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"Oeil de coach", c'est le podcast de la rédaction des sports du groupe Nice Matin. À travers de longs entretiens, nos journalistes Vivien Seiller, Romain Laronche, Christopher Roux et Rudy Koskas vous emmènent au contact des entraîneurs professionnels. L'objectif? Comprendre la complexité de la fonction avec les spécialistes de la région. Gymnastique, hockey sur glace, cyclisme ou encore natation: aucun aspect du métier ne sera oublié!

Oeil de coach Nice Matin

    • スポーツ

"Oeil de coach", c'est le podcast de la rédaction des sports du groupe Nice Matin. À travers de longs entretiens, nos journalistes Vivien Seiller, Romain Laronche, Christopher Roux et Rudy Koskas vous emmènent au contact des entraîneurs professionnels. L'objectif? Comprendre la complexité de la fonction avec les spécialistes de la région. Gymnastique, hockey sur glace, cyclisme ou encore natation: aucun aspect du métier ne sera oublié!

    Julien Espinosa (4/4) - "J'aimerais que ma famille soit préservée de certains aspects du métier"

    Julien Espinosa (4/4) - "J'aimerais que ma famille soit préservée de certains aspects du métier"

    Beaucoup d'entraîneurs professionnels l'admettent : ce métier peut déborder sur la vie privée. Julien Espinosa pense que la séparation travail-famille peut se faire, mais à un certain prix. L'enchaînement des matchs peut également pousser les coachs à manquer des événements. " On passe tous à côté de plein de choses, tempère le natif de Nice. Ce à quoi je renonce, ce n'est pas quelque chose qui me manque. "
    Les carrières ne sont pas linéaires et peuvent entraîner des moments difficiles. " Ce qui peut être douloureux, c'est la façon dont la famille peut être impactée par les émotions négatives de mon métier. Les gens autour ne sont pas forcément formés pour gérer l'émotion d'un match. J'aimerais que ma famille soit préservée de certains aspects. " Notamment les critiques sur les réseaux sociaux, parfois virulentes même si le basket n'est pas le sport le plus médiatisé en France. " Je n'y attribue pas de valeur ni d'intérêt ", assure Julien Espinosa. Il reconnaît pourtant que sa famille doit apprendre à vivre dans un climat particulier, notamment lorsqu'il se fait limoger d'un club et doit changer de région.

    • 13分
    Julien Espinosa (3/4) - "Il faut un président de club fort, un leader"

    Julien Espinosa (3/4) - "Il faut un président de club fort, un leader"

    Il y a l'aspect technique, mais aussi l'aspect humain. Peut-être même en priorité. Si les entraîneurs professionnels doivent mettre en place des systèmes de jeu, ils doivent aussi trouver le juste milieu entre la rigidité et l'affect. Julien Espinosa a appris à le faire avec le temps. Primordial pour tenir son groupe mobilisé toute une saison. " Il faut une bonne raison pour se battre, pour sortir de sa zone de confort, assure le coach de 37 ans. Il faut une raison profonde pour remettre le couvert tous les matins. C'est intéressant à aller chercher chez les joueurs. "
    Un entraîneur doit également rendre des comptes à ses dirigeants, mais le Niçois ne le voit pas comme quelque chose de pesant. " Je ne fais pas de lien entre le fait d'avoir un supérieur hiérarchique et avoir une pression différente. La seule pression que je ressens, c'est celle que je me mets. " Président des Sharks à l'époque, Frédéric Jouve avait pourtant une méthode bien à lui. " Il était chiant pour ça, se marre Espinosa. Dès le lundi matin, il enlevait la moindre zone de confort potentielle. À chaque fois il me disait : " tu sais que le prochain match est fondamental ? " C'était sa manière de remettre tout le monde en selle. Le discours était ficelé ! " Le coach aime toutefois les dirigeants présents et impliqués. " Il faut un président fort, qui soit leader. "

    • 15分
    Julien Espinosa (2/4) - "Les joueurs testent, ils observent"

    Julien Espinosa (2/4) - "Les joueurs testent, ils observent"

    En arrivant sur un banc de touche, un entraîneur doit faire ses preuves. Probablement un peu plus si son nom n'est pas connu des joueurs. C'était le cas de Julien Espinosa, il y a une dizaine d'années. Passé par le centre de formation d'Antibes, le natif de Nice n'a pas été basketteur professionnel. En devenant coach, il a donc dû se faire un nom. Et prouver qu'il n'était pas là par hasard. 

