680 épisodes

FranceFineArt revue culturelle sur le Web, reportages photographiques, articles, vidéo, son, interviews, expositions galeries et musées.
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    • Arts
    • 5,0 • 14 notes

FranceFineArt revue culturelle sur le Web, reportages photographiques, articles, vidéo, son, interviews, expositions galeries et musées.
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    🔊 “Présences arabes” Art moderne et décolonisation, Paris 1908 – 1988 au Musée d’Art moderne de Paris du 5 avril au 25 août 2024

    🔊 “Présences arabes” Art moderne et décolonisation, Paris 1908 – 1988 au Musée d’Art moderne de Paris du 5 avril au 25 août 2024

    “Présences arabes”Art moderne et décolonisation, Paris 1908 – 1988au Musée d’Art moderne de Parisdu 5 avril au 25 août 2024

    Interview de Odile Burluraux, conservatrice au Musée d’Art moderne de Paris, et co-commissaire l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 22 avril 2024, durée 21’14,
    © FranceFineArt.
    https://francefineart.com/2024/04/23/3534_presences-arabes_musee-d-art-moderne-de-paris/
    Communiqué de presse
    Commissaires :
    Musée d’Art Moderne : Odile Burluraux
    Zamân Books & Curating : Morad Montazami, Madeleine de Colnet zamanbc.com
    Le Musée d’Art Moderne de Paris propose de redécouvrir la diversité des modernités arabes au XXe siècle et de renouveler le regard historique sur des scènes artistiques encore peu connues en Europe. À travers une sélection de plus de 200 oeuvres, pour la plupart jamais exposées en France, l’exposition Présences arabes – Art moderne et décolonisation – Paris 1908-1988 met en lumière la relation des artistes arabes avec Paris, tout au long du XXe siècle.
    L’exposition explore une autre histoire de l’art moderne, éclairée par de nombreuses archives sonores et audiovisuelles historiques présentes dans le parcours. Structurée de manière chronologique, elle débute en 1908, année de l’arrivée du poète et artiste libanais Gibran Khalil Gibran à Paris et de l’ouverture de l’école des Beaux-arts du Caire. Elle se termine en 1988, avec la première exposition consacrée à des artistes contemporains arabes à l’Institut du Monde Arabe (inauguré quelques mois plus tôt) à Paris et avec l’exposition Singuliers : bruts ou naïfs, avec entre autres l’artiste marocaine Chaïbia Tallal et l’artiste tunisien Jaber Al-Mahjoub, présentée au musée des enfants du Musée d’Art Moderne de Paris.
    Ainsi que l’écrit Silvia Naef, historienne d’art et l’une des autrices du catalogue de l’exposition Présences arabes au MAM : « Comment faire un art moderne et arabe ? un vrai projet esthétique se met en place au cours du XXe siècle : pensé à la fois en rupture avec l’art académique, en écho avec les avant-gardes occidentales, dans le cadre d’une identité nationale propre, sans retour pour autant à un art islamique. »
    L’exposition remet ainsi en lumière plus de 130 artistes dont les oeuvres constituent une contribution essentielle aux avant-gardes arabes et à l’histoire de l’art moderne du XXe siècle. Elle met également en évidence le rôle essentiel joué par Paris. Qualifiée de « capitale du tiers monde » par l’historien Michael Goebel, la ville est considérée dès les années 1920 comme un vivier des réseaux anticoloniaux et le foyer des nouvelles modernités cosmopolites.
    Le parcours de l’exposition est construit autour de différentes trajectoires d’artistes ayant étudié dans les écoles des beaux-arts de leurs pays avant de venir étudier et s’installer à Paris pour continuer leur formation. Tout au long du XXe siècle, Paris est le lieu de l’accès à la modernité, de la critique du colonialisme et le centre de nombreuses rencontres. Le Musée d’Art Moderne y a lui-même joué un rôle important dans la période d’après-guerre grâce à ses expositions (Salon des réalités nouvelles, Salon de la jeune peinture, Biennale des jeunes artistes de Paris…) et aux acquisitions initiées à partir des années 1960.

