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Écoutez, c'est la voix des concerné•es ! Le Lobby LGBTI+ est enfin sur écoute, un mardi par mois à 20h sur Radio Campus Paris, et en podcast tous les vendredi.

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Écoutez, c'est la voix des concerné•es ! Le Lobby LGBTI+ est enfin sur écoute, un mardi par mois à 20h sur Radio Campus Paris, et en podcast tous les vendredi.

    L'HEBDO — Visibilité lesbienne : place aux handies !

    L'HEBDO — Visibilité lesbienne : place aux handies !

    En ce 26 avril, Le Lobby célèbre la journée de visibilité lesbienne en donnant la parole à Lydie Raër, militante antivalidiste lesbienne au sein du collectif Les Dévalideuses

    Les lesbiennes ont des vécus différents et des apparences différentes. Seulement, c’est parfois difficile à voir, déjà parce que les lesbiennes sont rarement vues tout court, elles sont effacées de l’histoire et des espaces publics, et leurs vies ne sont pas racontées ou mises en images à la même fréquence -par exemple- que les personnes hétéros De plus, on ne connaît pas forcément l’orientation sexuelle des personnalités publiques / connues ou moins connues. 
    Mais même dans le milieu lesbien et/ou le milieu queer, censés être des “safe spaces” pour les concerné.e.s, (je pense surtout à ceux des grandes villes et à Paris puisque c’est là que notre radio est située), un type de lesbiennes semble parfois être mis plus en avant, et être plus valorisé dans l’imaginaire collectif, que d’autres. 
    Me vient une image (au hasard) de femme cisgenre, blanche, valide, mince, et plutôt bourgeoise. 
    En ce vendredi 26 avril 2024, pour tenter d’endiguer un peu cette image hégémonique, Le Lobby a souhaité s’intéresser aux lesbiennes handicapées, peu présentes médiatiquement, et qu’on se doit de célébrer en cette belle journée. 
    Pour parler de ça, nous recevons Lydie Raër, militante féministe et anti validiste au sein du collectif Les Dévalideuses.

    La transcription de cet épisode sera très bientôt disponible !


    Pour aller plus loin...

    Références citées dans l'émission et pistes pour continuer à réfléchir au validisme dans le milieu queer :
    — Le site des Dévalideuses : https://lesdevalideuses.org/ 
    — Le guide pour accessibiliser un évènement, par le collectif des Dévalideuses : http://lesdevalideuses.org/wp-content/uploads/2022/04/Guide_accessibiliser-un-evenement_zine.pdf 
    — Le billet de blog “Pour une indignation partagée” d’Avril, membre active des Dévalideuses : https://lesdevalideuses.org/pour-une-indignation-partagee/
    — Le livre de Charlotte Puiseux, De Chair et de Fer, aux éditions La Découverte : https://www.editionsladecouverte.fr/de_chair_et_de_fer-9782348067778 
    — Le site de Charlotte Puiseux : https://charlottepuiseux.weebly.com/ 
    — L’article “Introduction à la théorie crip”, de Charlotte Puiseux : https://charlottepuiseux.weebly.com/introcrip.html 
    — La campagne pour un avortement libre et gratuit pour toutes les personnes: https://www.instagram.com/mavoixmonchoixorg/ 
    — À lire sur le site de Manifesto 21 : “Les personnes queers ont un problème avec le capital beauté, et il est temps d’en parler”, par Costanza Spina, cité par Lydie Raër dans l'émission : https://manifesto-21.com/queers-probleme-capital-beaute-temps-den-parler/
    — Le livre de Costanza Spina, Manifeste pour une démocratie déviante : amours queers face au fascisme, éditions Trouble
    — Les recommandations de Lydie Raër : la série It’s a sin sur France TV Slash et le film Pride !
    — À écouter : Notre rencontre avec Céline Extenso en 2021 : https://www.radiocampusparis.org/emission/Pjz-le-lobby/3QvR-la-petite-derniere-de-fatima-daas-handies-et-queers-quelle-place-dans-nos-espaces

    Océan nous emmène "Dans la cage" + Syyler en live !

