Choses à Savoir ÉCONOMIE

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  1. HÁ 15 H

    Quelle pourrait être l’augmentation des frais de notaire ?

    Alors que la discussion sur le budget 2025 se poursuit au Parlement, le Premier ministre tente d'apaiser la colère des présidents de départements. En effet, ils s'insurgent contre les efforts demandés par le gouvernement, qui voudrait leur voir faire cinq milliards d'euros d'économies, alors que leurs recettes se rétractent.   C'est dans ce contexte tendu que Michel Barnier a proposé d'inscrire dans le projet de loi de finances (PLF) une augmentation de 0,5 % des frais de notaire, qui devrait s'appliquer durant trois ans. De façon officielle, on les appelle des "droits de mutation à titre onéreux" (DMTO).   De fait, l'appellation "frais de notaire" est incorrecte et ne rend pas compte de la réalité. En effet, ces sommes, perçues lors de la vente d'un bien immobilier, ne vont pas dans la caisse du notaire, mais, pour l'essentiel, dans celle des départements et communes concernés. Rappelons que ces frais s'élèvent à 2 % du prix d'achat pour l'acquisition d'un logement neuf, et à 8 % dans l'ancien.     Une menace pour le marché immobilier ?     S'il était adopté, ce relèvement des DMTO pourrait rapporter un milliard d'euros aux départements. Une manne qui pourrait compenser en partie la suppression de la taxe d'habitation.   Par contre, cette augmentation ne ferait pas l'affaire des acheteurs, et notamment des primo-accédants. En effet, pour un jeune ménage, qui a peu d'épargne, cette somme supplémentaire, pour modeste qu'elle puisse paraître, peut le dissuader d'acheter le bien.   Rappelons que ces "frais de notaire" ne sont pas inclus dans le prêt immobilier et qu'ils sont donc entièrement à la charge de l'acheteur. Pour un logement estimé à 300 000 euros, ce relèvement de 0,5 % représente une charge supplémentaire de 1 500 euros, trop lourde pour certains acheteurs.   D'une manière générale, l'annonce d'une telle mesure pourrait compromettre la reprise du marché immobilier. Ce nouveau dynamisme du secteur s'explique notamment par la baisse des taux immobiliers qui, depuis novembre 2023, sont passés, en moyenne, de 4,5 % à 3,5 %.   Les professionnels craignent donc que le relèvement des DMTO, s'il était acté, n'enraye le redémarrage du secteur.   Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  2. HÁ 1 DIA

    Qui touchera la prime de Noel cette année ?

    Les Français dépensent, en moyenne, près de 500 euros à l'occasion de Noël. Pour ne pas laisser à l'écart de cette fête les personnes les plus modestes, la CAF, la Mutualité sociale agricole (MSA), ou France Travail, qui a succédé à Pôle Emploi, leur versent, depuis 1998, une prime spéciale.   Les bénéficiaires de cette prime ne changent pas en 2024. En effet, elle est toujours attribuée aux personnes percevant certains minima sociaux. Elle l'est alors de manière automatique, sans qu'il soit nécessaire de calculer les revenus de ces personnes.   Ont ainsi droit à la prime de Noël les titulaires du Revenu de solidarité active (RSA), versé par les Caisses d'allocations familiales. Pour rappel, il s'élève à 565 euros pour une personne seule.   Les bénéficiaires de l'Allocation de solidarité spécifique (ASS) toucheront aussi la prime. Réservée aux chômeurs en fin de droits, cette prestation est versée par France Travail.   Enfin, les bénéficiaires de l'Allocation équivalent retraite (AER) sont également concernés. Cette aide, proposée aux demandeurs d'emploi n'ayant pas atteint l'âge légal de la retraite, ne concerne que les personnes dont les droits ont été ouverts avant le 1er janvier 2011.     Un montant variable     La prime de Noël est ainsi versée à 2,3 millions de personnes. Son montant dépend de la composition du foyer. Ainsi, une personne seule touchera une aide de 152,45 euros. Une famille comptant trois personnes recevra 274,41 euros. Il peut s'agir aussi bien d'un couple avec un enfant que d'un parent isolé avec deux enfants.   Pour une famille de cinq personnes, composée d'un couple et de trois enfants, la prime sera de 381,12 euros. Mais un parent isolé avec quatre enfants aura droit à un chèque de 396,37 euros.   Quant au parent isolé ayant cinq enfants à charge, il percevra 457,35 euros. Au-delà de ce nombre, la CAF versera 60,98 euros pour chaque personne supplémentaire.   Cette année, la prime de Noël devrait apparaître sur le compte bancaire des bénéficiaires dès le 13 décembre. Ils n'ont pas de démarches à effectuer, car son versement est automatique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  3. HÁ 2 DIAS

    Pourquoi Paris et Berlin sont-ils opposés sur le Mercosur ?

