5 Folgen

Un déplacement de caméra pour tout connaître de l'histoire du cinéma!

Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion.

Travelling ‐ La 1ère RTS - Radio Télévision Suisse

    • TV und Film
    • 4.8 • 111 Bewertungen

Un déplacement de caméra pour tout connaître de l'histoire du cinéma!

Fichiers disponibles durant 30 jours après diffusion.

    Il faut sauver le soldat Ryan (Saving Private Ryan), Steven Spielberg, 1998

    Il faut sauver le soldat Ryan (Saving Private Ryan), Steven Spielberg, 1998

    Préparez-vous à lʹim-préparable, à lʹhorreur brute, ultime, absolue, quand on envoie au casse-pipe des milliers de jeunes gens pour prendre dʹassaut les plages de Normandie.
    Nom de code : Opération Neptune.
    Le Jour J, le D Day, le 6 juin 1944, cʹest le débarquement de Normandie.
    Une opération militaire alliée amphibie et aéroportée.
    On va attaquer le Reich allemand par les airs et par la mer et débarquer avec des milliers de soldats.
    Cʹest le point de bascule de la Seconde Guerre Mondiale.
    En 1998, un cinéaste américain dans Il faut sauver le soldat Ryan, Saving Private Ryan, rejoue devant ses caméras le débarquement à Omaha Beach avec une floppée de bons acteurs, Tom Hanks en tête.
    Steven Spielberg filme au plus près, au cœur de la bataille la mort, la rage, la peur, la lâcheté, le courage, la haine.
    Cʹest du jamais vu.
    Le réalisme est prégnant.
    On montre la guerre comme on ne lʹavait pas vue depuis Platoon, comme on ne lʹavait pas vue depuis les films dʹactualités tournés caméra au poing à lʹépoque.
    Décors réalistes et mission surréaliste quand huit hommes sont désignés pour en sauver un seul qui pourra rentrer en Amérique tandis quʹeux continuent de se battre.
    Le film pose des questions morales et Steven Spielberg en rend compte, documente, travaille au plus proche de la réalité.
    A sa sortie, les critiques sont élogieuses.
    Le film laisse les spectatrices et les spectateurs pantelants.
    Cʹest un succès commercial, et il remporte de nombreux prix.
    Nommé pour 11 oscars, Saving Private Ryan (Il faut sauver le soldat Ryan) en reçoit 5 dont celui du meilleur réalisateur pour Steven Spielberg.
    Sword Beach, Juno Beach, Gold Beach, Omaha Beach et Utah Beach sont nos objectifs.
    Des plages sur lesquels nous allons toutes et tous débarquer.


    REFERENCES

    Pascal Vennesson, Guerres et soldats au cinéma, Edition LʹHarmattan, 2005

    Il faut sauver le soldat Ryan, Notes de production du film, Paramount, 1998

    Archives de lʹAFI American film insitute
    https://www.youtube.com/watch?v=dRfH21kg1YA

    Behind scenes of Private Ryan
    https://www.youtube.com/watch?v=c-M1klmXjqI

    Making of dʹIl faut sauver le Soldat Ryan
    https://www.youtube.com/watch?v=c-M1klmXjqI

    Steven Spielberg reçoit lʹOscar du meilleur réalisateur
    https://www.youtube.com/watch?v=hgrbuYT9V4s

    Entretien de 1998 de Steven Spielberg au WFAA à Dallas
    https://www.youtube.com/watch?v=2ynv2YLwoNk

    Archives de lʹAFI American film Institute
    https://www.youtube.com/watch?v=dRfH21kg1YA

    • 56 Min.
    Bons Baisers de Russie (From Russia with Love), Terence Young, 1963