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    • 21 min
    🔊 “MEXICA” Des dons et des dieux au Templo Mayor au musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris du 3 avril au 8 septembre 2024

    🔊 “MEXICA” Des dons et des dieux au Templo Mayor au musée du quai Branly – Jacques Chirac, Paris du 3 avril au 8 septembre 2024

    “MEXICA”Des dons et des dieux au Templo Mayorau musée du quai Branly – Jacques Chirac, Parisdu 3 avril au 8 septembre 2024

    Entretien avec Steve Bourget, Responsable des collections Amériques, musée du quai Branly – Jacques Chirac, et commissaire associé de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, par téléphone, le 15 avril 2024, durée 35’02,
    © FranceFineArt.
    https://francefineart.com/2024/04/16/3533_mexica_musee-du-quai-branly-jacques-chirac/
    Communiqué de presse
    Commissaire général :
    Leonardo López Luján, Directeur Proyecto Templo Mayor, INAH, Mexico
    Commissaires associés :
    Fabienne de Pierrebourg, Responsable de collections Amériques, musée du quai Branly – Jacques Chirac
    Steve Bourget, Responsable de collections Amériques, musée du quai Branly – Jacques Chirac
    Commissaire associée – section contemporaine :
    Aline Hémond, Professeure d’anthropologie, Département d’anthropologie, Université Paris Nanterre/CNRS, LESC-EREA
    Mexica. Des dons et des dieux au Templo Mayor présente, pour la première fois en Europe, le fruit des recherches conduites au temple principal de la civilisation précolombienne mexica. Une exposition inédite dans l’histoire de l’archéologie mésoaméricaine.
    Le 21 février 1978, les sous-sols de la ville de Mexico livrent l’un des secrets les plus exceptionnels de la Mésoamérique : les vestiges de l’ancienne cité de Tenochtitlan, capitale de la civilisation mexica – longtemps nommée à tort aztèque-, de son enceinte sacrée et de son Templo Mayor. La découverte d’un énorme monolithe circulaire figurant la déesse de la lune Coyolxauhqui inaugure un demi-siècle de fouilles archéologiques d’une ampleur inédite. Le Projet Templo Mayor (INAH) a totalement exhumé le Templo Mayor et 14 édifices environnants sur 1,51 hectares ainsi que 209 offrandes dédiées aux divinités, déposées selon une liturgie très précise. Grâce à ces recherches, les connaissances sur l’empire et la pensée mexica se précisent de jour en jour.
    Organisée en collaboration avec l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire (INAH), avec la contribution du Projet Templo Mayor, l’exposition lève le voile sur ces découvertes. Parmi les plus remarquables figurent quelques-unes des 209 offrandes qui n’avaient jamais été présentées auparavant, dont certaines découvertes très récemment. Il s’agit d’agencements hautement symboliques composés de minéraux, de plantes, d’objets culturels, d’animaux et d’êtres humains que le peuple mexica offrait à ses divinités les plus vénérées, pour leur rendre hommage et tenter d’obtenir des faveurs en retour. Les offrandes, disposées dans des cavités creusées dans les sols ou à l’intérieur de coffres ou boîtes en pierre de taille, étaient déposées sous les places ou sous les édifices religieux, principalement pyramidaux.
    [...]

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    • 30 min
    🔊 “La naissance des grands magasins” Mode, design, jouets, publicité, 1852-1925 au MAD, musée des Arts Décoratifs, Paris du 10 avril au 13 octobre 2024

    🔊 “La naissance des grands magasins” Mode, design, jouets, publicité, 1852-1925 au MAD, musée des Arts Décoratifs, Paris du 10 avril au 13 octobre 2024

    “La naissance des grands magasins”Mode, design, jouets, publicité, 1852-1925au MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 10 avril au 13 octobre 2024