    Océan nous emmène "Dans la cage" + Syyler en live !

    Nous recevons Océan, auteur et réalisateur, qui publie "Dans la cage", un récit de sa vie affective et sexuelle qui explore les paradoxes de nos fantasmes.

    Dans "Dans la cage", Océan se livre intimement sur les événements traumatiques qu'il a traversé dans sa jeunesse et qui ont imposé depuis leur grammaire à sa vie sexuelle d'aujourd'hui.
    Et il s'intéresse à ce qu'il appelle une double-peine : celle d'être victime de violences sexuelles ET d'être excité.e par des scénarios mettant en scène des violences sexuelles. Pour lui, il est temps de déculpabiliser nos imaginaires érotiques.
    Côté live, nous recevons Syyler, qui s'apprête à révéler le 3 mai un nouveau single. Son album est attendu le 24 mai prochain. Il nous en offre un premier extrait en live et en exclusivité : I'm OK.

    L'HEBDO — Christophe Martet, journaliste et militant face au VIH

    L'HEBDO — Christophe Martet, journaliste et militant face au VIH

    À 65 ans, Christophe Martet prend sa retraite. Celui qui fut président d'Act-Up Paris, rédacteur en chef de Têtu, ou encore fondateur du réseau social Yagg, revient pour nous sur son parcours.

    Nous recevons aujourd’hui un journaliste, entrepreneur et militant. Christophe Martet a été président de l’association de lutte contre le VIH Act Up France, et il est actuellement président de l'association Paris sans sida depuis 2023. Il a également réalisé des documentaires sur la crise du sida, et publié en 1993 un livre de témoignages sur les militants de la lutte contre le VIH, Les Combattants du sida. 
    Depuis 2015, il accompagne des demandeuses et demandeurs d’asile LGBT à l’Ardhis, Association pour la reconnaissance des droits des personnes homosexuelles et trans à l’immigration et au séjour. 
    Il dit que ces engagements ont façonné son activité professionnelle. En parallèle de son militantisme, il a été journaliste, d'abord à France 3 dans les années 1980 puis au sein du magazine d’information et de culture queer Têtu, avant de s’investir dans la création de plusieurs médias LGBT, notamment Komitid, créé en 2018.
    Il vient tout juste de prendre sa retraite à 65 ans, et à cette occasion nous avions envie de revenir sur son parcours dense et d'échanger avec lui sur l'évolution du militantisme et des médias LGBT ces 40 dernières années.

    Le Lobby: Vous avez été président d’Act-Up Paris dans les années 1990, qu’est-ce que vous retenez de cet engagement ?
    Christophe Martet: Dans un premier temps, je n’étais pas investi dans les associations, mais j’ai participé aux premières marches des gays et eds lesbiennes, en particulier celles de 1981 qui a réuni 10 000 gays et lesbiennes dans les rues de Paris. C'était un peu un tournant puisque quelques mois après, la gauche au pouvoir supprime les articles infamants qui avaient été mis en place par le régime de Vichy et qui faisaient une différenciation entre les homos d'un côté et et les hétéros de l'autre. 
    Donc moi, en 1985, je fais le test du VH dès qu'il est disponible, il est positif, mais pendant quelques années, on en parle pas trop, on ne sait pas trop ce qui se passe, on n'a pas beaucoup d'informations. Et c'est vrai que c'est à la fin des années 1980, quand j’ai commencé à voir autour de moi vraiment beaucoup de gens mourir et que moi même, mon état de santé se dégradait, que je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose. 
    Je qui parti à New York pendant un congé sabbatique et j’ai découvert Act Up, New York. Je me suis investi alors dans le groupe “Médias” d’Act-Up New York. Et puis en revenant en France, naturellement, j’ai rejoint Act-Up Paris pour m'investir à fond. Parce que j'ai perdu mes meilleurs amis. Parce que je comprends que cette crise du sida, elle est liée aussi à des discriminations et en particulier au fait que le gouvernement ou les pouvoirs publics en général n'ont pas pris en compte cette épidémie parce qu'elle touche des populations discriminées, parfois invisibilisées. Je pense en particulier aux usagers de drogues. Je pense en particulier aux travailleurs et travailleuses du sexe. On parlait aussi bien sûr à l'époque déjà des migrants…
    Le Lobby: [00:05:37] Et donc, dans une interview de Libération publiée le 20 août 2017, vous dites que parmi vos meilleurs amis, rares sont ceux qui ne sont pas passés à un moment ou à un autre à Act Up et que votre entourage est très relié à cette histoire? Je suppose que c'est toujours le cas aujourd'hui…
    Christophe Martet : Oui, malgré les divergences qui existaient à Act-Up, on a une espèce de lien peu visible entre nous. Et fréquemment, je croise des personnes, des anciens ou anciennes militantes que je n'avais pas vu depuis très longtemps. Et tout de suite le courant passe, même si on ne s'est pas vus depuis longtemps. On disait souvent à Act Up, qu’on avait c