    "Les joueurs testent, ils regardent, ils observent ", reconnaît-il. Aux Sharks d'Antibes, il a notamment dû gérer le "cas" Will Solomon, meneur américain d'expérience (et de caractère) passé par les meilleurs championnats du monde. Un exercice grandeur nature. "A l'époque, le président du club m'avait dit: Là où tu veux aller, des Solomon, tu en auras quatre ou cinq dans l'équipe. Donc tu ferais mieux d'apprendre à le gérer rapidement." 
    Dans cette seconde partie du long entretien accordé à Nice Matin, Julien Espinosa revient sur sa quête de légitimité à ses débuts. Et la méthode adoptée pour évoluer au fil des années. "Chaque contexte nous donne une expérience nouvelle. Je pense que j'ai évolué."

    • 15分
    Julien Espinosa (1/4) - "C'est un métier qui pousse à l'introspection"

    Julien Espinosa (1/4) - "C'est un métier qui pousse à l'introspection"

    Entraîneur des Sharks d'Antibes durant de longues années, Julien Espinosa a été le plus jeune technicien sur un banc de l'élite du basket français. Aujourd'hui âgé de 37 ans, il se livre sur ce métier qu'il continue de découvrir au fil des expériences. Et qui entraîne une remise en question permanente...
    "C'est un métier qui pousse à l'introspection", reconnaît-il, installé dans un bar de Saint-Laurent-du-Var. Avant de parler tactique, il faut d'abord réussir à comprendre son groupe pour le guider du mieux possible. " Il faut avoir une capacité d'écoute et d'observation de ses joueurs. " Et surtout être prêt à s'investir au quotidien, même si la tâche peut parfois s'avérer ingrate. " Il faut que ce soit une passion au départ." 

    • 15分
    Marjan Kolen (4/4) - "Il faut cibler le bon moment pour passer un message"

    Marjan Kolen (4/4) - "Il faut cibler le bon moment pour passer un message"

    Dans cette dernière partie de l'entretien consacré à son métier, le coach de l'OGC Nice handball, Marjan Kolev, se livre sur les différences entre un groupe féminin et masculin et aborde la question des leaders de vestiaires.
    Il a connu les deux. Débuter avec les garçons, avant de basculer avec les filles. Entraîneur de l'OGC Nice handball, Marjan Kolev pointe des similitudes... mais aussi des différences dans la vie de groupe. Pour faire passer son message, il a parfois besoin de joueurs cadres. Mais il doit surtout être capable de donner les bonnes consignes au bon moment. Pas toujours évident, avec des profils bien différents entre joueurs (ou joueuses) en devenir et éléments expérimentés.

    • 15分
    Marjan Kolev (3/4) - "Quand on est un entraîneur étranger, il faut travailler un peu plus"

    Marjan Kolev (3/4) - "Quand on est un entraîneur étranger, il faut travailler un peu plus"

    Entraîneur de l'OGC Nice, Marjan Kolev est originaire de Macédoine. A 44 ans, il accumule de l'expérience sur le banc mais reconnaît qu'il doit en faire plus pour se faire une place. Notamment pour aller au-delà de la barrière de la langue...
    Il est installé sur le banc des filles de l'OGC Nice handball depuis plusieurs saisons et commence à connaître la maison. Son aventure sur un banc de touche, Marjan Kolev l'a commencé dans les divisions inférieures avec des équipes masculines. Même s'il est en France depuis un moment, il doit parfois s'accrocher pour composer avec la barrière de la langue ou la façon de s'exprimer. Même si son français est aujourd'hui totalement compréhensible. Comme de nombreux entraineurs, il apprend aussi à gérer l'ensemble "vie privée-vie professionnelle." Pas toujours évident de faire la part des choses...

    • 17分

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