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    Comment est fabriqué le cérumen des oreilles ?

    Comment est fabriqué le cérumen des oreilles ?

    Le cérumen, parfois considéré comme un simple déchet corporel, n’est pas sans intérêt pour l’organisme. Cette substance contribue à la protection de la santé des oreilles. Il s’agit en fait d’une défense naturelle élaborée par notre corps. Quelles sont les conditions dans lesquelles l’organisme produit du cérumen ?
    Rôle du cérumen
    Il existe deux types de cérumens. Le cérumen sec se retrouve davantage dans les oreilles des personnes d’origine asiatique et amérindienne. Le cérumen humide est plus courant chez les Européens et les Africains. Présente au niveau du conduit auditif externe, la substance se compose de sécrétions lipidiques provenant des glandes dites sébacées et cérumineuses. Elle contient aussi des cellules mortes de peau, des poils et des débris divers.
    Le cérumen empêche les bactéries et les poussières de pénétrer trop profondément dans le conduit auditif. Il maintient aussi une bonne lubrification dans le canal, ce qui permet d’en assurer le nettoyage de façon naturelle.
    Lieu de production du cérumen
    L’oreille externe se compose du pavillon, partie visible de l’oreille, et du canal auditif externe, qui conduit le son vers le tympan. Ce canal est bordé de peau, et contient des glandes spécifiques qui produisent le cérumen.
    Les glandes sébacées sécrètent en premier lieu des substances grasses. L’on retrouve ce type de glandes sur le visage et sur d’autres endroits du corps. Elles participent à la lubrification et à la protection de la peau. Les glandes cérumineuses, quant à elles, œuvrent à l’élimination de la sueur. Mais elles produisent une sécrétion plus épaisse et plus riche que les glandes sudoripares classiques. Cette sécrétion se mélange aux substances grasses des glandes sébacées pour former le cérumen.
    Processus de fabrication
    La production du cérumen se déroule en continu dans l’oreille externe. Les sécrétions libérées par les glandes se mélangent avec des cellules de peau mortes et avec des poils minuscules présents dans le canal. Le renouvellement des cellules de la peau qui tapisse le canal contribue à pousser les cellules mortes vers l’extérieur. Elles se détachent alors du conduit et se mélangent aux sécrétions. Tout cet amas est poussé depuis l’intérieur du canal jusque vers le pavillon externe.
    Les poils du canal auditif participent à la gestion du cérumen. Capturant les cellules mortes, les débris et les sécrétions, ils amalgament l’ensemble pour former la cire d’oreille. Le fait de mâcher, de bailler ou de faire fonctionner sa mâchoire participe à déplacer le cérumen vers le pavillon, ce qui permet ensuite de l’éliminer.


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    • 2 min
    Pourquoi les doigts ne contiennent-ils aucun muscle ?

    Pourquoi les doigts ne contiennent-ils aucun muscle ?

    Savez-vous que les doigts sont dépourvus de muscles ? Leur remarquable agilité et flexibilité découle en fait d’une structure anatomique sophistiquée qui débute au niveau de l’avant-bras et se poursuit dans la main. Voici comment nos doigts peuvent réaliser des mouvements très variés sans posséder la moindre fibre musculaire.
    L’anatomie des mains et des doigts
    Composée de 27 os, de multiples articulations, de tendons et de ligaments, la main humaine est une structure des plus complexe. Elle comprend 5 métacarpiens, des os qui forment le corps de la main, et des phalanges qui en constituent les doigts. Ces os sont reliés entre eux par des articulations qui assurent leur mobilité, et par des ligaments qui fournissent la stabilité.
    Les doigts ne contiennent pas de muscles à proprement parler. Les muscles qui dirigent nos mouvements digitaux se situent sur la paume de la main et dans l’avant-bras. Ils se divisent en deux catégories.
    Les muscles extrinsèques prennent naissance dans l’avant-bras et s’étendent vers les doigts via de longs tendons pour exécuter les mouvements majeurs.
    Les muscles intrinsèques, localisés dans la main, sont responsables des ajustements fins et de la précision des mouvements.
    Tout l’intérêt de cette conception anatomique est de permettre une grande liberté de mouvement aux doigts sans les encombrer de tissu musculaire, ce qui optimise la dextérité et la précision.
    Le rôle des muscles en détail
    Comment nos doigts se meuvent-ils sans muscles ? Pour les mouvements de flexion et d’extension assez simples, ce sont les tendons des muscles extrinsèques qui régissent l’action des doigts. L’origine de ces actions remonte donc à l’avant-bras, là où sont situés ces muscles.
    Pour les mouvements très précis, les doigts font appel aux muscles intrinsèques, nichés dans la main. Ils comprennent notamment les muscles interosseux et les muscles lombricaux. Ces muscles plus petits contribuent à la force de pincement et de préhension, facilitant les opérations d’écriture ou de manipulation d’outils.
    Le mécanisme du mouvement des doigts
    Pour mieux comprendre ce phénomène, imaginez que les doigts sont retenus à l’avant-bras et à la paume par des cordes, qui sont les tendons. Lorsque les muscles se contractent, ils transmettent la force requise aux doigts en tirant sur les tendons, un peu comme l’on pourrait manipuler un pantin. Cette image illustre toute la complexité de la structure de la main : chaque mouvement des doigts résulte d’une coordination fine entre tous les muscles responsables, à la fois intrinsèques et extrinsèques.


