371 épisodes

Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    Philippe Dessertine - Dissolution: Quand la bourse tremble.

    Philippe Dessertine - Dissolution: Quand la bourse tremble.

    C dans l'air l'invité du 11 juin avec Philippe Dessertine, économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance et auteur de "Le grand basculement".

    L’onde de choc de l’annonce de la dissolution est aussi économique. Après la dissolution de l’Assemblée nationale, plusieurs secteurs économiques ont fortement reculé. La bourse parisienne affichait hier la plus forte baisse parmi les bourses européennes, toutes à la baisse au lendemain des élections européennes marquées par une poussée de l’extrême droite. Hier, les banques ont été secouées. La Société générale a dévissé de 7,80 %, la BNP Paribas a baissé 5,38 %, le Crédit agricole de 4,27 %, pareil sur le luxe et le BTP.


    La situation de l’Allemagne est aussi inquiétante pour les acteurs économiques puisque la coalition du chancelier Olaf Scholz a été devancée par la droite et l'extrême droite.


    Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire s’est montré très alarmiste. Selon lui, "c’est l'élection législative qui aura les conséquences les plus lourdes pour la France, pour les Français, de l'histoire de la Ve République". Le 18 juin, la Commission européenne doit rendre son verdict sur les procédures de déficit excessif. La France est dans le viseur de Bruxelles.


    Philippe Dessertine reviendra sur les répercussions économiques et financières après l’annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale.

    • 10 min
    Ciotti rallie Le pen...Vos questions sms

    Ciotti rallie Le pen...Vos questions sms

    C dans l'air du 11 juin - Ciotti rallie Le pen...la déflagration

    LES EXPERTS :


    - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur
    - Nathalie SCHUCK - Grand reporter - Le Point
    - Jean GARRIGUES - Historien, président du Comité d’histoire parlementaire et politique
    - Chloé MORIN - Politologue, auteure de "On a les politiques qu’on mérite"

    • 8 min
    Ciotti rallie Le pen...la déflagration - L'intégrale

    Ciotti rallie Le pen...la déflagration - L'intégrale

    C dans l'air du 11 juin - Ciotti rallie Le pen...la déflagration

    A dix-neuf jours du premier tour des élections législatives, les grandes manœuvres s’accélèrent dans les états-majors. Le Rassemblement national se cherche des alliés et la panique gagne les rangs de la droite après les déclarations du patron des LR. Invité du 13h de TF1, Éric Ciotti a estimé que son parti avait besoin d’une "alliance" avec le parti d’extrême droite de Marine Le Pen et Jordan Bardella. "Tous les députés sortants qui ne veulent pas avoir d’adversaire du RN face à eux" peuvent bénéficier d'un accord. Ses députés "siègeront dans un groupe Les Républicains" à l'Assemblée à l'issue des législatives. Si l’accord se concrétise, ce sera le premier de ce genre en France entre la droite républicaine gaullienne et l’extrême droite.


    Mais de nombreux cadres de son parti s’y opposent et appellent à sa démission. Il s'agit d'une "ligne personnelle". "Un parti politique, ce n'est pas seulement une personne", a lancé Bruno Retailleau après une réunion de groupe au Sénat où l’ensemble des élus LR ont affirmé leur opposition à un accord. "Eric Ciotti n'engage que lui. Il doit quitter la présidence des Républicains", a écrit sur X Olivier Marleix, le chef des députés LR. Jean-François Copé, Valérie Pécresse, Laurent Wauquiez, qui ne cache pas ses ambitions présidentielles, ont eux aussi écarté toute forme de compromission et excluent "les combinaisons d’appareil". "Une réunion d’urgence des instances seules aptes à définir les orientations idéologiques et politiques du parti !" a été demandée par Michèle Alliot-Marie.