    L'HEBDO — Au Japon, la lente avancée des droits pour les LGBTI+

    L'HEBDO — Au Japon, la lente avancée des droits pour les LGBTI+

    Cap sur le Japon cette semaine, unique pays du G7 où le mariage pour toustes n'est pas encore légal. Mais les lignes sont peut-être en train de bouger timidement.

    Sommes-nous à un point de bascule au Japon pour les droits LGBT ? Le mariage pour les couples de même genre n'y est toujours pas légal, alors même que 60 à 70% des Japonais·es y seraient favorables.
    Deux tribunaux de l’archipel viennent de surcroît de juger que l’interdiction du mariage aux couples homosexuels est contraire à la Constitution japonaise, ce qui pourrait bien pousser le Parlement à se saisir de la question.
    Fin 2023, c’est la Cour suprême japonaise qui avait déjà volé au secours des droits LGBT : la stérilisation forcée à laquelle sont soumises les personnes trans qui veulent changer de genre à l’état civil était jugée inconstitutionnelle.
    Le débat sur les questions LGBTI+ s'est donc judiciarisé ces dernières années, sans que le gouvernement, classé à droite, ne s'empare encore du sujet. La communauté queer a-t-elle des raisons de garder espoir ? Comment vit-on son identité queer au Japon aujourd'hui ?
     On en parle avec Aline Henninger, maîtresse de conférences en langue et civilisation japonaises à l’université d’Orléans, elle travaille sur les questions de socialisation de genre et de sexualité dans le Japon contemporain.

    La transcription de cet épisode est à venir !


    Pour aller plus loin...

    — Le film L'innocence de Kore Eda


    L'équipe de l'émission

    Présentation : Victor Samoth-Panetti
    Réalisation : Colin Gruel

    L'HEBDO — Grossophobie : 10 questions à Daria Marx

    L'HEBDO — Grossophobie : 10 questions à Daria Marx

    À l'occasion de la parution de son dernier livre, 10 questions sur la grossophobie (Libertalia), nous recevons cette semaine la militante Daria Marx.

    L'activiste féministe et anti-grossophobie, fondateur du collectif Gras Politique, auteurice de "Gros n'est pas un gros mot" (Flammarion) et réalisatrice du documentaire "Daria Marx : ma vie en gros" sur France 2 en 2020, est de retour !
    Il publie 10 questions sur la grossophobie, un ouvrage qui s'appuie moins sur son témoignage personnel que sur la littérature scientifique pour dézinguer les arguments grossophobes. Elle est notre invitée cette semaine pour fêter la parution de ce nouveau livre, qui sort aujourd'hui.

