(RV) Entretien - Le 30 juillet, les Nations Unies promeuvent la première journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains. A cette occasion, Radio Vatican s'intéresse au Bénin, où des jeunes de 10 à 17 ans peuvent être vendus comme esclave par le parents, pour 30 euros. « La pauvreté et la désagrégation du noyau familial sont deux des principales causes » du phénomène, comme l’affirme la campagne « Je ne suis pas en vente » des Missions salésiennes du Bénin pour protéger les enfants, qui ajoute que le problème s’explique aussi par « le manque d’éducation des jeunes et de leur famille, les conflits et l’instabilité politique, les dettes accumulées par la famille et l’impunité dont jouissent les trafiquants ». La problématique est aussi liée à sa régionalisation, selon le père Juan José Gomez, responsable de la maison d’accueil Don Bosco de Porto Novo, interrogé par Antonino Galofaro 00:02:54:38
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- Published30 July 2014 at 08:19 UTC
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