371 épisodes

Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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    Sciences Po : la polémique... et la contagion - L'intégrale

    Sciences Po : la polémique... et la contagion - L'intégrale

    C dans l'air du 30 avril 2024 - Sciences Po : la polémique... et la contagion

    Alors que les négociations se poursuivent pour obtenir une trêve durable dans l’enclave palestinienne, en France la mobilisation des étudiants de Sciences Po continue de faire des vagues. Impulsé à Sciences Po Paris la semaine dernière par une cinquantaine d’étudiants, le mouvement de blocage, appelant à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, a gagné hier la Sorbonne. Une vingtaine d’étudiants ont été délogés par la police alors qu’ils installaient un campement dans la cours de l’établissement. Aujourd’hui des actions ont été menées par des étudiants dans plusieurs campus de Sciences Po notamment à Saint-Etienne, Strasbourg et Rennes mais aussi à l'université Tolbiac à Paris.


    A Sciences Po Paris, où le blocage a pris fin vendredi dernier après un accord avec la direction de l'établissement sur l’organisation d’un débat ce jeudi visant à discuter de la guerre à Gaza, la polémique se poursuit dans la classe politique. Les Républicains accusent la direction d'avoir "plié" face aux exigences de quelques centaines de militants et la région Ile-de-France présidée par Valérie Pécresse a annoncé "suspendre" ses financements à destination de l’école "tant que la sérénité et la sécurité ne seront pas rétablies". "L’État ne coupera pas la subvention à Sciences Po, l’État discute d’un contrat comme tous les établissements avec Sciences Po et on a un levier", a indiqué de son côté ce matin la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. "La communication interne a laissé croire qu’il y avait abandon de sanctions, c’est faux". D’autre part "il n’y aura aucun positionnement de l’institution, aucun boycott des relations avec les académies d’Israël. La direction de Sciences Po est alignée sur cette position", a également assuré Sylvie Retailleau.


    Le Premier ministre Gabriel Attal avait déploré, ce samedi, "un spectacle navrant, choquant, d'une minorité agitée effectivement par des forces politiques, notamment La France Insoumise". La patronne du groupe LFI à l'Assemblée nationale lui avait répondu : "Nous n'avons en aucun cas instrumentalisé les gens. La jeunesse a un cerveau, elle sait pourquoi elle fait ça". Elle avait justifié la présence de certains de ses collègues pour "éviter que le blocage se déroule mal", alors que la préfecture avait ordonné l'évacuation de l'école. Mathilde Panot avait également appelé à un rassemblement ce mardi matin pour "pour la liberté d’opinion" et pour protester contre la "censure" du gouvernement à l’encontre des insoumis au moment où elle et la candidate aux européennes Rima Hassan étaient entendues par la police pour "apologie du terrorisme". Une convocation qui ne préjuge pas du lancement de poursuites à leur encontre.


    Du côté de l’extrême droite, le vice-président RN de l’Assemblée nationale Sébastien Chenu a vivement critiqué l'accord trouvé. "La direction de Sciences Po et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ce sont des gens qui ont peur. Ils ont peur de La France insoumise, de la violence de l'extrême gauche. Donc ils préfèrent laisser faire" (…) C’est un braquage que fait la LFI de nos établissements d’enseignement et le gouvernement est totalement passif", a affirmé l’élu RN, estimant que "se laissez-faire fabrique de l’antisémitisme" et que l’école "a perdu totalement son âme".


    Aux Etats-Unis, le conflit au Proche-Orient occupe également le devant de la scène politique avec la mobilisation massive d’étudiants pro-palestiniens dans les campus. Le mouvement est parti de l’université new-yorkaise de Columbia où 100 personnes ont été interpellées le 18 avril dernier. Depuis, la vague de protestation s’est étendue dans de nombreuses universités du pays et des centaines d’étudiants, enseignan

    • 1h 3 min
    Bruno Tertrais - Dissuasion nucléaire: on partage?

    Bruno Tertrais - Dissuasion nucléaire: on partage?

    C dans l'air l'invité du 29 avril 2024 - Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, auteur de "La Guerre des mondes" et "Pax atomica".