    Entretien avec Amélie Gastaut, conservatrice en chef, collections publicité et design graphique, et commissaire générale de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 8 avril 2024, durée 24’21,
    © FranceFineArt.
    https://francefineart.com/2024/04/11/3532_la-naissance-des-grands-magasins_musee-des-arts-decoratifs/
    Communiqué de presse
    Commissaires :
    Commissaire générale
    Amélie Gastaut, conservatrice en chef, collections publicité et design graphique
    Commissaires associées
    Anne Monier, conservatrice, collection des jouets
    Marie-Pierre Ribère, assistante de conservation, collection mode et textile
    Le musée des Arts décoratifs consacre, du 10 avril au 13 octobre 2024, une exposition à la naissance des grands magasins, qui deviennent au milieu du XIXe siècle les nouveaux temples de la modernité et de la consommation. Au Bon Marché, Les Grands Magasins du Louvre, Au Printemps, La Samaritaine, et Les Galeries Lafayette dévoilent leurs facettes à travers l’histoire, la politique et la société, du Second Empire jusqu’à leur consécration lors de l’exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925.
    Une grande partie des 700 oeuvres allant des affiches aux vêtements, jouets et pièces d’art décoratifs, issues des collections du musée, permettent de comprendre l’évolution du commerce parisien à partir de 1852. Initié par des entrepreneurs audacieux, ce nouveau concept commercial engendre la création d’espaces dédiés à la femme, bouleversant le panorama de la vente et préfigurant l’avènement de la société de consommation. L’émergence de la mode et sa démocratisation, l’invention des soldes, l’enfant en tant que nouvel objet marketing mais aussi le développement de la vente par correspondance, constituent autant de thèmes développés au fil d’un parcours riche en découvertes.

    #Expo_GrandsMagasins


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    • 24 min
    🔊 “Giacometti / Sugimoto” En scène à l’Institut Giacometti, Paris du 5 avril au 23 juin 2024

    🔊 “Giacometti / Sugimoto” En scène à l’Institut Giacometti, Paris du 5 avril au 23 juin 2024

    “Giacometti / Sugimoto” En scèneà l’Institut Giacometti, Parisdu 5 avril au 23 juin 2024

    Interview de Françoise Cohen, directrice artistique de l’Institut Giacometti, et commissaire de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 8 avril 2024, durée 25’29,
    © FranceFineArt.
    https://francefineart.com/2024/04/11/3531_giacometti-sugimoto_institut-giacometti/
    Communiqué de presse
    Commissaire de l’exposition
    Françoise Cohen, directrice artistique de l’Institut Giacometti
    Organisée autour de la reconstitution d’une scène de Nô, l’exposition présentée à l’Institut Giacometti mettra en évidence la proximité des recherches des deux artistes, où dialoguent apparitions et réalité. Cette exposition qui fait référence au théâtre sera animée par une sélection de sculptures d’Alberto Giacometti, de photographies et de films de Hiroshi Sugimoto ainsi que de masques Nô anciens de la collection de l’artiste.
    Photographe japonais de renommée internationale, Hiroshi Sugimoto, né à Tokyo en 1948, présentera pour la première fois en Europe, cinq oeuvres de la série Past Presence (2013 – 2016) ainsi qu’un ensemble de polaroïds réalisés entre 2013 et 2018. Son choix personnel d’oeuvres emblématiques de Giacometti sera présenté de façon originale et surprenante.
    En 2013, le MoMA de New York invitait Sugimoto à photographier les chefs-d’œuvre du Jardin de sculptures du musée. Grande Femme III de Giacometti est la première à arrêter son regard. La série Past Presence, centrée sur un choix d’icônes de l’art moderne, interroge la capacité de l’art à rendre présente une force symbolique dans le monde actuel.
    La donation faite par l’artiste à la Fondation Giacometti en 2019, porte sur huit photographies réalisées à partir d’œuvres de Giacometti au sein de cette série.

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    • 25 min
    🔊 “Paris 1874” Inventer l’impressionnisme au Musée d’Orsay, Paris du 26 mars au 14 juillet 2024

    🔊 “Paris 1874” Inventer l’impressionnisme au Musée d’Orsay, Paris du 26 mars au 14 juillet 2024

    “Paris 1874” Inventer l’impressionnismeau Musée d’Orsay, Parisdu 26 mars au 14 juillet 2024