    Le Lobby : Le terme “grossophobie” est entré dans le dictionnaire en 2019. À quoi renvoie-t-il ?
    Daria Marx : La grossophobie est l'ensemble des attitudes discriminatoires qui sont faites aux personnes grosses. Donc ça recouvre à la fois les discriminations d'ordre privé : dans l'intime, dans la famille, les discriminations qu'on peut subir au travail, dans l'accès aux soins, et puis aussi l'organisation grossophobe des politiques publiques, comme par exemple celles de la santé. Par exemple : dans la manière dont on conçoit les transports en commun de demain, est-ce qu’on prend en compte les personnes grosses ou est-ce qu’on les pense de manière grossophobe ?
    Dans le livre, tu fais un panorama scientifique de la lutte contre la grossophobie. Tu racontes que ce combat commence dans les années 1960, avec notamment le mouvement des droits civiques.Le livre est historique, il retrace les débuts de ce mouvement. 
    Ça me tenait vraiment à cœur de retracer l'histoire de ce mouvement à la fois aux États-Unis parce que ça part des États-Unis, mais aussi en France, parce que je trouve qu’on ne rend pas assez hommage aux militant.e.s de jadis, de naguère. Si je suis là aujourd'hui, si je peux porter cette lutte, c'est que j'ai eu la chance d'avoir des idées insufflées en moi quand j'avais 18 ans, quand j'étais plus jeune. Et ça me tenait vraiment à cœur de rappeler ça. Et puis, pour ce qui est de l'émergence de la lutte contre la grossophobie en partenariat avec la lutte des droits civiques dans les années 60-70, ça me tenait aussi à cœur parce que il faut rappeler que ce sont des femmes grosses et souvent racisées qui ont commencé à porter cette lutte et on a tendance à l'oublier. On a toute la trend du body positive, qui est devenue très blanche. Je crois qu'il fallait vraiment rendre à ces femmes justice et leur dire merci pour ce qu'elles ont accompli et ce qui nous permet d'être là aujourd'hui. 
    Tu parles de “vagues de mouvements de lutte” contre la grossophobie, un peu comme le féminisme. Et je trouve que c’est hyper intéressant parce qu’on peut vraiment dater ces vagues aujourd'hui, on serait à une troisième ou quatrième vague de lutte contre la grossophobie? 
    Oui, je pense qu'on est un peu dans une quatrième vague, un peu comme pour le féminisme où on s'aperçoit que la grossophobie fait partie de l'éventail intersectionnel des luttes qu'il nous faut prendre en compte si on veut s'affirmer comme luttant contre les discriminations aujourd'hui. Et je pense que les personnes qui luttent contre la grossophobie sont elles-mêmes intersectionnelles, en tout cas devraient l'être. Et j'appelle mes consoeurs et mes confrères qui luttent contre la grossophobie à être dans l'intersectionnalité et à penser la grosseur avec les autres discriminations. Parce que c'est comme ça qu'on aborde la réalité des attitudes discriminantes aujourd'hui. 
    Et d'ailleurs je te cite juste sur un petit passage, tu dis : “Il est impossible de nier qu'un mouvement sérieux est en marche en France, sous l'impulsion de petits collectifs autonomes et de leurs actions de sensibilisation menées dans les écoles, certaines facultés et les associations.” Et je me demandais si on pouvait dire que la

    L'HEBDO — La droite sénatoriale s'attaque aux mineurs transgenres

    L'HEBDO — La droite sénatoriale s'attaque aux mineurs transgenres

    Les sénateurs Les Républicains viennent de publier un rapport sur la "transidentification des mineurs". Un proposition de loi est promise avant l'été, annoncé par les associations comme le texte "le plus transphobe d'Europe".