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    • 2 min
    Comment le corps réagit-il à une indigestion ?

    Comment le corps réagit-il à une indigestion ?

    La dyspepsie est le terme médical utilisé pour identifier les difficultés digestives connues sous le nom d’indigestion. Ce trouble s’avère souvent bénin, mais il n’en reste pas moins très inconfortable et perturbant pour les personnes affectées. Explorons de façon précise les mécanismes qui interviennent dans le corps lors d’une telle atteinte.
    Des causes variées
    L’indigestion résulte aussi bien de facteurs alimentaires que non alimentaires. Parmi les causes les plus courantes et les plus faciles à identifier, les repas trop riches ou trop gras figurent en bonne place. Ils ralentissent la vidange de l’estomac en confèrent une sensation de lourdeur typique.
    Manger trop vite encourage aussi l’indigestion, car les enzymes salivaires n’ont pas le temps de prédigérer les aliments. Certaines épices, l’alcool, les boissons caféinées et les agrumes peuvent en outre irriter la muqueuse de l’estomac et engendrer des troubles digestifs.
    Parmi les causes non alimentaires de l’indigestion, l’on retrouve la prise de médicaments, en particulier des anti-inflammatoires non stéroïdiens, ainsi que le stress et les maladies liées aux organes digestifs (reflux gastro-œsophagien, ulcères, etc.).
    Physiologie de l’indigestion
    En temps normal, la digestion commence dès la mastication, avec l’action des enzymes de la salive sur les aliments qui contribue à les dégrader en petits morceaux. L’estomac puis l’intestin continuent le travail en décomposant les nutriments à l’aide d’acides et d’enzymes digestives. Le foie et le pancréas interviennent aussi, en produisant de la bile et des enzymes capables de digérer les graisses et les protéines.
    Lors de l’indigestion, la vidange gastrique ralentit. La nourriture reste plus longtemps que prévu dans l’estomac. Cette situation engendre une distension abdominale et un certain malaise. Les aliments mal digérés fermentent dans l’intestin. Ils produisent des gaz qui provoquent à leur tour ballonnements et douleurs. Si la muqueuse de l’estomac est inflammée par des aliments irritants, des médicaments ou du stress, elle devient également douloureuse.
    Si le corps produit plus d’enzymes et d’acide pour digérer une quantité élevée de nourriture, ces substances vont contribuer à irriter les parois stomachales, amplifiant l’indigestion.
    Réponse immunitaire du corps
    Pour rétablir le fonctionnement normal et limiter les dommages, le corps fait intervenir des mécanismes de défense. La réponse inflammatoire locale en fait partie, et se traduit par un flux sanguin augmenté vers l’estomac, qui sert à apporter des cellules immunitaires à l’organe concerné pour contrer les dégâts sur la muqueuse. L’inflammation s’accompagne souvent de douleur : elle sert à influencer le comportement alimentaire et stopper l’ingestion de substances nocives ou d’aliments en excès.
    Généralement, la digestion normale est rétablie lorsque tous les éléments irritants ont été éliminés par le corps.


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    • 2 min
    Pourquoi les femmes ont généralement plus de masse grasse que les hommes ?

    Pourquoi les femmes ont généralement plus de masse grasse que les hommes ?

