La Tragédie fait des podcasts latragedie

Le podcast de la Tragédie fête ses 2'000 écoutes ! Lancé en octobre 2020 suite à l'annulation de notre assemblée générale, le podcast nous a permis de continuer à nous rassembler en petit comité (et dans le respect des normes sanitaires, on vous rassure) durant cette période difficile qui a vu les liens interhumains fragilisés les uns après les autres. Il nous a également permis conserver le lien avec vous tout.e.s.x, membres de la communauté étudiante (ou pas), et de parler des sujets qui nous touchent et qui vous touchent, à notre manière, sans pression d'audimat et à notre rythme, un rythme libre et exempt de toute attente de résultat commercial.
Le podcast de La Tragédie, c'est 19 épisodes, dont 3 épisodes spéciaux, 2 séries, dont 1 triptyque, 13 thématiques abordées, 7 chroniques, des jeux de mots innombrables, 1407 fichiers corrompus (cœur sur toi Inès), 2 génériques, ainsi qu'un reportage télé et un reportage radio à notre propos. Du point de vue humain, cela représente 17 interviewereuses, 43 invité.e.s.x, 24 artistes locaux.ales mis.es en avant, 5 lectures poétiques et de très nombreux fous rires. Mais aussi des dizaines d'heures de préparation, de montage, des litres de bière, des kilos de chips, le tout pour concocter 18heures, 19minutes et 47secondes d'émission au fil des mois.
Pour fêter cette étape, on vous a préparé un épisode spécial qui rassemble le meilleur du pire des jingles utilisés, pour le plus grand malheur de vos oreilles !

Une fois n’est pas coutume, on ne se trouve pas sur les toits de la comédie, mais bien dans les sous-sols de la maison internationale des associations dans le cadre de la soirée 100 limites de la Tragédie. 
On avait invité pour l’occasion trois réalisateurices hors pairs pour projeter leurs œuvres: Denis Ponté, et son film Homo Artifex, sur la problématique migratoire, Maevia Gryffiths, avec The Drop, et les questions de justice sociale sous le prisme de l’accès à l’eau, et William Chalaby avec Le Poids du Vide, qui nous plonge dans la psychée du quotidien isolé d’une personne âgée. 
Vous aviez raté la table ronde parce que trop occupés à siroter votre cocktail Tragédie au bar ? Pas de soucis, on vous en a fait un podcast, durant lequel les trois invité.e.s discutent de leur rapport à la réalisation engagée, et l’impact qui en découle. 
Bonne écoute !

Dans ce quatrième et dernier épisode de la série sur les luttes féministes, on reçoit Emilie du collectif féministe de l’IHEID, ainsi que Diane et Noemie, membres de CELVS, le collectif universitaire en lutte contre les violences sexistes et le harcèlement sexuel. 
On discute avec elles de la positon de leurs organismes respectifs au sein des institutions dont elles font part, de la difficulté d’y trouver une place, et du travail qu’elles y font. 
Entre le féminisme plus théorique du collectif de l’IHEID, et la réalité plus pragmatique de CELVS, nos invitées se sont rencontrées le temps d’un épisode

Ce troisième épisode de notre série consacrée aux mouvements féministes propose une parenthèse littéraire et musicale inédite, mais tout aussi engagée ! Deux chroniques musicales encadrent l’interview d’Agnès Vannouvong, écrivaine et enseignante en études genre à la faculté des Lettres et animatrice d'un atelier d'écriture proposé par les activités culturelles de l’Université de Genève.
Dans la première, Caroline et Emma s’attaquent à la chanson « Mesdames » de Grand Corps Malade, dans laquelle il rend un « hommage » aux femmes quelque peu discutable…
Dans la seconde, Inès Rezki aborde, à partir de la « Canción sin miedo » de Vivir Quintana, la question des féminicides, et pas seulement au Mexique.
Notre invitée du jour, Agnès Vannouvong, nous parle de ses diverses activités au sein et hors de l’université de Genève. Entre atelier d’écriture en études genre, recherche académique et romans, elle nous décrit son parcours et sa réflexion, à la fois professionnelle et personnelle.
 

Dans ce deuxième épisode de notre série dédiée au féminisme, on aborde la suite de notre discussion sur le questionnement des différents voies qui s’offrent aux luttes féministes, la remise en question de la légitimité des collectifs féministes face aux questions de fond dans Les milieux académiques, la mixité choisie, et bien d’autres choses encore. 
Nous sommes en présence de Laurie, Coralie et Sarah Luna de “Engageons les murs” et de Valeria et Audray de “Que faire de nos bustes?”. 
A la fin de cet épisode on écoute "Infinito" de Josefa Ibarra.

Pour ce nouvel épisode, la Tragédie revient en force sur le thème des luttes féministes, dans et hors de l’université de Genève. 
On a parlé occupation de l’espace public et visuel ainsi que des différents moyens de lutte mobilisables et mobilisées dans ce but, et le moins que l’on puisse dire c’est que la discussion était passionnante.
Pour représenter le Collectif Que Faire Des Bustes, nous avons accueilli Audray et Valeria qui nous ont exposer les réflexions menées au sein de leur collectif au sujet des bustes des Bastions.
Coralie, Laurie et Sarah-Luna, membres d’Engageons les murs, sont venues nous parler des collages féministes qu’elles placardent avec leur collectif, mais aussi de leurs dernières manifestations.
A la fin, on écoute leur performance du 8 mars 2021 à Bel-Air, "Un violador en tu camino" performance crée au Chili par le collectif Las Tesis pour dénoncer les violences sexistes systémiques. Cette performance a été reprise tout autour du monde. 
Bonne écoute !