Gros Câlin

Kinoko
Gros Câlin

Le podcast qui se demande pourquoi on éduque nos enfants comme nous le faisons !Qaund on prend le temps d'explorer les manières dont on éduque nos enfants, on peut être surpris par les motivations de nos choix éducatifs ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

  1. 47 • Dit-on je t'aime trop souvent ou pas assez ?

    3 DAYS AGO

    47 • Dit-on je t'aime trop souvent ou pas assez ?

    Est-ce qu'on dit assez souvent "je t'aime" à nos proches ? Est-ce que ça veut toujours dire quelque chose d'aussi fort à force de le répéter ? Dans cet épisode, on plonge vraiment au cœur du sujet. On commence avec des petites anecdotes, comme celle de notre fille qui dit des "je t'aime" très facilement à tout le monde. Ça peut être à ses copains de classe, à la caissière du supermarché, ou même à des inconnus. Et là, on se demande : est-ce que c'est pas un peu trop ? Mais en même temps, c'est tellement pur et sincère qu'on en vient à se questionner sur notre propre rapport à ces mots. ❤️ Envie de venir papoter de sujets autour de la parentalité ?  On explore aussi ce que ça veut dire pour nous, adultes, de dire "je t'aime." Est-ce que ça nous vient naturellement ou est-ce qu'on a tendance à se retenir ? Est-ce qu'on pense que nos actions parlent d'elles-mêmes et que les mots sont superflus, ou est-ce qu'on a peur de paraître vulnérables en les disant ? Franchement, moi-même je me rends compte que parfois, je ne le dis pas assez. On parle aussi des barrières qu'on se met, parfois inconsciemment, à cause de notre éducation ou de nos expériences passées. Il y a un moment dans l'épisode où on réfléchit à comment nos parents nous ont (ou pas) dit "je t'aime" et comment ça a influencé notre façon de communiquer aujourd'hui. Pour certains d'entre nous, dire "je t'aime" n'était pas vraiment dans le vocabulaire quotidien à la maison. Mais est-ce que ça veut dire qu'il y avait moins d'amour ? Pas forcément. Alors on essaie de comprendre comment on peut casser ce cycle, ou au contraire, l'entretenir si on est dans une dynamique où les mots circulent librement. Et puis, il y a aussi cette réflexion sur le fait de trop dire "je t'aime." Est-ce que ça dilue la signification de ces mots ? Si on le dit tout le temps, est-ce que ça devient juste une phrase automatique, sans véritable émotion derrière ? On se pose vraiment la question et on essaie d'y répondre ensemble, sans jugement. Ce que j'adore dans cet épisode, c'est qu'il est à la fois léger et profond. On rit, on se remémore des souvenirs, mais on se prend aussi des petites claques de réalité. C'est un peu comme une thérapie de groupe, mais sans la pression d'avoir à trouver toutes les réponses. On discute de nos expériences, de nos maladresses, de nos succès, et on réalise qu'on est tous dans le même bateau, à essayer de naviguer entre ce qu'on ressent et ce qu'on exprime. Et au final, ce que vous allez découvrir en écoutant cet épisode, c'est que dire "je t'aime", c'est plus qu'une simple phrase. C'est un acte de courage, d'humilité, et parfois, c'est juste un moyen de se rappeler qu'on est humains et qu'on a besoin les uns des autres. Alors si vous avez déjà ressenti ce petit pincement au cœur en vous demandant si vous devriez dire "je t'aime" plus souvent, ou si vous êtes simplement curieux de savoir comment d'autres vivent cette question, cet épisode est pour vous. Prenez une boisson, installez-vous confortablement, et laissez-vous porter par cette conversation pleine d'amour, de rires, et de sincérité. Vous verrez, c'est un vrai moment de douceur, mais aussi de réflexion. Alors, bonne écoute et surtout, n'oubliez pas de dire "je t'aime" à ceux qui comptent pour vous, même si ça fait bizarre au début. Parce que finalement, on ne le dit jamais trop. Retrouve-nous sur 👇 ❤️ Instagram @KinokoRemi ❤️ Instagram @KinokoJulie Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    41 min
  2. 46 • Bilans, montagnes russes émotionnelles et thérapies — Journal Audio #3

