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Canton en parle - Episode 5 - Invités : Boris VALLAUD et Valérie BEAUSERT-LEICK Canton en parle

    • Politics

Dans ce cinquième épisode, nos invités Boris VALLAUD, Député des Landes et Valérie BEAUSERT-LEICK dialoguent ensemble et évoquent leur engagement pour lutter contre les inégalités et expérimenter toujours sur nos territoires pour trouver des solutions.

Ils s’engagent pour l’expérimentation d’un revenu de base pour répondre aux enjeux des 18-25 ans, grands oubliés des dispositifs en place aujourd’hui (à 20 ans, le taux de pauvreté est trois fois supérieur à celui des personnes de 60 ans, le taux de chômage à 20 ans est deux fois plus élevé que la moyenne nationale, la majorité des jeunes n’ont pas la chance de pouvoir compter sur un capital de départ). Boris VALLAUD nous interroge : « On peut aller en prison à 16 ans, voter à 18. Mais la majorité sociale est aujourd’hui à 25 ans : est-ce juste ? ».

Ils évoquent l’enjeu de la gauche qui est de construire un nouveau modèle social, une protection sociale pour « apprivoiser le hasard » qui conduit nos vies et les rend parfois dures. Il nous faut aujourd’hui déployer les outils pour re-sécuriser les parcours de vie et les outils pour que les jeunes puissent envisager sereinement leur avenir à l’aune d’une crise sociale et économique majeure.

Valérie BEAUSERT-LEICK rappelle l’engagement de la Meurthe-et-Moselle, pionnière dans l’innovation sociale. Pour elle, il faut redonner du sens au terme de solidarité : il ne saurait s’agir d’assistanat, mais d’un pari sur l’avenir et d’une pierre angulaire de notre pacte social et républicain. La crise des Gilets jaunes et la crise sanitaire ont fait émerger un besoin de services publics renforcé, et de solidarités.

Tous deux s’engagent pour accompagner les mutations sociales et écologiques loin de « l’écologie des vulnérables » qui desserre la ceinture de ceux qui ont la chance de pouvoir changer de modèle. L’écologie peut et doit être un levier d’amélioration de nos vies : quand on aide les 12 millions de Français qui se chauffent mal aujourd’hui, on améliore leur santé, on offre de meilleure condition de réussite à leurs enfants…

Tous deux s’engagent pour un département et un pays plus ambitieux et plus solidaires : être de gauche, c’est être aux côtés de celles et ceux qui ont la vie dure.

Dans ce cinquième épisode, nos invités Boris VALLAUD, Député des Landes et Valérie BEAUSERT-LEICK dialoguent ensemble et évoquent leur engagement pour lutter contre les inégalités et expérimenter toujours sur nos territoires pour trouver des solutions.

Ils s’engagent pour l’expérimentation d’un revenu de base pour répondre aux enjeux des 18-25 ans, grands oubliés des dispositifs en place aujourd’hui (à 20 ans, le taux de pauvreté est trois fois supérieur à celui des personnes de 60 ans, le taux de chômage à 20 ans est deux fois plus élevé que la moyenne nationale, la majorité des jeunes n’ont pas la chance de pouvoir compter sur un capital de départ). Boris VALLAUD nous interroge : « On peut aller en prison à 16 ans, voter à 18. Mais la majorité sociale est aujourd’hui à 25 ans : est-ce juste ? ».

Ils évoquent l’enjeu de la gauche qui est de construire un nouveau modèle social, une protection sociale pour « apprivoiser le hasard » qui conduit nos vies et les rend parfois dures. Il nous faut aujourd’hui déployer les outils pour re-sécuriser les parcours de vie et les outils pour que les jeunes puissent envisager sereinement leur avenir à l’aune d’une crise sociale et économique majeure.

Valérie BEAUSERT-LEICK rappelle l’engagement de la Meurthe-et-Moselle, pionnière dans l’innovation sociale. Pour elle, il faut redonner du sens au terme de solidarité : il ne saurait s’agir d’assistanat, mais d’un pari sur l’avenir et d’une pierre angulaire de notre pacte social et républicain. La crise des Gilets jaunes et la crise sanitaire ont fait émerger un besoin de services publics renforcé, et de solidarités.

Tous deux s’engagent pour accompagner les mutations sociales et écologiques loin de « l’écologie des vulnérables » qui desserre la ceinture de ceux qui ont la chance de pouvoir changer de modèle. L’écologie peut et doit être un levier d’amélioration de nos vies : quand on aide les 12 millions de Français qui se chauffent mal aujourd’hui, on améliore leur santé, on offre de meilleure condition de réussite à leurs enfants…

Tous deux s’engagent pour un département et un pays plus ambitieux et plus solidaires : être de gauche, c’est être aux côtés de celles et ceux qui ont la vie dure.

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