    Les hommes et les femmes diffèrent fondamentalement sur des points multiples, car leur constitution corporelle n’est pas la même. Parmi les éléments qui les distinguent, le pourcentage de masse grasse est à la fois observable physiquement, mais aussi significatif d’un point de vue biologique.
    Le rôle de la masse grasse
    La graisse que nous accumulons possède plusieurs fonctions corporelles. Réserve d’énergie pour les périodes de disette, elle protège aussi les organes internes des chocs. Elle participe à réguler la température du corps et intervient dans l’équilibre hormonal. En moyenne, les femmes présentent un pourcentage de masse grasse plus élevé que les hommes, à cause de besoins biologiques liés à la reproduction et de facteurs hormonaux distincts.
    Les hormones et leur influence
    Les hormones sexuelles exercent une forte influence sur la répartition de la graisse corporelles. Les œstrogènes, hormones principales chez la femme, favorisent l’accumulation de graisse sur les hanches, les cuisses et les fesses pour préparer le corps à la maternité. L’on appelle cette répartition le type gynoïde, opposé au profil androïde masculin où la graisse tend à s’accumuler autour de l’abdomen.
    À mesure que les œstrogènes diminuent, à l’approche de la ménopause, les femmes constatent une redistribution de leur graisse avec un stockage plus marqué sur le ventre.
    Variations métaboliques
    Les hommes présentent généralement un taux métabolique de base plus élevé que les femmes. Ils consomment donc plus de calories au repos, car leur corps présente davantage de masse musculaire. Les femmes, disposant d’un métabolisme plus lent, accumulent plus facilement la graisse corporelle. Cette adaptation favorise le stockage d’énergie sous forme de graisse en prévision de la grossesse et de la lactation.
    Rôle évolutif et reproductif
    Biologiquement, un certain niveau de masse grasse est nécessaire pour réguler les cycles menstruels et la fertilité. La graisse corporelle favorise la production d’œstrogènes. Les personnes qui souffrent de dénutrition ou d’anorexie présentent souvent une absence de cycles, ne permettant pas la conception d’un enfant. La masse grasse sert de réserve d’énergie pendant le développement du fœtus et durant la période d’allaitement. En l’absence de ressources suffisantes, le corps interrompt donc toute tentative de fécondation, ce qui limite les risques pour la mère et le bébé.
    Facteurs influant
    La génétique joue un rôle dans la prédisposition féminine à accumuler des graisses. Souvent, les femmes d’une même famille présentent un métabolisme proche en l’absence de maladie ou d’influence extérieur considérable. D’autre part, l’alimentation, le stress et le niveau d’activité physique régulent le pourcentage de masse grasse. Comme les femmes tendent à se montrer plus stressées et moins actives physiquement que les hommes, elles accumulent souvent davantage de graisses.

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    • 2 min
    Combien de fois par jour doit-on normalement aller aux toilettes ?

    Combien de fois par jour doit-on normalement aller aux toilettes ?

    Notre rythme biologique n’est pas le seul à conditionner la fréquence à laquelle nous allons aux toilettes. Des éléments externes ou internes peuvent également influencer nos besoins d’uriner et de déféquer. Pour identifier les situations pathologiques, il est utile de connaitre les normes habituelles en la matière.
    Fréquence normale pour uriner
    La fréquence de miction, qui est l’action d’uriner, varie considérablement d’une personne à l’autre. Elle est comprise entre 4 et 8 fois par jour. Mais un apport hydrique élevé augmente naturellement le nombre de visites aux toilettes. Certains aliments diurétiques peuvent aussi influencer la fréquence de miction : c’est le cas du concombre, de l’aubergine, du céleri ou de l’artichaut.
    Avec l’âge, des changements surviennent au niveau de la capacité de contenance et de rétention de la vessie. La santé de la prostate joue aussi un rôle majeur dans la fréquence des mictions. Certaines variations reviennent dans des conditions particulières. Les gens tendent ainsi à uriner plus fréquemment par temps froid, ou lorsqu’ils ont une activité physique qui amplifie la dynamique des fluides corporels.
    Fréquence normale pour déféquer
    La norme en termes de selles se situe entre 3 fois par jour et 3 fois par semaine. Cette large fourchette reflète la diversité des activités intestinales saines. Un régime alimentaire riche en fibres, par exemple, augmente la fréquence des selles et facilite leur passage. L’hydratation joue aussi un rôle clé dans la consistance des selles. Si la personne ne s’hydrate pas assez, elle peut connaitre des épisodes de constipation et déféquer moins souvent.
    Les jeunes enfants et les bébés ont souvent des selles plus fréquentes. À l’inverse, les personnes âgées expérimentent une diminution de la fréquence des selles, due au ralentissement du métabolisme et à la baisse de l’activité physique. Certaines conditions médicales comme le syndrome du côlon irritable causent de la constipation ou de la diarrhée, modifiant les habitudes intestinales.
    Ce qui affecte les fréquences normales
    La prise de médicaments impacte souvent la qualité du transit. Les laxatifs et diurétiques, par exemple, augmentent la fréquence des visites aux toilettes. Les complémentations en fer tendent plutôt à constiper. Le stress est un facteur connu d’affection de la digestion. Il bloque ou accélère le transit, menant à des bouleversements des habitudes d’élimination.
    En cas de maladie, il est également courant que la personne aille moins souvent ou plus souvent aux toilettes. Cet impact se trouve encore plus marqué lors d’infections urinaires ou de troubles gastro-intestinaux.
    Pour finir, l’équilibre hormonal peut aussi influencer les systèmes urinaires et digestifs. Pendant la grossesse ou la ménopause, il n’est pas rare que les femmes expérimentent des désordres dans leurs habitudes de miction et de défécation.