    10 DEC

    46 • Bilans, montagnes russes émotionnelles et thérapies — Journal Audio #3

    Enregistrement du 31 janvier 2024. Pour retrouver l'épisode précédent du journal audio, écoutez l'épisode 42 de Gros Câlin. Ça fait plus d’un mois que je n’ai pas pris le temps de m’enregistrer. Entre les fêtes, les rendez-vous médicaux, les réflexions personnelles et les montagnes russes émotionnelles, le temps a filé. Alors, qu’est-ce qui s’est passé depuis ? Les suites médicales : un parcours pas si simpleNous avons eu le dernier rendez-vous de contrôle avec le gynécologue début janvier. Le problème du résidu de tissu dans l’utérus semblait enfin se résorber, même si les médicaments n’ont pas fonctionné comme espéré. À force d’attente et de consultations, on a fini par entendre des mots rassurants : la situation semblait maîtrisée, et les soupçons d’adénomyose ou d’endométriose ont été clarifiés. Le gynécologue a pris le temps d’expliquer que la douleur n’était pas toujours proportionnelle à la quantité d’endométriose visible sur les examens, ce qui a aidé Julie à se sentir mieux prise en compte. Par ailleurs, il nous a aussi rassurés sur l’incompatibilité de Rhésus, une source d’angoisse. Apparemment, les cas graves restent extrêmement rares, ce qui a permis de respirer un peu sur ce front. Julie a ressenti le besoin de reprendre des séances de thérapie, et je l’ai encouragée. Elle avait déjà expérimenté l’EMDR il y a quelques années avec succès, et cela semblait une bonne option pour traiter les traumatismes récents. De mon côté, sa psychologue a gentiment soulevé une question pertinente : « Et vous, avez-vous pensé à voir quelqu’un ? » Honnêtement, je ne ressentais pas le besoin immédiat. Mais en creusant, certaines choses ont refait surface. Cette incapacité à pleurer dans des moments de deuil, cette tension intrafamiliale pendant les fêtes de fin d’année qui revient en boucle dans ma tête, et ce besoin constant d’un regard extérieur pour valider ou éclairer certaines choses... Tout cela m’a poussé à envisager sérieusement une nouvelle thérapie. Cependant, en réfléchissant à ma précédente expérience, j’ai réalisé que, même si elle avait été globalement positive, certaines approches ou comportements de ma thérapeute m’avaient laissé perplexe. Alors, plutôt que de retourner la voir, je me suis décidé à consulter quelqu’un de nouveau. Rendez-vous pris pour la mi-février. Un autre sujet délicat qui revient souvent ces derniers temps, c’est notre fille. Avec toute son innocence, elle évoque fréquemment son envie d’avoir un petit frère ou une petite sœur. Ce n’est pas une demande insistante, mais plutôt une projection naïve et régulière sur le futur. Cela nous rappelle constamment notre propre impatience et nos difficultés, ce qui peut parfois être lourd à porter. Nous avons aussi essayé de mieux comprendre le cycle de Julie en utilisant des tests d’ovulation. Jusqu’à présent, cela n’a pas vraiment clarifié la situation. Les résultats sont ambigus, ce qui rajoute un peu plus de confusion et de frustration. Enfin, il faut le dire, cet hiver est une épreuve en soi. Entre les rinites, sinusites, bronchites et autres joyeusetés, nous enchaînons les maladies depuis décembre. Quatre mois de microbes constants, ça finit par peser sur le moral et les forces. Nous avançons, un jour après l’autre. Les montagnes russes émotionnelles ne s’arrêtent pas, mais au moins, nous essayons de mieux les comprendre et de les gérer. Le rendez-vous avec la nouvelle thérapeute approche, et j’espère que ce sera un pas en avant pour sortir des cycles de pensée qui tournent en boucle. Ce journal audio me permet de poser les choses, de prendre du recul et d’organiser un peu le chaos dans ma tête. Je reviendrai enregistrer après cette première séance pour voir ce que cela m’apporte. À suivre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    47 min
  3. 45 • Comment on a parlé de la mort à notre fille

