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(112) Le syndrome de la bonne élève Femme Ambitieuse : réussir carrière et vie personnelle

    • Careers

Êtes-vous du genre à vouloir faire les choses parfaitement ?

Êtes-vous dans l’attente de la reconnaissance de personnes que vous pensez supérieures ?

Stressez-vous quand vous avez fait une présentation ou rendu un projet que vous jugez moyen ?

Êtes-vous au fond du seau quand vous faites une erreur ?

Je suis prête à parier que vous êtes nombreuses à vous reconnaître. Dans ce cas, pas de doute… vous avez le syndrome de la bonne élève.

Pas de panique, il ne s’agit pas d’une maladie !

Il faut même avouer qu’il présente un avantage de taille : on est généralement très attractive pour le marché du travail. Car une bonne élève est quelqu’un de fiable, de régulier, avec une force de travail développée. Elle crée des résultats rapides. Il est d’ailleurs fréquent qu’elle atteigne des postes de management dès le début de sa carrière.

En revanche, les problèmes de la bonne élève se révèlent un peu plus tard, lorsqu’elle atteint des postes plus élevés et qu’elle doit véritablement exercer son leadership. Son syndrome la rattrape alors, et peut entraver le développement de sa carrière, ou tout du moins son épanouissement professionnel et personnel.

Car plus on avance dans le leadership, moins il y a de formules toutes faites ou de “bons points” distribués par sa hiérarchie. Face à cela, la bonne élève panique : elle ne sait pas comment faire. Elle a peur de se tromper. Elle ne reçoit pas les félicitations escomptées. Résultat : cela génère beaucoup d’inconfort et de stress.

La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez changer les choses. Vous pouvez hacker votre cerveau et faire de vous-même une cancre lorsque cela est nécessaire. Car je vous l’affirme : il est nécessaire d’être moins bonne élève pour mieux leader.

Cela vous paraît paradoxal ? Écoutez l’épisode pour comprendre pourquoi cela ne l’est pas.

Je vous explique tout sur :


- les origines du syndrome de la bonne élève
- les 4 raisons pour lesquelles il vous empêche d’exercer pleinement votre leadership
- les outils à mettre en place pour dépasser ce syndrome.

Bonne écoute !

*****

Si vous souhaitez plus d’informations sur notre programme de formation et de coaching Leaders Ambitieuses, cliquez ici.

**

Vous représentez une entreprise et souhaitez développer le leadership de vos talents féminins ? : cliquez ici.

**

Chaque vendredi, je partage mes conseils au sujet du leadership des femmes, de la confiance en soi et de la performance au travail dans l’Hebdo des Leaders. Inscrivez-vous gratuitement en cliquant ici.

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réalisé par Arnaud S. | musique-imaginaire.com

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Êtes-vous au fond du seau quand vous faites une erreur ?

Je suis prête à parier que vous êtes nombreuses à vous reconnaître. Dans ce cas, pas de doute… vous avez le syndrome de la bonne élève.

Pas de panique, il ne s’agit pas d’une maladie !

Il faut même avouer qu’il présente un avantage de taille : on est généralement très attractive pour le marché du travail. Car une bonne élève est quelqu’un de fiable, de régulier, avec une force de travail développée. Elle crée des résultats rapides. Il est d’ailleurs fréquent qu’elle atteigne des postes de management dès le début de sa carrière.

En revanche, les problèmes de la bonne élève se révèlent un peu plus tard, lorsqu’elle atteint des postes plus élevés et qu’elle doit véritablement exercer son leadership. Son syndrome la rattrape alors, et peut entraver le développement de sa carrière, ou tout du moins son épanouissement professionnel et personnel.

Car plus on avance dans le leadership, moins il y a de formules toutes faites ou de “bons points” distribués par sa hiérarchie. Face à cela, la bonne élève panique : elle ne sait pas comment faire. Elle a peur de se tromper. Elle ne reçoit pas les félicitations escomptées. Résultat : cela génère beaucoup d’inconfort et de stress.

La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez changer les choses. Vous pouvez hacker votre cerveau et faire de vous-même une cancre lorsque cela est nécessaire. Car je vous l’affirme : il est nécessaire d’être moins bonne élève pour mieux leader.

Cela vous paraît paradoxal ? Écoutez l’épisode pour comprendre pourquoi cela ne l’est pas.

Je vous explique tout sur :


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- les 4 raisons pour lesquelles il vous empêche d’exercer pleinement votre leadership
- les outils à mettre en place pour dépasser ce syndrome.

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