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L'affaire du transistor piégé ou le procès de la légitime défense L’heure du crime : les archives de Jacques Pradel
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- Crímenes reales
En novembre 1976, la maison secondaire de Lionel Legras, garagiste à Villenauxe-la-Grande, près de Troyes (Aube), avait déjà été cambriolée une douzaine de fois en dix ans. Lassé de ces vols, il avait confectionné une petite bombe artisanale, dissimulée à l'intérieur d'un banal poste transistor. Pendant la nuit du 22 novembre 1976, deux bûcherons pénètrent dans le garage où ils découvrent le transistor. L'un d'eux veut voir s'il fonctionne. Quelques secondes plus tard, une explosion : l'un est tué, l'autre gravement blessé. Lionel Legras plaide la légitime défense et sera acquitté en 1982.
En novembre 1976, la maison secondaire de Lionel Legras, garagiste à Villenauxe-la-Grande, près de Troyes (Aube), avait déjà été cambriolée une douzaine de fois en dix ans. Lassé de ces vols, il avait confectionné une petite bombe artisanale, dissimulée à l'intérieur d'un banal poste transistor. Pendant la nuit du 22 novembre 1976, deux bûcherons pénètrent dans le garage où ils découvrent le transistor. L'un d'eux veut voir s'il fonctionne. Quelques secondes plus tard, une explosion : l'un est tué, l'autre gravement blessé. Lionel Legras plaide la légitime défense et sera acquitté en 1982.
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