    26 NOV

    45 • Comment on a parlé de la mort à notre fille

    Parler de la mort à ses enfants, franchement, c’est un sujet qui met toujours un peu mal à l’aise. On a peur de dire un truc qui va les chambouler, on a peur de ne pas en dire assez, ou trop… et au final, on se retrouve à balbutier ou à remettre ça à plus tard. Mais le truc, c’est que la mort, ça fait partie de la vie, et tôt ou tard, ils vont poser des questions ou y être confrontés. Et là, on fait quoi ? 💌 Envie de rejoindre l'espace de discussions autour de la parentalité ? 👉 Ça se passe par ici ! Honnêtement, je ne pense pas qu’il existe une solution parfaite ou une façon universelle d’aborder le sujet. Chaque enfant est différent, et nous, les parents, on fait comme on peut avec nos propres émotions et nos propres croyances. Mais je crois que la base, c’est d’être sincère, dans la mesure où l’enfant est capable de comprendre. Et pour ça, il faut d’abord écouter. Qu’est-ce qu’ils savent déjà ? Qu’est-ce qu’ils veulent vraiment savoir ? Parfois, leurs questions sont bien plus simples que ce qu’on imagine. Quand un enfant demande : « C’est quoi la mort ? », ce n’est pas forcément l’occasion de lui faire un exposé métaphysique. Peut-être qu’ils veulent juste savoir pourquoi le poisson rouge ne bouge plus. Là, il faut être clair, même si c’est dur : « La mort, c’est quand le corps arrête de fonctionner. Le poisson ne respirera plus, il ne mangera plus. » Et c’est tout. Pas besoin de leur donner tout le poids de nos angoisses existentielles. Mais parfois, leurs questions vont plus loin : « Où il est, après ? », « Ça arrive à tout le monde ? », « Est-ce que toi aussi, tu vas mourir ? » Et là, on entre dans le dur. Perso, je pense qu’il faut adapter ses réponses à son propre ressenti et à ce que l’enfant peut comprendre à son âge. Certains préfèrent parler de leurs croyances religieuses ou spirituelles, d’autres restent très terre-à-terre. Ce qui compte, c’est de ne pas minimiser leurs émotions ni éviter leurs questions. Même si on ne sait pas quoi répondre, on peut dire : « Je ne sais pas exactement, mais on peut en parler ensemble. » Le plus compliqué, c’est quand la mort touche quelqu’un de proche. Là, on est soi-même en plein dedans, avec notre propre peine, et il faut en plus trouver les mots pour un enfant. C’est dur, parce qu’on veut les protéger, mais en même temps, il ne faut pas faire comme si de rien n’était. Les enfants sentent tout, ils savent quand quelque chose ne va pas. Alors, leur dire la vérité, avec douceur, c’est important. Par exemple : « Mamie est morte, et c’est normal d’être triste, moi aussi je le suis. Si tu veux pleurer ou poser des questions, je suis là. » Et puis, il y a cette fameuse peur de leur donner « trop d’informations ». Pourtant, je pense que les enfants sont souvent plus résilients qu’on ne le croit. Ce n’est pas parce qu’ils pleurent ou qu’ils ont peur qu’on a fait une erreur en leur parlant. Au contraire, c’est l’occasion de leur montrer qu’ils ont le droit de ressentir des émotions et de les exprimer. Parler de la mort, c’est aussi une façon de leur apprendre à vivre avec, à comprendre que c’est une partie de la vie. Alors non, il n’y a pas de mode d’emploi, et on ne saura jamais si on a fait « comme il faut ». Mais si on reste à l’écoute, sincère et bienveillant, je crois qu’on peut les accompagner au mieux dans ce sujet si complexe. Retrouve-nous sur 👇 ❤️ Instagram @KinokoRemi ❤️ Instagram @KinokoJulie Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    49 min
  4. 44 • On a arrêté l'Instruction En Famille