    En cet automne 2024, les agriculteurs français descendent à nouveau dans la rue. Parmi les motifs de mécontentement, figure leur opposition à l'accord de libre-échange qui pourrait être conclu entre l'UE et le Mercosur, un ensemble commercial regroupant plusieurs pays d'Amérique latine.   Concernant près de 800 millions de personnes et portant sur plus de 40 milliards d'euros d'échanges, c'est le plus important à ce jour. Mais le traité, formellement approuvé en 2019, n'a pas été signé de manière officielle.   Ce retard est lié aux réticences de certains pays, comme la France et l'Italie. En effet, les agriculteurs français craignent la concurrence de produits d'Amérique du Sud exemptés de droits de douane.   Si l'accord était conclu, près de 160 000 tonnes de viande bovine en provenance du Brésil ou d'Argentine pourraient inonder le marché européen. Le monde agricole est d'autant plus mécontent que ces produits ne respectent pas toujours les normes européennes, notamment en matière de sécurité alimentaire.     Les Allemands favorables à l'accord     Les autorités françaises soutiennent les agriculteurs et s'opposent, pour l'instant, à la conclusion de l'accord entre l'UE et le Mercosur. Mais tous les membres de l'UE ne partagent pas ce point de vue.   En effet, l'Allemagne approuve cet accord et presse la Commission européenne de le conclure au plus tôt. Le chancelier Scholz voit dans ce traité une excellente opportunité pour l'industrie allemande.   De fait, la croissance de nombreux secteurs industriels allemands est surtout liée aux exportations. La suppression, ou du moins la forte baisse, des droits de douane, permettraient aux Allemands de vendre plus facilement leurs voitures en Amérique latine.   Certaines branches de l'industrie, comme l'automobile, pourraient ainsi se redresser. Le marasme actuel de Volkswagen est l'illustration des déboires que connaît ce secteur. D'autres produits phares, comme les machines-outils, pourraient aussi prendre le chemin de l'Amérique latine.   La conclusion de l'accord ouvrirait aux produits allemands un marché d'environ 270 millions de consommateurs. Une perspective qui ne séduit pas seulement les Allemands. En effet, d'autres pays, comme l'Espagne ou les Pays-Bas, se montrent également favorables au traité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  4. HÁ 6 DIAS

    Dans quel business Blablacar va-t-il se lancer ?

    Blablacar va se lancer sur un nouveau marché. En effet, la plateforme de covoiturage a l'intention de vendre des billets de train. Ce n'est pas une nouveauté pour l'entreprise, qui a déjà développé cette activité en Espagne.   Les passagers pourraient ainsi acheter leurs billets sur la plateforme dès l'année prochaine, ou en 2026 au plus tard. Blablacar attend de connaître les résultats de la vente en Espagne avant de se lancer en France.   Optimiste, le groupe espère écouler quelques millions de billets d'ici trois à cinq ans.   Cependant, le pari est ambitieux. En effet, il ne semble pas facile de se faire une place dans un secteur dominé par SNCF Connect, la filiale de la compagnie ferroviaire nationale. De fait, celle-ci vend près de 210 millions de billets par an, ce qui lui permet de contrôler environ 85 % du marché.   La grande majorité des voyageurs l'utilisent sans même penser qu'elle puisse avoir des concurrents. Et pourtant ils existent. En effet, les passagers désirant voyager sur les lignes de compagnies étrangères, comme Renfe ou Trenitalia, qui ont investi le réseau national, ne trouveront pas de billets sur SNCF Connect.   D'autres entreprises, comme Kombo ou Trainline, se sont lancées dans cette activité. Tout comme la plateforme de covoiturage Uber. Il reste donc bien peu d'espace pour Blablacar.   L'entreprise sera d'autant plus difficile que ce secteur d'activité semble assez peu rentable. En effet, les acteurs concernés déplorent la modestie de la commission versée par la SNCF à chaque vente de billet.   Cette commission, à 2,9 % actuellement, pourrait baisser dans les années à venir. Et elle n'est que de 1 % pour la vente d'un billet Ouigo, le train low cost de la SNCF. Pour les entreprises du secteurs, ces taux sont trop bas pour permettre de dégager des bénéfices. Dans ces conditions, les billets seraient même vendus à perte.   Avec des marges aussi faibles, Blablacar ne pourra pas proposer de réductions à ses clients. Ils pourront cependant comparer les offres sur un site unique, ce qui leur fera gagner du temps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  5. 19 DE NOV.

    Pourquoi la France aurait diffusé 37,5 millions de fausses pièces ?