    A la Sorbonne le 25 avril, Emmanuel Macron a plaidé pour bâtir un "concept stratégique" de "défense européenne crédible". Il estime que la puissance de dissuasion nucléaire française ne doit pas être exclue. "Être crédible, c’est avoir aussi des missiles de longue portée qui dissuaderaient les Russes. Et il y a l’arme nucléaire : la doctrine française est qu’on peut l’utiliser quand nos intérêts vitaux sont menacés. J’ai déjà dit qu’il y a une dimension européenne dans ces intérêts vitaux, sans les détailler car cette dissuasion concourrait à la crédibilité de la défense européenne", a-t-il précisé dans un entretien avec les journaux du groupe Ebra.

    Il souhaite donc "ouvrir ce débat qui doit donc inclure la défense antimissile, les tirs d’armes de longue portée, l’arme nucléaire pour ceux qui l’ont ou qui disposent sur leur sol de l’arme nucléaire américaine". C’est le cas de l’Italie et de la Belgique.

    Bruno Tertrais, directeur adjoint de la FRS, conseiller géopolitique à l’Institut Montaigne, reviendra sur les récentes déclarations du président de la République qui s’est dit prêt "ouvrir le débat" d’une défense européenne qui comprendrait aussi l’arme nucléaire - que la France est la seule à posséder dans l’UE depuis le Brexit.

    • 10 min
    Depardieu : garde à vue - Vos questions sms

    Depardieu : garde à vue - Vos questions sms

    C dans l'air du 29 avril 2024 - Depardieu : garde à vue

    C’est une nouvelle étape dans l’affaire Gérard Depardieu : après de nombreux témoignages de femmes dénonçant ses comportements, l'acteur a été placé en garde à vue ce lundi 29 avril à Paris. Il est entendu après les plaintes de deux femmes qui l'accusent d'agressions sexuelles pendant deux tournages distincts.
    La première plainte émane d’une assistante âgée de 24 ans au moment des faits, en 2014, lors du tournage du "Magicien et les Siamois" de Jean-Pierre Mocky. Elle a déposé plainte en janvier dernier pour "agression sexuelle sur une personne vulnérable par personne abusant de l'autorité de sa fonction". La seconde plainte, qui a été déposée en février dernier pour "agression sexuelle", "harcèlement sexuel" et "outrages sexistes", est celle d’une décoratrice de cinéma âgée de 53 ans qui travaillait sur le film "Volets verts" de Jean Becker en 2021. D'après son récit fait à Mediapart, le comédien l’aurait attrapée un jour dans un couloir, bloqué entre ses jambes et lui aurait "pétri la taille, le ventre, en remontant jusqu'à ses seins". Lors de ce tournage, "du matin au soir, on avait le droit à ses salaceries", avait témoigné l'actrice Anouk Grinberg, dans un entretien à l'AFP. "Ce que les gens ont vu dans "Complément d'enquête", c'est à peu près soft par rapport à ce que moi j'ai vu sur Les Volets verts, et je ne suis pas la seule, on l'a tous vu, on l'a tous entendu (…) Quand des producteurs de film engagent Depardieu sur un film, ils savent qu'ils engagent un agresseur", avait-elle accusé.


    A 75 ans, Gérard Depardieu, icône du cinéma français, est visé par de nombreuses accusations de violences sexuelles. Il a été mis en examen en décembre 2020 pour "viols" et "agressions sexuelles" après une plainte de la comédienne Charlotte Arnould. La plainte de la comédienne Hélène Darras, qui l’accusait de l'avoir agressée sexuellement lors d'un tournage de film en 2007, a été classée fin décembre pour prescription. En décembre 2023, la journaliste et écrivaine espagnole Ruth Baza a aussi déposé plainte en Espagne contre le comédien pour "viol". Des faits remontant à 1995, à Paris.