    12 NOV

    44 • On a arrêté l'Instruction En Famille

    Arrêter l’instruction en famille a été une décision difficile mais simple à la fois : dès le début, on s'était promis de respecter la volonté de notre fille si elle exprimait le désir d’aller à l’école. Avec ma méfiance envers le système scolaire, c’était un pari sur la confiance, et je pensais naïvement qu'elle mettrait plus de temps à s’intéresser à l’école. Mais voilà, pour sa rentrée en grande section de maternelle, elle m’a clairement dit qu’elle voulait y aller, curieuse de découvrir ce monde que je lui avais en quelque sorte décrit de manière indirecte, sans filtre, en mentionnant les copains, les maîtresses, les activités de groupe, et tout ce qui la fascinait dans cette idée de "l'école". Pour en savoir sur les raisons qui nous ont poussé à faire le choix de l'école à la maison, écoutez l'épisode 31. Lui faire cette place, c’était à la fois un soulagement et une mélancolie. En tant que parent en IEF, on a cette proximité au quotidien, ce privilège de voir chaque étape, chaque réflexion, chaque moment d’apprentissage en direct. Soudain, la voir partir le matin, la voir grandir dans un environnement que je ne contrôle pas complètement, ça fait bizarre, mais je suis content pour elle. J’adore l’entendre raconter ses journées, les copains qu’elle se fait, les jeux qu’elle découvre et les choses qu’elle apprend. Et elle est si heureuse d’y aller, c’est vraiment ça le plus important pour moi. 💌 Envie de rejoindre l'espace de discussions autour de la parentalité ? 👉 Ça se passe par ici ! La mélancolie est là, bien sûr. On passe moins de temps ensemble, nos journées ne sont plus rythmées par nos propres choix d’apprentissage, par notre petite bulle d’IEF. Mais c’est comme ça que ça devait se passer, finalement. Je lui ai donné les bases, la confiance, l’envie de découvrir le monde, et maintenant elle le fait à sa manière, dans un cadre qui lui plaît. Ce mélange d’émotions est toujours là, entre le manque de ces moments partagés et la fierté de la voir s’épanouir dans un autre cadre. Mais je sais que c’était la bonne décision. Elle explore, elle grandit, et c’est exactement ce que je voulais pour elle, même si ça signifie parfois de la regarder partir et de la retrouver plus grande, plus indépendante à chaque retour. Retrouve-nous sur 👇 ❤️ Envie de venir papoter de sujets autour de la parentalité ?  ❤️ Instagram @KinokoRemi ❤️ Instagram @KinokoJulie ❤️ Kinoko.fr  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    48 min
  5. 43 • Pourquoi on ne montre pas notre fille sur les réseaux sociaux

    7 FEB

    43 • Pourquoi on ne montre pas notre fille sur les réseaux sociaux

    On plonge dans le débat sur l'exposition des enfants sur les réseaux sociaux. C'est un sujet brûlant, et on y va franchement, en partageant nos réflexions sur cette question de la parentalité contemporaine.💌 Envie de participer aux kinokourriers, un courrier du coeur sur la parentalité ? 👉 Ça se passe par ici  !On commence par reconnaître à quel point nos enfants sont partout en ligne, et on se demande vraiment jusqu'où ça peut aller. On parle des dangers, des risques pour leur vie privée et de la perte de contrôle sur ce qu'on partage. Puis, on se met à réfléchir sérieusement sur le rôle des parents dans tout ça. Est-ce qu'on a vraiment réfléchi à pourquoi on poste les photos de nos gamins en ligne ? Est-ce qu'on prend assez de temps pour fixer des limites claires ? On se rend compte qu'il y a toute une question de responsabilité. On parle de se tenir au courant des lois et des recommandations, de chercher des conseils pour savoir comment naviguer dans ce nouveau monde numérique en tant que parents. Et en fin de compte, on se dit que c'est pas une question facile. Ça demande vraiment de la réflexion, de l'attention, et peut-être même un peu d'aide extérieure. Mais on est tous d'accord sur une chose : on veut le meilleur pour nos enfants, même si ça veut dire parfois devoir repenser nos habitudes en ligne. Retrouve-nous sur 👇 ❤️ Envie de venir papoter de sujets autour de la parentalité ?  ❤️ Instagram @KinokoRemi❤️ Instagram @KinokoJulie❤️ Kinoko.fr  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    48 min
  6. 42 • Perte de grossesse — Journal Audio #2