    Vous êtes là, vous vibez dans votre vie, le printemps pointe enfin le bout de son nez et clairement vous demandez rien à personne. C'était sans compter sur les sénateurs du groupe Les républicains qui ont déposé la semaine dernière un document de travail mené par Jacqueline Eustache-Brinio pour faire un état des lieux des actions à mener suite à, je cite, “une hausse croissante des demandes de changement de sexe chez les enfants et chez les adolescents”.
    Sous prétexte de vouloir protéger les mineurs, ce document aboutit à une liste de préconisations à adopter dans les domaines médicaux et administratifs comme interdire l’accès aux hormones, aux bloqueurs de puberté (comme très récemment en Grande-Bretagne) ou même la fin de la prise en compte des questions d’identités de genre à l’école.
    Le groupe Les Républicains souhaiterait faire aboutir ce document dans une proposition de loi avant l’été.
    Avant d'aboutir à ce rapport de 400 pages où la transphobie qui s'exprime confinerait presque au complotisme, les sénateurs ont mené plusieurs audiences. Une seule association trans a été reçue : OUTrans, le groupe féministe d'autosupport trans. Nous recevons cette semaine Anaïs Perrin-Prevelle, directrice de l'association.

    Racontez-nous la genèse de ce rapport…
    Anaïs Perrin-Prévelle : L'origine de ce document de travail, c'est un groupe qui s'appelle l'Observatoire La Petite Sirène, qui essaye de s'opposer par tous les moyens possibles et imaginables à la prise en charge de l'identité de genre chez les mineurs et qui a un certain écho, et en particulier du côté de certain·e·s sénateurces, en l'espèce la sénatrice qui est à l'origine de ce rapport-là, Jacqueline Eustache-Brinio. 
    En lisant le rapport, on constate à quel point le travail de cette commission était très orienté. Céline Masson et Caroline Eliacheff, qui sont les deux directrices de l'Observatoire, étaient présentes à toutes les auditions.
    Sur la portée du rapport, c'est un peu difficile à dire dans le sens où c'est un rapport interne au groupe Les Républicains, c'est pas un rapport d'une commission du Sénat, même s'il y a le tampon Sénat. En réalité, c'est juste un document interne au groupe LR. Et encore… En fait c'est une personne qui dans son coin a fait son truc, mais qui a utilisé un peu les ors de la République pour donner l'impression que c'est quelque chose d'un peu officiel. L'avantage de pouvoir le faire du côté juste au sein du groupe LR, c'est qu’il n'y avait pas d'obligation de faire quelque chose dans les règles de l'art, il n'y avait pas l'obligation de respecter un certain pluralisme, il n'y avait pas l'obligation d'avoir vraiment des gens qui vont retranscrire ce qui s'est dit pendant les débats. Et donc ça donne la liberté de changer, de travestir la réalité, de choisir les termes qui les intéressent. 
    Ça donne un rapport complètement biaisé. C'est strictement un élément idéologique qui sert de tract à l'Observatoire de la Petite Sirène. 
    Le rapport débouche sur une proposition de loi visant à restreindre l'accès des aux parcours de transition pour les mineurs. Quelle est la situation aujourd'hui et comment sont elles prises en charge ? 
    Alors, il y a beaucoup de fantasmes sur la prise en charge des mineurs. Il y a une réalité qui est la difficulté d'accès de façon générale aux soins pour les personnes trans, qu'elles soient mineures ou majeures, et qui est encore plus criante du côté des mineurs, dans le sens où il n'y a pas de règle ou de cadre sur la prise en charge des personnes trans par les professionnels de santé. 
    Il faut comprendre que, en matière de transidentité, on est

Avis

5,0 sur 5
5 notes

5 notes

Irtimid J. ,

Le talent !

Ielles pourraient parler de n’importe quoi, tu sais que ce serait top. Mais ielles y parlent d’actualité et c’est la cerise sur le gâteau !

Vraiment très cool comme émission !

@n0nÿme ,

La voix des concerné-e-s

Vous faîtes un travail top, qui donne la parole à toute notre communauté, merci !!

Loguld ,

LE LOBBY 🏳️‍🌈

Une très bonne émission menée par une équipe jeune et dynamique de CONSCERNÉ•ES !!
Ça fait du bien ! ✊🏻

Classement des podcasts dans Actualités

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