    Interview de Sylvie Patry, conservatrice générale du patrimoine / directrice artistique, Mennour, Paris, et co-commissaire de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 25 mars 2024, durée 19’54,
    © FranceFineArt.
    https://francefineart.com/2024/03/26/3528_paris-1874_musee-d-orsay/
    Communiqué de presse
    Commissariat :
    À Paris :
    Sylvie Patry, conservatrice générale du patrimoine / directrice artistique, Mennour, Paris
    Anne Robbins, conservatrice Peinture, musée d’Orsay
    Assistées de Caroline Gaillard et Estelle Bégué, musée d’Orsay
    À Washington :
    Mary Morton, curator and Head of the Department of French Paintings, National Gallery of Art, Washington
    D.C. Kimberly A. Jones, curator of 19th-Century French Paintings, National Gallery of Art, Washington D.C.
    Cette exposition est organisée par le musée d’Orsay et la National Gallery of Art, Washington où elle sera présentée du 8 septembre 2024 au 19 janvier 2025.
    Avec le soutien exceptionnel du Musée Marmottan Monet et de l’Académie des beaux-arts, Paris Avec la participation exceptionnelle de la Bibliothèque nationale de France
    Il y a 150 ans, le 15 avril 1874, ouvrait à Paris la première exposition impressionniste. Un groupe d’artistes de tous horizons, parmi lesquels Monet, Renoir, Degas, Morisot, Pissarro, Sisley ou encore Cézanne, décident de s’affranchir des règles et des parcours établis en organisant une exposition indépendante : ainsi naît l’impressionnisme. Le musée d’Orsay célèbre cet anniversaire avec une exposition majeure intitulée Paris 1874. Inventer l’impressionnisme. Forte de quelque 160 oeuvres, celle-ci propose de poser un regard neuf sur cette période-clé.
    Paris, 1874 : c’est à cette date, considérée encore aujourd’hui comme le coup d’envoi des avant-gardes, que « s’invente » l’impressionnisme. Que s’est-il passé exactement en ce printemps 1874 ? Quel sens donner aujourd’hui à une exposition devenue légendaire ? Que sait-on d’une manifestation dont on ne conserve aucune image, et où les artistes aujourd’hui qualifiés d’« impressionnistes » étaient en fait largement minoritaires ? Tel est l’enjeu de Paris 1874 : entrer dans la fabrique d’un mouvement artistique émergeant d’un monde en pleine mutation, et revenir sur une exposition visitée en son temps par seuls quelques milliers de curieux, mais dont le retentissement exceptionnel se prolonge jusqu’à aujourd’hui.
    A partir de recherches neuves, l’exposition fait le point sur les circonstances ayant amené cette trentaine d’artistes, dont sept seulement sont considérés comme « impressionnistes », à se réunir pour montrer leur art en toute indépendance. Le climat de leur époque est celui d’un après-guerre, faisant suite à deux conflits : la guerre franco-allemande de 1870, perdue contre la Prusse, puis une violente guerre civile. Dans ce contexte de crise, les artistes repensent leur art et explorent de nouvelles directions. Avides d’autonomie, contestant un système académique qui le plus souvent les rejette, Monet, Degas, Morisot, Pissarro et leurs amis ou confrères se rassemblent sous forme de société anonyme coopérative pour exposer leur travail, au plein coeur du Paris moderne – au 35 boulevard des Capucines, dans l’ancien atelier du photographe Nadar –, en une présentation qui n’a rien d’homogène. Des scènes de la vie moderne ou de plein-air, à la touche enlevée, rapidement exécutées, y côtoient des tableaux plus conventionnels, de même que des gravures, sculptures et émaux. De cet assemblage d’environ 200 oeuvres, éminemment divers et inclassable, se dégage un désir commun : celui de faire carrière, en parallèle – ou en complément – de la voie officielle, et d’affirmer leur liberté.