    31 JAN

    42 • Perte de grossesse — Journal Audio #2

    Perdre une grossesse est une expérience déchirante et bouleversante qui défie toute capacité à trouver des mots pour exprimer adéquatement la douleur qui l'accompagne. Chaque mot prononcé semble insuffisant pour décrire l'abîme de chagrin, de perte et d'incompréhension dans lequel on se trouve plongé. Dans les semaines qui ont suivi cette perte, j'ai été confronté à un mélange complexe d'émotions. La tristesse est omniprésente, pesant sur chaque moment de la journée, chaque interaction, chaque pensée. C'est comme porter un fardeau invisible et oppressant qui semble impossible à secouer. La douleur est si profonde, si palpable, qu'elle devient une partie intégrante de votre être, vous accompagnant à chaque instant. Pourtant, au-delà de la tristesse, il y a aussi de la colère. Une colère sourde, dirigée vers l'injustice de la situation, vers le fait que quelque chose d'aussi beau puisse être arraché si brutalement. On se demande pourquoi cela devait arriver, pourquoi nous devons endurer une telle souffrance. On se sent impuissant, enragé contre le destin, contre les circonstances, contre tout ce qui a mené à cette perte. Et puis il y a l'incompréhension. Un sentiment d'incrédulité face à la réalité de ce qui s'est passé. On se demande comment cela a pu arriver, si cela aurait pu être évité, si nous aurions pu faire quelque chose différemment. On se pose des questions sans réponses, cherchant désespérément à comprendre ce qui s'est passé, pourquoi cela nous est arrivé. Dans ces moments sombres, on se sent souvent seul, isolé dans notre chagrin, coupé du reste du monde. Même si nous sommes entourés de proches aimants, la douleur est si personnelle, si intime, qu'il semble impossible de la partager vraiment avec quiconque. On se sent incompris, malgré les meilleures intentions des autres, car personne ne peut réellement comprendre la profondeur de notre douleur. Pourtant, au milieu de toute cette douleur et cette souffrance, il y a aussi de l'espoir. Un mince rayon de lumière qui perce les ténèbres, nous rappelant que même dans les moments les plus sombres, il y a encore de la beauté et de la bonté dans le monde. On trouve du réconfort dans les bras de nos proches, dans les souvenirs des moments heureux que nous avons partagés avec notre enfant à naître, dans la promesse d'un avenir meilleur malgré tout. Perdre une grossesse est une épreuve difficile, mais c'est aussi une leçon de résilience, de courage et d'amour. C'est une invitation à embrasser pleinement la gamme complexe d'émotions humaines, à accepter la douleur aussi bien que la joie, la tristesse aussi bien que l'espoir. C'est un rappel poignant de la fragilité de la vie et de la force de l'esprit humain pour surmonter l'adversité. Et c'est, en fin de compte, une affirmation de la beauté et de la valeur de chaque vie, même si elle est interrompue trop tôt. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    50 min
  7. 41 • Le désir d'un deuxième enfant — Journal Audio #1

    24 JAN

    41 • Le désir d'un deuxième enfant — Journal Audio #1

    Voici le premier épisode de Mémoire, la série où je vous partage les enregistrements de mon journal de bord audio. Je navigue sur un drôle de navire : ma parentalité et ma vie de famille. Dans Mémoire je vous partage mes introspections et les questionnements de mon quotidien.Pour ce premier épisode de Mémoire, je me suis beaucoup interrogé autour du désir du deuxième enfant, les deux suspicions de fausse couches que l'on a traversé l'été dernier et les deux mois de grossesse qu'on a eu la chance de vivre à la fin de l'année. 💌 Envie de participer aux kinokourriers, un courrier du coeur sur la parentalité ? 👉 Ça se passe par ici  ! Le désir d'avoir un deuxième enfant est une expérience profondément personnelle, teintée d'une multitude d'émotions allant de l'excitation à l'appréhension. C'est un voyage souvent complexe, façonné par des expériences passées, des espoirs renouvelés et une série de défis émotionnels. Ce désir reflète souvent la volonté d'élargir une famille, de créer de nouveaux liens et de multiplier l'amour déjà présent. Au cœur de ce désir réside souvent une forme d'anticipation, un espoir joyeux de voir une nouvelle vie s'épanouir au sein de la famille. Cependant, cette anticipation est souvent accompagnée d'une prudence subtile, surtout lorsque des expériences passées ont laissé des cicatrices émotionnelles. Le spectre de la perte peut jeter une ombre sur le chemin, créant une tension entre le désir d'avancer et la crainte des souffrances. La première étape de ce voyage implique souvent une introspection profonde, tant individuelle que partagée avec le partenaire. Les couples naviguent à travers leurs émotions, discutent de leurs aspirations et confrontent parfois les peurs résiduelles. Cette phase est caractérisée par une communication ouverte et honnête, où les partenaires explorent ensemble leur désir commun d'élargir leur famille. Lorsque la décision est prise, le début d'une nouvelle grossesse devient un chapitre essentiel de ce récit. Les mois qui suivent sont empreints d'une gamme d'émotions, allant de la joie palpable à la préoccupation constante. Les partenaires, souvent armés des enseignements tirés de la première expérience parentale, font face à la fois aux aspects physiques et émotionnels de cette nouvelle aventure. Les échos du passé peuvent se faire sentir tout au long de la grossesse. Les angoisses antérieures peuvent hanter les moments de bonheur, créant un équilibre délicat entre la célébration et la préoccupation. Les rôles parentaux peuvent également évoluer, chacun cherchant à soutenir l'autre à travers les hauts et les bas émotionnels. La période de l'échographie devient un point d'inflexion majeur dans ce voyage. Les battements de cœur de l'enfant à naître résonnent comme une mélodie d'espoir, dissipant temporairement les nuages d'incertitude. Cependant, même ce moment de joie est souvent teinté de prudence, car le poids des risques et des souvenirs persiste. Le désir d'un deuxième enfant implique également la gestion des attentes familiales et des réactions de l'entourage. L'annonce de la grossesse, bien que souvent empreinte d'enthousiasme, peut également susciter des interrogations, des conseils non sollicités et parfois même des comparaisons avec la première expérience. Naviguer à travers ces interactions sociales devient une partie intégrante du processus. Le désir d'avoir un deuxième enfant n'est pas simplement une décision isolée, mais une saga émotionnelle en constante évolution. C'est une exploration de la résilience humaine, de la volonté de surmonter les peurs passées et de trouver la force d'accueillir l'inconnu avec espoir. Chaque chapitre de ce voyage est marqué par la complexité des émotions, l'équilibre entre la peur et la joie, et la quête continue de l'amour et de la croissance familiale.Retrouve-nous sur 👇 ❤️ Envie de venir papoter de sujets autour de la parentalité ?  ❤️ Instagram @KinokoRemi❤️ Instagram @KinokoJulie❤️ Kinoko.fr  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    1h 5m
  8. 40 • Grossesse arrêtée et prise en charge désastreuse