    Bons Baisers de Russie (From Russia with Love), Terence Young, 1963

    Cʹest un matricule : 007 et un nom qui claque comme un coup de feu : Bond, James Bond.
    Un personnage que vous connaissez depuis de plus de 60 ans au cinéma.
    Il y arbore son smoking, son cocktail préféré et des conquêtes féminines toutes plus belles les unes que les autres.
    En parallèle, il tue des méchants et sauve le monde.
    James Bond passe de la plume dʹIan Fleming, il a été créé en 1953, au cinéma dès 1962 sous lʹimpulsion des producteurs Albert R. Broccoli et Harry Saltzman.
    Si Casino Royal est la première adaptation connue de ses aventures, cʹest James Bond contre Dr No qui lance la franchise de 007, lʹespion le plus connu du grand écran.
    Après le succès de James Bond contre Dr No, on remet la machine en route.
    En 1963, dans Bons Baisers de Russie (From Russia with Love), voilà James Bond se baladant entre Istanbul et Venise, à bord de lʹOrient Express, aux prises avec des espions, des tueurs, des gitanes, Le Spectre et Tatiana Romanova.
    Cʹest Terence Young qui est à nouveau aux commandes de ce 2e long métrage autour du personnage incarné par Sean Connery, absolument parfait dans ce rôle.
    Le film est un véritable succès en salle à sortie.
    Tout le monde sʹarrache les produits dérivés de ce qui va devenir une saga cinématographique.
    On parle déjà de la suite, ce sera Goldfinger.
    La légende de James Bond se met en place et sera inarrêtable.
    Aujourdʹhui dans Travelling, nous allons vous parler de Bons Baisers de Russie. Pour les bondiens, cʹest peut-être le meilleur épisode de la saga. Vous vous ferez votre opinion.
    Nous nʹavons pas les engins sophistiqués de Q pour vous raconter cette histoire mais un lecteur de déchiffrement russe, le Lektor, que le MI6 veut obtenir à tout prix. Voilà James Bond chargé de le récupérer au prix de bien des périls.

    REFERENCES

    Interview de Terence Young et Sean Connery à propos du film "Bon baisers de Russie"
    08.03.1963 - 01:22
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i19023317/interview-de-terence-young-et-sean-connery-a-propos-du-film-bon-baisers-de

    Les 60 ans du film
    https://www.youtube.com/watch?v=oXNG57zTpTE

    Interview du réalisateur Terence YOUNG, de passage à Paris, à propos de son dernier film de James Bond "Bons baisers de Russie". JT 20H - 16.03.1964
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caf97506577/james-bond

    Lee Pfeiffer et Dave Worrall, James Bond, le guide officiel 007, Flammarion, 2005

    Guillaume Evin, James Bond est éternel. Un demi-siècle de cinéma, 50 histoires secrètes de lʹagent 007, Le poche du moment, 2015

    Claude Monnier, James Bond, Une esthétique du plaisir, LʹHarmattan Cinéma(s), 2015

    • 56 Min.
    Yentl, Barbra Streisand, 1983

    Yentl, Barbra Streisand, 1983

    Yentl sorti en 1983 est un film musical, dramatique, réalisé, écrit, joué, produit par une actrice chanteuse de talent, Barbra Streisand.
    Lʹadaptation, relativement libre, du moins incarnée, dʹune nouvelle dʹIsaac Singer parue en 1962, intitulée : Yentl, the Yeshiva Boy.
    Lʹhistoire est celle dʹune jeune fille juive au-début du 20e siècle qui veut étudier la Torah.
    Mais elle est femme et ce nʹest pas la place des femmes.
    Yentl, à la mort de son père, se coupe les cheveux, revêt des habits dʹhomme et part étudier les textes sacrés.
    Véritable quête initiatique, film ouvertement féministe, le film est de plus porté par la musique de Michel Legrand qui a lʹhabitude de travailler avec Barbra Streisand.
    Les états intérieurs de Yentl sont ainsi chantés et apportent la distance quʹil faut à cette épopée dʹune jeune femme occupée à décrocher, non pas la lune, encore quʹelle le pourrait, mais simplement ce qui lui est interdit : le savoir.
    Nouvelle Eve, Yentl trace son chemin vers la liberté et devient source dʹinspiration pour de nombreuses jeunes filles.
    Du moins, cʹest ce que se plait à rêver la toute jeune réalisatrice dont cʹest le premier projet.
    Le film est plutôt bien reçu par le public.
    La BO du film connaît également un grand succès.
    Les critiques par contre nʹaiment pas trop quʹune chanteuse très (trop) populaire, ait lʹaudace de se poser ainsi en réalisatrice.
    Mais Barbra Streisand nʹen a cure.
    Elle gagne le Golden Globe du meilleur film musical en 1984 et celui du meilleur réalisateur, et Michel Legrand gagne un Oscar pour la meilleure musique.
    Dès lors, suivons la transformation de Yentl en Anshel, et le cheminement dʹune femme libre.