    Après la Seconde Guerre mondiale, la France aurait diffusé environ 37,5 millions de fausses pièces, un épisode fascinant de l’histoire monétaire qui trouve ses racines dans les stratégies de résistance économique et les besoins impérieux de la reconstruction.   1. Contexte historique Durant l’Occupation allemande, l’économie française a été sévèrement mise à mal. L’Allemagne nazie avait imposé des prélèvements économiques massifs, ce qui avait appauvri le pays. Une fois la guerre terminée, la France devait faire face à d’énormes défis de reconstruction, ainsi qu'à la nécessité de stabiliser sa monnaie et de relancer l’activité économique.   C’est dans ce contexte que se situe l’histoire des fausses pièces de monnaie. Pendant la guerre, les services secrets britanniques et français avaient déjà développé des techniques de falsification pour miner l’économie allemande, notamment en fabriquant de faux billets de la Reichsbank. Après la guerre, la France a dû faire preuve d’ingéniosité pour relancer rapidement son économie, et il semblerait que cette expérience ait été utilisée dans un but différent.   2. Pourquoi diffuser des fausses pièces ? L’idée de diffuser des fausses pièces après la guerre repose sur un besoin urgent de numéraire. Le pays était confronté à une pénurie de pièces métalliques, car les métaux étaient rares et coûteux en période de reconstruction. Produire des pièces authentiques demandait des ressources que la France ne pouvait pas toujours mobiliser. C’est pourquoi l’État aurait opté pour la fabrication de pièces qui n’étaient pas techniquement « légitimes » ou dont la composition ne respectait pas les normes traditionnelles.   Ces pièces étaient principalement des monnaies de faible valeur, destinées à faciliter les échanges quotidiens. Leur diffusion permettait de fluidifier les transactions et de stimuler la consommation. Bien que techniquement "fausses", ces pièces avaient tout de même cours légal, car elles étaient reconnues par l'État.   3. Les implications économiques L’émission de ces pièces n’était pas simplement une question de fraude ou d’arnaque. C’était une mesure pragmatique, dictée par la nécessité. Toutefois, cette pratique a suscité des débats sur l'intégrité monétaire et la confiance envers la monnaie nationale. Avec le temps, la France a pu remplacer ces pièces par de véritables monnaies métalliques conformes aux standards.   Ce chapitre illustre la complexité de la période de l’après-guerre, où les États, y compris la France, ont parfois pris des mesures économiques peu conventionnelles pour répondre aux besoins urgents de la population et restaurer leur souveraineté monétaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  6. 19 DE NOV.

    Quelle est la différence entre un arrêt maladie et un arrêt de travail ?

    En France, la distinction entre un arrêt maladie et un arrêt de travail est subtile mais importante. Les deux termes désignent une période pendant laquelle un salarié cesse son activité professionnelle pour des raisons de santé, mais les situations qu’ils recouvrent et les conditions associées peuvent varier.   1. Arrêt maladie Un arrêt maladie est prescrit par un médecin lorsqu’un salarié ne peut pas exercer son travail en raison d’un problème de santé, qu’il soit physique ou mental. Cela peut inclure des maladies courantes, des blessures, ou des affections chroniques. L’arrêt maladie doit être justifié par un certificat médical, qui est ensuite transmis à la caisse d’Assurance Maladie et à l’employeur.   Pendant la période d'arrêt maladie, le salarié perçoit des indemnités journalières de la Sécurité sociale, qui compensent partiellement la perte de salaire. Sous certaines conditions, l’employeur peut compléter ces indemnités, selon la convention collective ou le droit du travail en vigueur. Le salarié doit aussi respecter certaines obligations, comme se conformer aux heures de sortie autorisées par le médecin.   2. Arrêt de travail L’arrêt de travail est un terme plus générique qui englobe toutes les situations dans lesquelles un salarié cesse son activité pour des raisons de santé. Cela inclut l'arrêt maladie, mais aussi d’autres motifs, comme l’accident du travail, la maladie professionnelle, ou le congé maternité/paternité.   Un accident de travail se produit lorsqu’une blessure ou un problème de santé survient sur le lieu de travail ou pendant l’exercice des fonctions professionnelles. Une maladie professionnelle est une pathologie directement liée à l’activité professionnelle. Dans ces cas, les modalités de prise en charge sont différentes : les indemnités journalières peuvent être plus élevées, et l’employeur ou l’Assurance Maladie peut couvrir certains frais supplémentaires.   3. Les principales différences L’arrêt maladie concerne donc les problèmes de santé non liés au travail, tandis que l’arrêt de travail inclut des situations spécifiques où la cause est directement liée à l'activité professionnelle. Cela a des implications sur la prise en charge financière, le taux des indemnités, et la procédure à suivre.   Pour conclure, si tous les arrêts maladie sont des arrêts de travail, l’inverse n’est pas toujours vrai. Il est important de bien comprendre cette distinction pour connaître ses droits et obligations en tant que salarié, notamment en matière de protection sociale et de démarches administratives. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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  7. 18 DE NOV.

