13-Novembre : le temps du procès Le Monde

Après une pause pendant les fêtes, le procès des attentats du 13-Novembre est constamment interrompu par des contaminations au Covid-19, celle de Salah Abdeslam d’abord, puis celle de l’un de ses voisins de box Ali El Haddad Asufi. Et pourtant, malgré ces contre-temps, le procès avance et est arrivé à l'itrois accusés, trois parcours djihadistesnterrogatoire des accusés sur le fond de l’affaire.
Cette semaine, dans ce podcast, Pascale Robert-Diard nous raconte les trois parcours djihadistes de trois accusés qui ont été interrogés au Palais de justice de Paris : Mohamed Abrini, Adel Haddadi et Osama Krayem.

Pascale Robert-Diard, chroniqueuse judiciaire au « Monde », raconte dans ce podcast les témoignages, au procès des attentats du 13-Novembre, des proches, inconsolables, des victimes tuées au Bataclan.

Dans cet épisode, Pascale Robert-Diard, chroniqueuse judiciaire au « Monde », nous raconte la difficulté à retranscrire les récits d'horreur qui se multiplient au Palais de justice de Paris : comment rendre compte des quelque 115 témoignages de survivants des attaques qui se sont succédé jusqu'ici ? Comment restituer la parole de ces victimes qui veulent chacun témoigner de leur "morceau de Bataclan", ce qu'ils ont vécu pendant l'attaque, les pensées qui les ont submergés, les regards échangés ou les images qu'ils ont été condamnés à voir ?

Dans ce podcast, Pascale Robert-Diard, chroniqueuse judiciaire au « Monde », raconte les premiers témoignages des survivants des attentats du 13 novembre 2015, au palais de justice de Paris.

Dans ce podcast, Pascale Robert-Diard, chroniqueuse judiciaire au « Monde », relate le témoignage de policiers entrés dans le Bataclan pendant la prise d’otages. Des moments qui ne se comptent ni en secondes, ni en minutes, ni en heures. Ce temps-là ne ressemble à aucun autre.

Pascale Robert-Diard, chroniqueuse judiciaire au « Monde », raconte l’émotion difficile à contenir des policiers chargés de décrire à la Cour d’assises spéciale les « scènes de guerre » qu’ils ont constatées après les attentats.