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    • 19 min
    🔊 “Brancusi” au Centre Pompidou, Paris du 27 mars au 1er juillet 2024

    🔊 “Brancusi” au Centre Pompidou, Paris du 27 mars au 1er juillet 2024

    “Brancusi”au Centre Pompidou, Parisdu 27 mars au 1er juillet 2024

    Interview de Valérie Loth, attachée de conservation, Cabinet d’art graphique, Musée national d’art moderne, et commissaire associée de l’exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 25 mars 2024, durée 27’36,
    © FranceFineArt.
    https://francefineart.com/2024/03/25/3527_brancusi_centre-pompidou/
    Communiqué de presse
    Commissariat :
    Ariane Coulondre, conservatrice, service des collections modernes, Musée national d’art moderne
    Commissaires associées :
    Julie Jones, conservatrice, Cabinet de la photographie, Musée national d’art moderne
    Valérie Loth, attachée de conservation, Cabinet d’art graphique, Musée national d’art moderne
    Avec plus de 120 sculptures, ainsi que des photographies, dessins et films de l’artiste, la grande rétrospective « Brancusi », organisée au Centre Pompidou, constitue un événement exceptionnel. Elle offre l’opportunité de découvrir toutes les dimensions de la création de cet immense artiste considéré comme l’inventeur de la sculpture moderne. La dernière exposition rétrospective Brancusi en France, et la seule, remonte à 1995 (sous le commissariat de Margit Rowell au Centre Pompidou). À la fois lieu de vie, de création et de contemplation, l’atelier de l’artiste, joyau de la collection du Musée national d’art moderne depuis son legs à la nation en 1957, forme la matrice de ce projet. En effet, le déménagement intégral de l’Atelier Brancusi dans le cadre des travaux de rénovation du Centre Pompidou est l’occasion unique de mettre en regard son contenu avec de nombreux autres chefs-d’oeuvre de l’artiste provenant des plus importantes collections internationales.
    Un ensemble exceptionnel de sculptures, jouant sur le dialogue entre les plâtres de l’Atelier Brancusi et les originaux en pierre ou bronze, prêtés par de nombreuses collections privées et muséales (Tate Modern, MoMA, Guggenheim, Philadelphia Museum of Art, The Art Institute of Chicago, Dallas Museum of Art, Musée national d’art de Roumanie, Musée d’art de Craiova…) sont ainsi réunies.
    Dès l’entrée, le parcours de visite privilégie une approche sensible, soulignant le choc de la découverte de son atelier parisien, situé impasse Ronsin dans le 15e arrondissement, fréquenté par de nombreux artistes et amateurs pendant plusieurs décennies.
    Le coeur de l’exposition évoque les sources de sa création (Auguste Rodin, Paul Gauguin, l’architecture vernaculaire roumaine, l’art africain, l’art cycladique, l’art asiatique…) et éclaire le processus créatif de Brancusi : le choix de la taille directe, l’esthétique du fragment, le processus sériel, le travail de sublimation de la forme… La reconstitution d’une partie de l’atelier souligne la dimension matérielle de sa création (matériaux, outils, gestes). L’exposition replace la vie de Constantin Brancusi dans un contexte artistique et historique plus large grâce à un riche corpus documentaire (lettres, articles de presse, agendas, disques…). Cet ensemble offre une chronique de ses amitiés avec nombre d’artistes d’avant-garde, tels Marcel Duchamp, Fernand Léger ou Amedeo Modigliani.
    Le parcours thématique, organisé autour des séries de référence de l’artiste, met en lumière les grands enjeux de la sculpture moderne : l’ambiguïté de la forme (Princesse X), le portrait (Danaïde, Mlle Pogany), le rapport à l’espace (Maiastra, L’Oiseau dans l’espace), le rôle du socle (Nouveau-né, Le Commencement du monde), les jeux de mouvement et de reflet (Léda), la représentation de l’animal (Le Coq, Le Poisson, Le Phoque) et le rapport au monumental (Le Baiser, La Colonne sans fin).
    #catalogue aux éditions du Centre Pompidou


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    • 27 min

Avis

5,0 sur 5
14 notes

14 notes

missysandy ,

Bravo !!!!

Bravo pour ce bel engagement et investissement 🖤🖤🖤🖤🖤

Mathilde_grn ,

Super contenu !

Cette chaîne podcast est très interessante et bien construite. C’est un plaisir d’écouter les interviews d’artistes, de commissaires d’expositions... Je ne peux plus m’en passer !

grecquedu07 ,

Un plaisir de vous retrouver en podcast

Merci à francefineart de rendre les podcasts enfin accessible! Un plaisir de suivre l’actualité des arts. Merci

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