    REFERENCES

    Barbra Streisand Interview 1983 Yentl Brian Linehan's City Lights
    https://www.youtube.com/watch?v=1ubk8QxQiZM

    Yentl, les répétitions
    https://www.youtube.com/watch?v=2viX5BARbjs

    Yentl, les bonus du DVD, Directorʹs Extended Edition, 2008
    https://www.youtube.com/watch?v=QFETUNoIzWA

    Champs Elysées, 17.03.1984, INA
    https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00017112/barbra-streisand-et-michel-legrand-a-propos-du-film-yentl

    I love Legrand, le podcast des radios francophones publiques.
    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/i-love-legrand



    Yentl sorti en 1983 est un film musical, dramatique, réalisé, écrit, joué, produit par une actrice chanteuse de talent, Barbra Streisand.
    Lʹadaptation, relativement libre, du moins incarnée, dʹune nouvelle dʹIsaac Singer parue en 1962, intitulée : Yentl, the Yeshiva Boy.
    Lʹhistoire est celle dʹune jeune fille juive au-début du 20e siècle qui veut étudier la Torah.
    Mais elle est femme et ce nʹest pas la place des femmes.
    Yentl, à la mort de son père, se coupe les cheveux, revêt des habits dʹhomme et part étudier les textes sacrés.
    Véritable quête initiatique, film ouvertement féministe, le film est de plus porté par la musique de Michel Legrand qui a lʹhabitude de travailler avec Barbra Streisand.
    Les états intérieurs de Yentl sont ainsi chantés et apportent la distance quʹil faut à cette épopée dʹune jeune femme occupée à décrocher, non pas la lune, encore quʹelle le pourrait, mais simplement ce qui lui est interdit : le savoir.
    Nouvelle Eve, Yentl trace son chemin vers la liberté et devient source dʹinspiration pour de nombreuses jeunes filles.
    Du moins, cʹest ce que se plait à rêver la toute jeune réalisatrice dont cʹest le premier projet.
    Le film est plutôt bien reçu par le public.
    La BO du film connaît également un grand succès.
    Les critiques par contre nʹaiment pas trop quʹune chanteuse très (trop) populaire, ait lʹaudace de se poser ainsi en réalisatrice.
    Mais Barbra Streisand nʹen a cure.
    Elle gagne le Golden Globe du meilleur film musical en 1984 et celui du meilleur réalisateur, et Michel Legrand gagne un Oscar pour la meilleure musique.
    Dès lors, suivons la transformation de Yentl en Anshel, et l

    • 56 Min.
    La Cité de la peur, Alain Berberian, 1994

    La Cité de la peur, Alain Berberian, 1994

    • 56 Min.
    La haine, Mathieu Kassovitz, 1995

    La haine, Mathieu Kassovitz, 1995

    • 56 Min.

Kundenrezensionen

4.8 von 5
111 Bewertungen

111 Bewertungen

BurkiChristopher ,

Excellent 👍

Je découvre ce podcast. Bravo pour la diversité! Très bon podcast. Merci!

Meriadoc La Tour ,

Magnifique podcast

Un excellent podcast

Enkel 1989 ,

Un très bon podcast sur le cinéma

Un très bon podcast qui revient en détails sur des films, voir classique du cinéma

Top‑Podcasts in TV und Film

Kino oder Couch
Steven Gätjen, Tim Affeld, Anja Noltenius
Precht (AUDIO)
ZDFde
Géopolitis ‐ RTS
RTS - Radio Télévision Suisse
Cinema Strikes Back
funk - von ARD und ZDF
Die Sendung mit der Maus
Westdeutscher Rundfunk
Temps Présent ‐ RTS
RTS - Radio Télévision Suisse

Das gefällt dir vielleicht auch

Histoire Vivante ‐ La 1ère
RTS - Radio Télévision Suisse
La semaine des 5 heures
RTBF
L'Heure H
RTBF
Un Jour dans l'Histoire
RTBF
Yann Marguet : moi, ce que j'en dis
France Inter
Affaires sensibles
France Inter

Mehr von RTS - Radio Télévision Suisse

Le Point J - RTS
RTS - Radio Télévision Suisse
Histoire Vivante ‐ La 1ère
RTS - Radio Télévision Suisse
Les histoires de Millie D. - RTS
RTS - Radio Télévision Suisse
Forum ‐ La 1ère
RTS - Radio Télévision Suisse
Tout un monde - La 1ere
RTS - Radio Télévision Suisse
Les Dicodeurs ‐ La 1ère
RTS - Radio Télévision Suisse