    Gérard Depardieu conteste les faits. En octobre dernier, l’acteur se défendait dans une lettre ouverte publiée dans les colonnes du Figaro. "Je ne suis ni un violeur, ni un prédateur (…) Au tribunal médiatique, au lynchage qui m’a été réservé, je n’ai que ma parole à opposer" a-t-il écrit. Indignée par les méthodes de défense de l’acteur des "Valseuses", l’actrice Anouk Grinbert avait appelé à soutenir Charlotte Arnould et avait dénoncé le silence "assourdissant" du milieu du cinéma français, engagé dans une deuxième vague MeToo depuis les témoignages de Judith Godrèche, Isild Le Besco, Juliette Binoche ou encore Anna Mouglalis. Cette dernière a également témoigné des agissements lors d’un tournage de Gérard Miller, accusé par plusieurs femmes d’agressions sexuelles et viols sous hypnose.

    Une vague MeToo qui depuis 2017 se poursuit également dans toute la société. Avec Metoo Théâtre, Metoo inceste, MeToo sports,#balancetonyoutubeur, MeToo stand up, Metoo Médias, Metoo politique, MeToo armées, Metoo Garçons, Metoo hôpital, Metoo Santé…
    Mais alors que les violences sexuelles et sexistes sont de plus en plus dénoncées, l'annulation de la condamnation d'Harvey Weinstein par la cour d’appel de New York la semaine dernière, soulève de nombreuses questions sur l'efficacité des systèmes judiciaires à rendre justice aux victimes de violences sexuelles. Et la France n’est pas épargnée. Car si depuis #MeToo, les dépôts de plaintes ont explosé, les condamnations stagnent et les classements sans suite augmentent pour atteindre 94 % en 2022.


    Alors pourquoi Gérard Depardieu a-t-il été placé en garde à vue ? Que sait-on de l’affaire G

    • 4 min
    Depardieu : garde à vue - L'intégrale

    Depardieu : garde à vue - L'intégrale

    C dans l'air du 29 avril 2024 - Depardieu : garde à vue

    C’est une nouvelle étape dans l’affaire Gérard Depardieu : après de nombreux témoignages de femmes dénonçant ses comportements, l'acteur a été placé en garde à vue ce lundi 29 avril à Paris. Il est entendu après les plaintes de deux femmes qui l'accusent d'agressions sexuelles pendant deux tournages distincts.
    La première plainte émane d’une assistante âgée de 24 ans au moment des faits, en 2014, lors du tournage du "Magicien et les Siamois" de Jean-Pierre Mocky. Elle a déposé plainte en janvier dernier pour "agression sexuelle sur une personne vulnérable par personne abusant de l'autorité de sa fonction". La seconde plainte, qui a été déposée en février dernier pour "agression sexuelle", "harcèlement sexuel" et "outrages sexistes", est celle d’une décoratrice de cinéma âgée de 53 ans qui travaillait sur le film "Volets verts" de Jean Becker en 2021. D'après son récit fait à Mediapart, le comédien l’aurait attrapée un jour dans un couloir, bloqué entre ses jambes et lui aurait "pétri la taille, le ventre, en remontant jusqu'à ses seins". Lors de ce tournage, "du matin au soir, on avait le droit à ses salaceries", avait témoigné l'actrice Anouk Grinberg, dans un entretien à l'AFP. "Ce que les gens ont vu dans "Complément d'enquête", c'est à peu près soft par rapport à ce que moi j'ai vu sur Les Volets verts, et je ne suis pas la seule, on l'a tous vu, on l'a tous entendu (…) Quand des producteurs de film engagent Depardieu sur un film, ils savent qu'ils engagent un agresseur", avait-elle accusé.


    A 75 ans, Gérard Depardieu, icône du cinéma français, est visé par de nombreuses accusations de violences sexuelles. Il a été mis en examen en décembre 2020 pour "viols" et "agressions sexuelles" après une plainte de la comédienne Charlotte Arnould. La plainte de la comédienne Hélène Darras, qui l’accusait de l'avoir agressée sexuellement lors d'un tournage de film en 2007, a été classée fin décembre pour prescription. En décembre 2023, la journaliste et écrivaine espagnole Ruth Baza a aussi déposé plainte en Espagne contre le comédien pour "viol". Des faits remontant à 1995, à Paris.


