah Barukh, dans lequel nous parlons de ce que signifie le féminisme pour elle, des mouvements féministes en France ainsi que de sa vision des faits suite aux attentats le 7 octobre en Israël.
Sarah cumule les casquettes et les qualités… les combats et les projets.
 
Oui, c’est que… Sarah a vécu 10 années de violences conjugales. Dans la nuit du 5 au 6 juin 2020, elle s’enfuit de chez elle avec sa fille de 16 mois. Aujourd’hui cela fait 3 ans qu’elle a retrouvé sa liberté.
Elle a écrit le livre « 125 et des milliers » qui raconte le portrait de 125 femmes tuées des mains de leur conjoint. Après la parution de son livre, elle fonde l’association 125 ET APRÈS pour lutter contre les violences conjugales et intrafamiliales. Son souhait : donner de l’espoir aux personnes qui vivent de la violence, car aujourd’hui, elle peut affirmer qu’après la violence, la vie est belle !
 
Alors un rappel : les violences conjugales touchent une femme sur cinq en France.
 
Je dédie ce sixième épisode à toutes les femmes victimes de violences physiques et psychologiques, ainsi qu’à toutes les israéliennes, encore otages aux mains du Hamas. Nous ne vous oublions pas. Puissions-nous vous voir renter chez vous, saines et sauves.

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