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    • 2 min
    Pourquoi certains légumes sont meilleurs pour la santé en conserve que frais ?

    Pourquoi certains légumes sont meilleurs pour la santé en conserve que frais ?

    Les recommandations de Santé Publique France en termes de nutrition préconisent 5 portions de fruits et légumes par jour. Mais avec l’inflation, les végétaux frais ont vu leur prix augmenter considérablement. Ils ne sont d’ailleurs pas toujours faciles à intégrer dans les repas quotidiens, car une bonne partie d’entre eux nécessitent d’être épluchés, coupés et souvent cuits. Les conserves jouent donc un rôle crucial dans l’accès égalitaire à des légumes de qualité, bons pour la santé, pour le portefeuille et pour les papilles.
    L’impact de la conservation sur le profil nutritionnel des légumes
    La mise en conserve des légumes implique généralement la stérilisation des aliments. Cette procédure élimine les micro-organismes et s’accompagne d’ajout de conservateurs comme le sel ou le vinaigre. Les légumes restent ainsi comestibles pendant des mois, voire des années, sans perdre significativement en valeur nutritionnelle.
    Malgré ce que l’on pourrait croire, les légumes en conserve maintiennent des niveaux élevés de vitamines et de minéraux. La mise en conserve peut même améliorer la disponibilité de certains nutriments. Par exemple, le chauffage augmente la quantité du lycopène dans les tomates, un antioxydant précieux pour lutter contre le vieillissement cellulaire.
    La dégradation rapide des légumes frais
    Même si des légumes ultra-frais regorgent de vitamines, ils perdent rapidement de leurs atouts nutritionnels entre la récolte et la consommation. Le transport de longue durée, la manipulation et le stockage contribuent à la perte de nutriments. Au contraire, les légumes en conserve sont traités et emballés rapidement après la récolte, ce qui minimise cette dégradation. Ce moindre délai permet aux producteurs de sélectionner des légumes goûteux et matures, contrairement aux légumes frais qui sont généralement cueillis avant d’atteindre leur plein potentiel.
    Des avantages spécifiques pour les conserves
    Les études montrent que la mise en conserve préserve et, parfois, augmente la teneur des légumes en nutriments essentiels. La cuisson préalable des légumes facilite aussi leur digestion. L’organisme absorbe mieux les fibres et les protéines qu’ils contiennent. C’est d’autant plus le cas pour les pois, les haricots et les carottes. D’ailleurs, la cuisson des carottes avant la mise en conserve améliore la disponibilité de la bêta-carotène ou vitamine A. Celle-ci aide le système immunitaire à rester performant, et est également impliquée dans le fonctionnement de la vision.
    Considérations pratiques
    La commodité des conserves favorise leur utilisation par rapport aux légumes frais. Disponibles toute l’année, les légumes en conserve aident à diversifier l’alimentation. Ils se conservent longtemps, réduisant le gaspillage alimentaire. Prêts à l’emploi, ils limitent aussi le temps de préparation en cuisine.


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    • 2 min

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