    Gérard Depardieu conteste les faits. En octobre dernier, l’acteur se défendait dans une lettre ouverte publiée dans les colonnes du Figaro. "Je ne suis ni un violeur, ni un prédateur (…) Au tribunal médiatique, au lynchage qui m’a été réservé, je n’ai que ma parole à opposer" a-t-il écrit. Indignée par les méthodes de défense de l’acteur des "Valseuses", l’actrice Anouk Grinbert avait appelé à soutenir Charlotte Arnould et avait dénoncé le silence "assourdissant" du milieu du cinéma français, engagé dans une deuxième vague MeToo depuis les témoignages de Judith Godrèche, Isild Le Besco, Juliette Binoche ou encore Anna Mouglalis. Cette dernière a également témoigné des agissements lors d’un tournage de Gérard Miller, accusé par plusieurs femmes d’agressions sexuelles et viols sous hypnose.

    Une vague MeToo qui depuis 2017 se poursuit également dans toute la société. Avec Metoo Théâtre, Metoo inceste, MeToo sports,#balancetonyoutubeur, MeToo stand up, Metoo Médias, Metoo politique, MeToo armées, Metoo Garçons, Metoo hôpital, Metoo Santé…
    Mais alors que les violences sexuelles et sexistes sont de plus en plus dénoncées, l'annulation de la condamnation d'Harvey Weinstein par la cour d’appel de New York la semaine dernière, soulève de nombreuses questions sur l'efficacité des systèmes judiciaires à rendre justice aux victimes de violences sexuelles. Et la France n’est pas épargnée. Car si depuis #MeToo, les dépôts de plaintes ont explosé, les condamnations stagnent et les classements sans suite augmentent pour atteindre 94 % en 2022.


    Alors pourquoi Gérard Depardieu a-t-il été placé en garde à vue ? Que sait-on de l’affaire G

    • 1h 4 min
    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - Vos questions sms

    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - Vos questions sms

    C dans l'air du 27 avril 2024 - Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ?

    LES EXPERTS :

    - Philippe DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"
    - Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L’Usine Nouvelle
    - Béatrice MATHIEU - Grand reporter – L'Express
    - Thomas PORCHER - Économiste - Membre des "Économistes Atterrés"

    • 4 min
    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - L'intégrale

    Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ? - L'intégrale

    C dans l'air du 27 avril 2024 - Grèves : face aux menaces... le retour du quoi qu'il en coûte ?

    Bercy peut souffler un grand coup. L'agence de notation Moody's a annoncé hier qu'elle ne dégradait pas la note souveraine française, "Aa2". Elle juge la perspective stable, et le risque de défaut très faible malgré la récente dégradation des finances publiques du pays. Pour l'exécutif, c'est le soulagement, d'autant que les élections européennes approchent à grand pas : "Cette décision doit nous inviter à redoubler de détermination pour rétablir nos finances publiques et tenir l’objectif fixé par le président de la république : être sous les 3% de déficit en 2027", a réagi le ministre de l'économie Bruno Le Maire. Pourtant ce résultat est inattendu : avec 5,5 % de déficit public en 2023 contre 4,9 espéré, l'économie française va mal. La France affiche même le troisième plus fort ratio de dette (110,6% du PIB) de l'UE après la Grèce et l'Italie. Et le déficit pourrait bien se creuser. À trois mois de l'ouverture des JO de Paris, médecins, policiers et gendarmes, ou encore conducteurs de la RATP, ont obtenu des primes. Le gouvernement a cédé à la pression des syndicats qui avaient déposé des préavis de grève pour la période des Jeux.