    Quel est le prix d’un dinosaure ?

    Un événement historique s'est déroulé ce samedi en région parisienne avec la vente aux enchères d'un impressionnant squelette d'apatosaure, établissant un record en France pour ce type de pièce paléontologique. Ce spécimen exceptionnel, baptisé Vulcain, a été adjugé pour la somme considérable de 4,7 millions d'euros, atteignant 6 millions d'euros frais inclus.   Les dimensions de ce géant préhistorique sont spectaculaires : avec ses 22 mètres de long, il représente le plus grand squelette de dinosaure jamais proposé aux enchères sur le territoire français. Ce qui rend ce fossile particulièrement précieux, c'est son remarquable état de conservation, comprenant entre 75 et 80 % des os d'origine. L'ensemble compte environ 300 pièces osseuses et date approximativement de 150 millions d'années.   L'histoire de Vulcain commence en 2018 dans le Wyoming, aux États-Unis, où sa découverte a été possible grâce à une législation particulière permettant aux particuliers d'acquérir des concessions pour effectuer des fouilles paléontologiques. Les travaux d'excavation se sont déroulés sur trois ans, de 2019 à 2021, financés par un investisseur français. Le squelette a ensuite été transporté en France pour être minutieusement restauré.   De son vivant, cet herbivore géant pesait environ vingt tonnes et aurait vécu jusqu'à 45 ans. Avant sa mise aux enchères, les experts avaient estimé sa valeur entre trois et cinq millions d'euros. Le spécimen a été exposé pendant l'été dans le cadre prestigieux de l'orangerie du château de Dampierre-en-Yvelines, où s'est ensuite déroulée la vente.   L'acquéreur, qui souhaite rester anonyme, s'est révélé être un collectionneur privé. Fait notable, il a manifesté son intention de mettre le squelette à disposition d'un musée, une décision saluée par Olivier Collin du Bocage, commissaire-priseur de la vente. Le contrat inclut une clause importante garantissant l'accès des paléontologues au spécimen pour poursuivre leurs recherches scientifiques.   Cette vente exceptionnelle, organisée par les maisons Collin du Bocage et Barbarossa, représente l'une des enchères les plus élevées jamais réalisées en France pour un squelette de dinosaure, marquant ainsi un moment important dans l'histoire des ventes paléontologiques françaises. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2min
  8. 14 DE NOV.

    Pourquoi Starbucks recherche 200.000 feutres ?

    Rien ne va plus pour Starbucks. En effet, le chiffre d'affaires mondial du géant du café a accusé un repli de 3 % en juillet 2024, alors qu'il était en hausse de 10 % durant la même période de l'année précédente. La baisse est du même ordre pour le 3ème trimestre de cette année. Quant au bénéfice net, il se voit diminué de plus de 25 % en 2024.   Et le recul, lié en partie à des conditions économiques difficiles, est palpable partout, qu'il s'agisse des États-Unis ou de la Chine, un marché traditionnellement porteur.   La direction a donc décidé de redresser la barre. Elle pense que, pour y parvenir, il faut restaurer l'image de l'entreprise. Autrement dit lui rendre son identité d'origine.     Un retour à l'identité d'origine     Et cette identité passerait par la création d'un lien plus étroit entre le client et le "barista", la personne chargée de préparer le café. Pour instaurer une plus grande familiarité dans les rapports entre les clients et le personnel, celui-ci inscrit le prénom du consommateur sur la tasse.   Peu à peu, cependant, l'habitude s'est prise de coller sur la carte de petites étiquettes, sur lesquelles étaient inscrits les prénoms les plus courants.   Désormais, Starbucks veut en revenir à l'écriture manuscrite du prénom sur la tasse, comme cela se faisait au départ. Mais, pour cela, il faut des feutres pratiques, fabriqués par la marque Sharpie, spécialisée dans les instruments d'écriture.   L'entreprise aurait besoin d'environ 200 000 marqueurs, destinés à approvisionner ses 17 000 points de vente américains. Le problème, c'est que Sharpie ne semble pas en mesure de fournir autant de feutres à Starbucks.   L'enseigne du café devra donc patienter. En attendant, elle a adopté d'autres mesures pour renouer avec son image d'antan. C'est ainsi que les gobelets en carton seront remplacés en partie par des tasses en céramique.   De même, le design des magasins va être modifié et la présentation des menus allégée. Quant au bar libre-service, il fera aussi son retour. Il reste à savoir si ce plan sera suffisant pour enrayer le déclin du groupe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    2min

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