1h 31 min

#38 Stank, collectif de cinéastes NÉGATIF

    • Cinéma : les interviews

📻 Entretien avec le collectif de cinéastes Stank
➡ https://negatif.co/entretien/stank

Après avoir longuement discuté de Bruno Reidal, le premier long-métrage de Vincent Le Port, nous partons à la découverte de Stank, le collectif qui a produit ce film. Créé en 2012 par Roy Arida, Louis Tardivier, Pierre-Emmanuel Urcun et Vincent Le Port, il se définit comme un « collectif d’auteurs-réalisateurs » se consacrant « au développement et à la production de projets exigeants, sans restriction de genre, durée ou format ». Dans leur « catalogue » il y a donc des fictions, des documentaires, des films expérimentaux ou essais, parfois des objets filmiques non identifiables.

En s’organisant en collectif, ils ont souhaité conserver la maîtrise des moyens pour faire des films dans le système de production français, en accédant notamment aux différents financements publics et privés. Mais cette double volonté d’autonomie et d’indépendance qui leur permet « d’aider d’autres réalisateurs à pondre » autant qu’avoir les moyens de mener à terme leurs propres projets.

Parmi les réalisateurs et réalisatrices qu’ils ont accompagnés : Jean-Baptiste Alazard (Saint Jean-Baptiste, Alléluia!), Bojina Panayotova (L’immeuble des braves), Grégoire Couvert et Grégoire Orio (Khamsin), Lucile Mercier (Sans Cheval) ou Guillermo Quintero (Homo Botanicus). Les trois membres du collectif nous racontent comment les projets sont accompagnés — dans les limites des capacités économiques et humaines de Stank — pour que chaque film puisse aboutir. Mais également les contradictions qu’impose la « double casquette » de producteur ou de réalisateur sur les propres projets qu’ils ont réalisés.

Les chapitres
00:00:00— Introduction
00:01:57 — Un collectif hétéroclite et hétérogène
00:12:11 — Ponts entre les films et « ligne éditoriale »
00:20:15 — Autonomie, liberté et porteurs de projets
00:32:23 — Éloge du régisseur de tournage
00:45:16 — Sous le béton et Bruno Reidal, deux exemples
00:58:40 — Le conflit des deux casquettes
01:03:18 — La fémis, un réseau d'amitié et un laboratoire
01:10:46 — La sclérose du système de financement français
01:21:44 — Seuil de rentabilité et difficultés
01:29:08 — Futurs projets

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Audio # http://anchor.fm/negatif
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YouTube # https://youtu.be/WH-rwBh44kM

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Après avoir longuement discuté de Bruno Reidal, le premier long-métrage de Vincent Le Port, nous partons à la découverte de Stank, le collectif qui a produit ce film. Créé en 2012 par Roy Arida, Louis Tardivier, Pierre-Emmanuel Urcun et Vincent Le Port, il se définit comme un « collectif d’auteurs-réalisateurs » se consacrant « au développement et à la production de projets exigeants, sans restriction de genre, durée ou format ». Dans leur « catalogue » il y a donc des fictions, des documentaires, des films expérimentaux ou essais, parfois des objets filmiques non identifiables.

En s’organisant en collectif, ils ont souhaité conserver la maîtrise des moyens pour faire des films dans le système de production français, en accédant notamment aux différents financements publics et privés. Mais cette double volonté d’autonomie et d’indépendance qui leur permet « d’aider d’autres réalisateurs à pondre » autant qu’avoir les moyens de mener à terme leurs propres projets.

Parmi les réalisateurs et réalisatrices qu’ils ont accompagnés : Jean-Baptiste Alazard (Saint Jean-Baptiste, Alléluia!), Bojina Panayotova (L’immeuble des braves), Grégoire Couvert et Grégoire Orio (Khamsin), Lucile Mercier (Sans Cheval) ou Guillermo Quintero (Homo Botanicus). Les trois membres du collectif nous racontent comment les projets sont accompagnés — dans les limites des capacités économiques et humaines de Stank — pour que chaque film puisse aboutir. Mais également les contradictions qu’impose la « double casquette » de producteur ou de réalisateur sur les propres projets qu’ils ont réalisés.

Les chapitres
00:00:00— Introduction
00:01:57 — Un collectif hétéroclite et hétérogène
00:12:11 — Ponts entre les films et « ligne éditoriale »
00:20:15 — Autonomie, liberté et porteurs de projets
00:32:23 — Éloge du régisseur de tournage
00:45:16 — Sous le béton et Bruno Reidal, deux exemples
00:58:40 — Le conflit des deux casquettes
01:03:18 — La fémis, un réseau d'amitié et un laboratoire
01:10:46 — La sclérose du système de financement français
01:21:44 — Seuil de rentabilité et difficultés
01:29:08 — Futurs projets

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