    Alors que Bercy tremble à chaque nouvelle notation, au Portugal, la sérénité est de mise. Le pays collectionne les A depuis quelques années chez Moody's, Fitch et tout récemment Standard & Poor's. Huit ans après l'intervention de la Troïka pour sauver le Portugal de la faillite, et un plan de sauvetage de 78 milliards d'euros, le pays n'a plus le même visage. Le taux de chômage est de 6,5%, la croissance de 2,3% sur l'année 2023 tandis que la dette publique a énormément diminué à 98,7% du PIB. Le pays profite énormément de son attractivité touristique, qui rapporte environ 15% du PIB. En 2023, le Portugal a accueilli 30 millions de touristes pour 25 milliards d'euros de recettes. Un tourisme effréné qui n'est pas sans conséquence sur le quotidien des Portugais. Ces dernières années, le prix des logements a explosé, et les habitants ont de plus en plus de mal à se loger. Le miracle économique portugais a donc sa part d'ombre.


    En France, certaines catégories de la population sont plus touchées que d'autres par la crise économique. C'est le cas des mères célibataires, mises en difficulté par l’inflation et l’absence de politique d’aide spécifique. Selon Libération, elles représentent 20% des dossiers de surendettement traités à la Banque de France en 2023 alors qu'elles ne représentent que 10% des ménages. Et quand elles sont payées au smic, elles sont deux fois plus exposées à la pauvreté monétaire que les autres salariés avec la même rémunération. Début avril, une proposition de loi transpartisane a été déposée à l'Assemblée nationale pour établir de nouveaux droits spécifiques pour les parents isolés et "lutter contre la précarité des familles monoparentales. Certaines de ses mesures devraient être examinées en mai.


    Les Jeux olympiques vont-ils aggraver la situation économiques de la France ? Doit-on redouter des grèves pendant la compétition ? Comment le Portugal a-t-il réussi à assainir ses finances publiques depuis la crise de 2011 ? Et pourquoi les mères célibataires subissent elles davantage la crise que les autres catégories de la population française ?

    LES EXPERTS :

    - Philippe DESSERTINE - Économiste, directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"
    - Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L’Usine Nouvelle
    - Béatrice MATHIEU - Grand reporter – L'Express
    - Thomas PORCHER - Économiste - Membre des "Économistes Atterrés"

    DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes

    PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

    PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christ

    • 1h 8 min

Avis

4,0 sur 5
1,6 k notes

1,6 k notes

Cerise&Ccie ,

J’aime beaucoup

J’aime beaucoup votre émission et je l’écoute tous les jours sauf quand le sujet porte sur des peoples comme Kate middleton qui ne montre pas son visage à cause de son lipofilling des joues ou sa rhinoplastie … laissons cela à Closer svp 😌

bchanson ,

Svp classez les podcasts du plus récent au plus ancient !

Merci de nous donner accès en podcast à cette émission toujours intéressante avec des intervenants experts de qualité, qui ne se coupent pas la parole, en sorte que l’auditeur peut profiter pleinement des échanges. Nathalie Saint Cricq est sans doute intéressante mais comment savoir ? Elle est incompréhensible : elle parle très vite, ne finit pas ses phrases, mange ses mots … Petite remarque technique : le classement serait plus pratique si les épisodes récents apparaissaient en tête de liste plutôt que l’inverse qui m’oblige chaque jour à scroller l’intégralité des épisodes dispo en podcast pour écouter le plus récent …

Claude denis laubriet ,

89 % de Support aux agriculteurs

J’aime beaucoup votre émission et je l’écoute tous les jours. Cela étant l’explication des 89 % de soutien des Français au monde agricole est particulièrement ridicule. D’après votre invité, cela vient de l’image d’Épinal que nous avons des agriculteurs.
Votre invité a-t-il si peu de considération pour les Français qu’il pense que nous savons pas réfléchir ? Il pense que nous ne sommes pas capable de comprendre une balance import-export.? Il pense que nous sommes incapables de comprendre les normes impliquées à nos agriculteurs, et que l’on n applique pas à leurs concurrents étrangers?
Les Français soutiennent les agriculteurs pas pour des images d’Épinal, mais pour l’indépendance économique et alimentaire de la France, et qu’il puisse jouer à armes égales dans le concert mondial. Le gouvernement ne les soutient pas et ça les Français l ont très bien compris. c’est une certaine image de l’Europe qui se joue aujourd’hui… merci de prendre de la hauteur pour garder tout l’intérêt de l’émission.
Claude

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