    A gauche, écologistes, socialistes, "insoumis" et communistes ont acté lundi soir le principe de candidatures uniques dès le premier tour malgré des désaccords persistants, sous une bannière celle du Front populaire. Une union qui si elle se confirme d’ici vendredi et le dépôt des candidatures dans les préfectures inquiète le camp présidentiel. Car la gauche unie et le RN pourraient se retrouver au deuxième tour dans de très nombreux duels ou triangulaires. Mais pour cela la gauche va encore devoir dépasser un certain nombre de divergences. Ce matin Raphaël Glucksmann a indiqué ne pas souhaiter faire partie d’un "nouveau Front populaire" aux conditions posées par La France insoumise. "Face au RN aux portes du pouvoir, il est irresponsable de refuser de discuter du rassemblement. Mais l’union ne peut pas se faire au prix du renoncement aux principes et nous avons posé des points clairs", a indiqué le leader de Place publique. Avant de mettre en avant ses "points clairs" : Le soutien à la construction européenne, l’aide militaire à la résistance ukrainienne, la suppression de la réforme des retraites et de l’assurance chômage, l’accélération de la transition écologique, le refus de la brutalisation du débat public". "Le rassemblement sur ces bases limpides devra être ouvert à tous ceux qui se reconnaissent dans ce cap, y compris des députés de LIOT par ex", a-t-il conclu. Les discussions se poursuivent à gauche pour définir un programme commun et déposer la liste des 577 candidats du Front populaire d’ici vendredi.

    LES EXPERTS :


    - Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur
    - Nathalie SCHUCK - Grand reporter - Le Point
    - Jean GARRIGUES - Historien, président du Comité d’histoire parlementaire et politique
    - Chloé MORIN - Politologue, auteure de "On a les politiques qu’on mérite"

    • 1h 4 min
    Dominique Rousseau - Dissolution: l'arme absolue?

    Dominique Rousseau - Dissolution: l'arme absolue?

    C dans l'air l'invité du 10 juin avec Dominique Rousseau, constitutionnaliste.

    Dominique Rousseau est professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon/Sorbonne et auteur de "Les contestations". Il nous explique dans quel cadre l'article 12 de la constitution peut être utilisé.

    • 10 min
    Dissolution: coup de génie ou de folie? - Vos questions sms

    Dissolution: coup de génie ou de folie? - Vos questions sms

    C dans l'air du 10 juin - Dissolution: coup de génie ou de folie?

    LES EXPERTS :
    - Dominique Reynié - Directeur général - Fondapol, fondation pour l’innovation politique
    - Jérôme Jaffré - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF
    - Astrid de Villaines - Cheffe du service politique - Huffington Post
    - Brice Teinturier - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos

    • 5 min
    Dissolution: coup de génie ou de folie? - L'intégrale

    Dissolution: coup de génie ou de folie? - L'intégrale

    C dans l'air du 10 juin - Dissolution: coup de génie ou de folie?

    "J’ai décidé de vous redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote. Je dissous donc ce soir l’Assemblée nationale". Prenant acte du résultat historique de l'extrême droite en France, ce dimanche 9 juin, le président de la République a décidé d’activer l’article 12 de la Constitution, celui qui lui permet de mettre fin aux mandats des députés et de convoquer de nouvelles élections. Le premier tour des législatives aura lieu le 30 juin prochain et le second tour une semaine plus tard, le 7 juillet.

