La nuit des longs couteaux Télé-Québec
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- Society & Culture
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L’avenir du pays s’est joué dans la nuit du 4 au 5 novembre 1981. Trahison humiliante pour certain.e.s, fierté retrouvée pour d'autres... Comment un même évènement peut être vu de manière si diamétralement opposée? 40 ans après les évènements, la série balado de suspense La nuit des longs couteaux replonge dans la petite et la grande histoire pour comprendre comment une simple conférence entre premiers ministres provinciaux a pu donner lieu à l’une des plus grandes fractures qu’ait connue le pays.
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La dernière chance
Encore une fois, Trudeau et Lévesque s’affronteront pour leurs idées. Pierre Elliott Trudeau convoque les premiers ministres des provinces à une conférence de la dernière chance pour tenter encore une fois de trouver un consensus...
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Diviser pour mieux régner
L’alliance entre Lévesque et ses alliés est fortement ébranlée. Devant l’impasse, Trudeau menace de rapatrier unilatéralement la constitution, en incluant une Charte des droits et libertés, bête noire des provinces canadiennes...
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Les couteaux volent bas
Le groupe des 8 est divisé. La conférence se termine le 4 novembre dans l’impasse. Les premiers ministres décident d’ajouter une 5e journée de conférence dans l’espoir d'arriver à un accord.
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Une constitution, deux solitudes
Les jeux sont faits. Le Québec aurait-il signé l’entente s’il avait été convoqué ? Est-ce que les autres provinces ont trahi leur allié québécois en adhérant à une nouvelle proposition sans lui en parler ?
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La nuit des longs couteaux | Bande-annonce
L’avenir du pays s’est joué dans la nuit du 4 au 5 novembre 1981. Trahison humiliante pour certain.e.s, fierté retrouvée pour d'autres... Comment un même évènement peut être vu de manière si diamétralement opposée?
Avis des utilisateurs
Excellente recherche
Beaucoup d’informations et bonne mise en scène. Je devrai réécouter pour bien absorber!
Raymond Beaudoin
Très bon flash d’avoir pris Pierre Brassard pour faire PE Trudeau !!! ahaha
Mal foutu
Les « reconstitutions » sont inutiles, mal foutues: pourquoi se donner le trouble d’en intégrer si le narrateur prend la peine d’indiquer dans la seconde qui suit que « ce n’est pas ainsi que ça s’est vraiment déroulé » (le just watch me, le premier ministre qui ne parle pas français)?
Beaucoup de longueurs, ambiance musicale vraiment gossante qui n’est pas sans rappeler le sketch de François Pérusse alors qu’un contrebassiste ne peut pas jouer de musique assez grave pour accompagner le thème de « politique fédérale ».
Les meilleurs moments sont dans les entrevues avec des acteurs de l’époque (Louise Beaudoin, Claude Morin, Monique Tremblay): on en aurait pris beaucoup plus. On aurait pris que ça en fait…
La palme du ridicule revient à l’épisode deux et le segment de Martine Delvaux qui est carrément inutile, voire carrément révisionniste et opportuniste. Comme si on le savait pas que c’était un Boy’s Club, la politique canadienne en 1981… ça n’amène rien de nécessaire au traitement du sujet et aurait pu être remplacé par n’importe quoi d’autre, idéalement plus d’entrevues avec des acteurs de l’époque.
Très décevant.