Oh. My. God. : Girl power ‪!‬ Oh.My.God

    • Reseñas de TV

Eric Maillard et sa bande ont orchestré une deuxième émission confinée avec pour fil conducteur le girl power dans les séries.



Toute l’équipe est fidèle au rendez-vous : Emilie Lopez (journaliste). Virginie de Clausade (comédienne et autrice), Fabrice Dupreuilh (rédacteur en chef) et Sélim Niederhoffer (copywriter et coach en séduction).



Au programme des coups de cœur du mois :



The Plot Against America (OCS) : l’uchronie a séduit Selim qui avoue au passage son intérêt pour les nazis dans les films. Vous ne savez pas ce qu’est une uchronie ? Il faut écouter !




https://www.youtube.com/watch?v=22jqPruP9AM&feature=emb_title




Miss America (OCS) : Virginie a adoré la série qui traite de l’égalité des sexes dans les années 60 avec l’opposition d’une activiste conservatrice et d’une féministe



Ozark (Netflix) : Fabrice a fini par plonger dans la série dont le marketing « ne donne pas envie » mais qui semble avoir séduit très largement pendant le confinement et ne le regrette pas.



Upload (Prime Video) : cette dystopie au croisement de Black Mirror et The Good Place a constitué la bulle d’oxygène joyeuse d’Eric pendant ce confinement.



Hollywood (Netflix) : Emilie a aimé le principe, les images magnifiques, le casting, elle est rejointe par Eric dans son coup de cœur porté par un casting senior de très haute volée.



Les chroniques commencent exceptionnellement par la carte blanche des chroniqueurs pour continuer avec Hollywood (Netflix) et Selim qui prend la parole pour tous ceux qui  n’ont pas aimé la guimauve, l’arc en ciel et tous les excès d’une mini-série qu’il a quand même regardée jusqu’au bout.




https://www.youtube.com/watch?v=Sw4hWoRC4AM&feature=emb_title




Le temps des ouvriers (Arte.TV), série documentaire dont Virginie est tombée littéralement amoureuse. « Pour bien penser le monde demain, bien connaître le monde qu’on veut quitter ».



Un gros plan sur les séries de Prime Time dont The Resident et surtout Why Women Kill avec Fabrice qui ne boude pas son plaisir. L’occasion de revenir sur ce qu’est une dramédie.



Le bureau des légendes, Emilie n’a pas regardé, elle a pourtant un coup de gueule contre son créateur Eric Rochant qui défend la fin de sa série confiée à Audiard, final que les fans semblent rejeter en masse.



Le traditionnel classement des meilleures audiences en streaming est l’occasion de parler des séries Westworld, Dead to Me, Killing Eve, The Last Dance ou encore Never Have I ever.



Pour finir, le débat du mois est l’occasion de se demander ce qui fait le succès grandissant des séries de femmes.



En illustrant son point de vue par quelques séries marquantes, dont Damages et Big Little Lies, l’équipe revient sur l’évolution de la place des femmes dans les séries, des années 60 à nos jours. Le débat revient au passage sur la place de la femme derrière l’écriture ou encore l’enjeu de la capacité de projection des hommes dans des personnages féminins.

Eric Maillard et sa bande ont orchestré une deuxième émission confinée avec pour fil conducteur le girl power dans les séries.



Toute l’équipe est fidèle au rendez-vous : Emilie Lopez (journaliste). Virginie de Clausade (comédienne et autrice), Fabrice Dupreuilh (rédacteur en chef) et Sélim Niederhoffer (copywriter et coach en séduction).



Au programme des coups de cœur du mois :



The Plot Against America (OCS) : l’uchronie a séduit Selim qui avoue au passage son intérêt pour les nazis dans les films. Vous ne savez pas ce qu’est une uchronie ? Il faut écouter !




https://www.youtube.com/watch?v=22jqPruP9AM&feature=emb_title




Miss America (OCS) : Virginie a adoré la série qui traite de l’égalité des sexes dans les années 60 avec l’opposition d’une activiste conservatrice et d’une féministe



Ozark (Netflix) : Fabrice a fini par plonger dans la série dont le marketing « ne donne pas envie » mais qui semble avoir séduit très largement pendant le confinement et ne le regrette pas.



Upload (Prime Video) : cette dystopie au croisement de Black Mirror et The Good Place a constitué la bulle d’oxygène joyeuse d’Eric pendant ce confinement.



Hollywood (Netflix) : Emilie a aimé le principe, les images magnifiques, le casting, elle est rejointe par Eric dans son coup de cœur porté par un casting senior de très haute volée.



Les chroniques commencent exceptionnellement par la carte blanche des chroniqueurs pour continuer avec Hollywood (Netflix) et Selim qui prend la parole pour tous ceux qui  n’ont pas aimé la guimauve, l’arc en ciel et tous les excès d’une mini-série qu’il a quand même regardée jusqu’au bout.




https://www.youtube.com/watch?v=Sw4hWoRC4AM&feature=emb_title




Le temps des ouvriers (Arte.TV), série documentaire dont Virginie est tombée littéralement amoureuse. « Pour bien penser le monde demain, bien connaître le monde qu’on veut quitter ».



Un gros plan sur les séries de Prime Time dont The Resident et surtout Why Women Kill avec Fabrice qui ne boude pas son plaisir. L’occasion de revenir sur ce qu’est une dramédie.



Le bureau des légendes, Emilie n’a pas regardé, elle a pourtant un coup de gueule contre son créateur Eric Rochant qui défend la fin de sa série confiée à Audiard, final que les fans semblent rejeter en masse.



Le traditionnel classement des meilleures audiences en streaming est l’occasion de parler des séries Westworld, Dead to Me, Killing Eve, The Last Dance ou encore Never Have I ever.



Pour finir, le débat du mois est l’occasion de se demander ce qui fait le succès grandissant des séries de femmes.



En illustrant son point de vue par quelques séries marquantes, dont Damages et Big Little Lies, l’équipe revient sur l’évolution de la place des femmes dans les séries, des années 60 à nos jours. Le débat revient au passage sur la place de la femme derrière l’écriture ou encore l’enjeu de la capacité de projection des hommes dans des personnages féminins.