    Un tel événement politique ne s’est produit que huit fois en plus de 100 ans, et seulement six fois sous la Ve République : Jacques Chirac en 1997, mais également François Mitterrand (1981 et 1988) et le général de Gaulle (1962 et 1968). Il survient cette fois après la secousse que représente le vote de dimanche. Jamais l'extrême droite française n'avait jusqu'ici atteint les 30 % lors d'élections européennes. Elle se rapproche des 40 % désormais, le Rassemblement national de Jordan Bardella finissant largement en tête du scrutin avec 31, 36 % des voix hier soir, selon le ministère de l'Intérieur, et la liste Reconquête ! de Marion Maréchal totalisant 5, 47 %. Au coude-à-coude il y a cinq ans avec la liste présidentielle, le RN a distancé la liste Renaissance-MoDem-Horizons portée par Valérie Hayer de 17 points, cette dernière recueillant que 14,6 % des suffrages. En outre, le RN est arrivé en tête de toutes les régions de France métropolitaine, y compris, et c’est une première, en Bretagne. "Le résultat d'un vote sanction", a affirmé Jordan Bardella quelques minutes seulement après l'annonce des résultats, estimant que les Français avaient "exprimé une volonté de changement, mais aussi un chemin pour l'avenir". "Nous sommes prêts à exercer le pouvoir si les Français nous font confiance", a réagi Marine Le Pen. Le parti "se battra pour avoir une majorité" et pour que son président, Jordan Bardella, "arrive à Matignon" comme Premier ministre à l’issue des législatives, a affirmé pour sa part Louis Aliot le vice-président du parti alors qu’en coulisse de discrètes tractations ont commencé. Marine Le Pen, Jordan Bardella et Marion Maréchal doivent se rencontrer ce lundi au siège du RN.

    Arrivée en tête des élections européennes hier soir en France, l’extrême droite est-elle pour autant en mesure de s'installer à Matignon dès cet été ? "Rien n'est acquis, on a affaire à deux scrutins différents. Ce ne sont pas les mêmes enjeux, pas les mêmes modalités de vote", a expliqué le politologue Jean-Yves Camus. Les européennes sont un scrutin à la proportionnelle à un tour. Avec les législatives, il s’agit d’un scrutin uninominal majoritaire à deux tours et pour se qualifier au second tour, un candidat doit réunir au moins 12,5 % de la totalité du nombre d'électeurs inscrits. Un mode de vote qui a été longtemps défavorable au parti à la flamme, mais en 2022, avec la disparition du "front républicain", le RN a envoyé 89 députés au Palais-Bourbon, contre huit auparavant.

    Qu’en sera-t-il le 30 juin et le 7 juillet ? A gauche, l’annonce inattendue de la dissolution de l’Assemblée nationale a éclipsé le score des Européennes où la tête de liste PS- Place Publique, menée par Raphaël Glucksmann a obtenu 14 % des suffrages, devant la liste LFI de Manon Aubry (10,1 %), l’écologiste Marie Toussaint (5,5 %) et le communiste, Léon Deffontaines (2,3 %). Dans son ensemble la gauche représente 32 % des suffrages exprimés. Alors depuis hier soir, de nombreuses voix se sont élevées pour appeler à un rassemblement, un "front populaire" ou le retour de la Nupes. Mais 2024 n’est pas 2022. La gauche va-t-elle parvenir à s’unir ou partira-t-elle en ordre dispersé ? Et que vont faire Les Républicains ?

    Les réunions vont se suc

    • 1h 3 min

Avis

4,0 sur 5
1,6 k notes

1,6 k notes

Cerise&Ccie ,

J’aime beaucoup

J’aime beaucoup votre émission et je l’écoute tous les jours sauf quand le sujet porte sur des peoples comme Kate middleton qui ne montre pas son visage à cause de son lipofilling des joues ou sa rhinoplastie … laissons cela à Closer svp 😌

Nadeyr ,

Déçu

Il exista une époque, avec cette émission, un réel plaisir de s’instruire en écoutant des intervenants et intervenantes à la hauteur, des animateurs sachant tenir, relancer, dynamiser les discussions.

Dommage les personnes sont parties dans le privé je les comprends. Le service publique sombre, les seuls ne s’interrogeant pas sur cette descente sont les « présentateurs ou présentatrices » restant avec les œillères dans la capitale, sauf pour les vacances! La province possède l’aspect typique du dépaysement n’est-ce pas?
Pathétique, risible ou abscons je laisse le choix des maux.

Pitchoulou067 ,

Son médiocre !

Il est dommage que le son de l’émission soit si mauvais, alors que la voix d’introduction est parfaite, même un peu forte ! Cela nuit à mon sens à la bonne écoute de cette formidable émission au demeurant !

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