25 min

François Simon, critique gastronomique : “J'ai un boulot de rêve !‪”‬ Travail soigné

    • Journaux personnels

Pour cet épisode, on espère vous surprendre en vous emmenant à la rencontre d’une personne et d’un métier que vous n‘auriez probablement pas envisagés. Peut-être reconnaîtrez-vous cette voix si particulière, car notre invité ne montre jamais son visage, laissant libre cours à toutes les spéculations le concernant avec d’autant plus de jubilation qu‘elles sont généralement erronées.

François Simon est critique gastronomique émérite. Journaliste en Bretagne dont il est originaire, il rejoint la rédaction du Matin de Paris au début des années 80 avant d’être débauché par le magazine Gault & Millau. Lui qui, de son propre aveu, se nourrissait de pizzas et de yaourts au chocolat, découvre par lui-même l'univers de la gastronomie. C’est à la fin des années 90 que je découvre ses critiques de restaurants dans l’émission culturelle de Thierry Ardisson Rive Droite Rive Gauche sur Paris Première. En caméra cachée, ce dandy parisien imprime un style sévère mais juste, drôle et tranchant, qui lui vaut quelques inimitiés. Mais ne vous y trompez pas, cette mauvaise réputation qu’il ne cherche pas à démentir, reste la meilleure des couvertures : cet anonymat est le gage de son intégrité mais aussi le masque d'un homme discret, sensible, truculent et raffiné.

Pour l’occasion, notre entretien a commencé, en toute discrétion, micro caché, à la table d’un restaurant japonais du 6e arrondissement de Paris et s‘est poursuivi plus librement dans les rues avoisinantes.

Retrouvez François Simon sur Instagram : https://www.instagram.com/francoissimon/

Et sur son blog : https://www.simonsays.fr/

REPÈRES

Présentation de l’invité. (1:00)

Le restaurant de notre déjeuner. Réécrire au sujet d‘un restaurant. (2:25)

À table. Laisser faire le restaurant. (3:10)

À table. Éviter les interférences, rester à sa place. (3:50)

La perception des moindres détails. (4:50)

L’ambiance. (7:00)

La mauvaise influence des guides. (7:45)

L’anonymat de François Simon. (9:00)

L’art de la disparition. (9:45)

Conserver son anonymat. (12:10)

Une anecdote révélatrice. (13:35)

Le restaurant est un théâtre. (15:30)

La critique, seul ou accompagné (16:15)

Les critères de la dégustation. (18:50)

Les clichés, les clashes. (20:20)

Retarder la conclusion, le reflux des impressions. (20:50)

Un boulot de rêve. (22:40)

Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions.

Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr

Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com

Pour cet épisode, on espère vous surprendre en vous emmenant à la rencontre d’une personne et d’un métier que vous n‘auriez probablement pas envisagés. Peut-être reconnaîtrez-vous cette voix si particulière, car notre invité ne montre jamais son visage, laissant libre cours à toutes les spéculations le concernant avec d’autant plus de jubilation qu‘elles sont généralement erronées.

François Simon est critique gastronomique émérite. Journaliste en Bretagne dont il est originaire, il rejoint la rédaction du Matin de Paris au début des années 80 avant d’être débauché par le magazine Gault & Millau. Lui qui, de son propre aveu, se nourrissait de pizzas et de yaourts au chocolat, découvre par lui-même l'univers de la gastronomie. C’est à la fin des années 90 que je découvre ses critiques de restaurants dans l’émission culturelle de Thierry Ardisson Rive Droite Rive Gauche sur Paris Première. En caméra cachée, ce dandy parisien imprime un style sévère mais juste, drôle et tranchant, qui lui vaut quelques inimitiés. Mais ne vous y trompez pas, cette mauvaise réputation qu’il ne cherche pas à démentir, reste la meilleure des couvertures : cet anonymat est le gage de son intégrité mais aussi le masque d'un homme discret, sensible, truculent et raffiné.

Pour l’occasion, notre entretien a commencé, en toute discrétion, micro caché, à la table d’un restaurant japonais du 6e arrondissement de Paris et s‘est poursuivi plus librement dans les rues avoisinantes.

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REPÈRES

Présentation de l’invité. (1:00)

Le restaurant de notre déjeuner. Réécrire au sujet d‘un restaurant. (2:25)

À table. Laisser faire le restaurant. (3:10)

À table. Éviter les interférences, rester à sa place. (3:50)

La perception des moindres détails. (4:50)

L’ambiance. (7:00)

La mauvaise influence des guides. (7:45)

L’anonymat de François Simon. (9:00)

L’art de la disparition. (9:45)

Conserver son anonymat. (12:10)

Une anecdote révélatrice. (13:35)

Le restaurant est un théâtre. (15:30)

La critique, seul ou accompagné (16:15)

Les critères de la dégustation. (18:50)

Les clichés, les clashes. (20:20)

Retarder la conclusion, le reflux des impressions. (20:50)

Un boulot de rêve. (22:40)

Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions.

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25 min