    18 JAN

    40 • Grossesse arrêtée et prise en charge désastreuse

    Suite à l'expérience de notre fausse couche après deux mois de grossesse, on a ressenti un grand besoin de briser le tabou entourant les grossesses arrêtées et leur prise en charge.On vous a demandé sur Insta si vous aviez des questions à nous poser sur la perte de notre grossesse, voici les questions auxquelles nous avons répondu dans l'épisode : Parlons du sentiment de culpabilité quand on est jalouse des femmes qui avortent et qui accouchent Comment demander comment ça va sans être intrusif ? Comment aider un proche qui vit cette situation ? Le corps qui médical qui dit c'est pas grave, comment s'en remettre ? Est-ce-que votre enfant a su ce qu'il se passait et si oui comment l'a-t-il vécu ? 💌 Envie de participer aux kinokourriers, un courrier du coeur sur la parentalité ? 👉 Ça se passe par ici  ! Démystifier le silence qui entoure les grossesses arrêtées est essentiel. En partageant des expériences authentiques, on contribue à normaliser un sujet souvent relégué dans l'ombre. Cette ouverture favorise un environnement propice à l'échange et au soutien émotionnel, permettant à ceux qui vivent cette réalité de se sentir moins isolés. Sur le plan médical, cette démarche contribue à sensibiliser le public et les professionnels de la santé. En exposant la réalité des fausses couches, on promeut une meilleure compréhension, des diagnostics plus rapides et des soins empreints d'empathie. Ça peut potentiellement améliorer la gestion de la douleur physique et émotionnelle liée à ces expériences difficiles. En éduquant sur la gestion de la douleur, on offre aux couples confrontés à une perte de grossesse des informations cruciales sur les ressources disponibles, les options de prise en charge et les stratégies pour surmonter cette épreuve. Ça s'inscrit dans une perspective plus large de prévention de l'isolation que peuvent ressentir les couples touchés par la stigmatisation. En outre, cette ouverture sur les grossesses arrêtées vise à éveiller la compassion et l'empathie. Les récits authentiques partagés avec le public permettent de sensibiliser à la complexité des émotions liées à la perte d'une grossesse. Ça façonne une société plus compréhensive et bienveillante envers ceux qui vivent cette réalité difficile. En somme, briser le tabou des grossesses arrêtées et de leur prise en charge va au-delà d'une démarche individuelle. C'est un acte qui contribue à changer les perceptions, à fournir un soutien crucial et à faciliter des conversations constructives autour d'un sujet souvent négligé. C'est une invitation à la compréhension, à l'empathie, et à la création d'une communauté de soutien pour ceux qui ont vécu cette expérience délicate.Retrouve-nous sur 👇 ❤️ Envie de venir papoter de sujets autour de la parentalité ?  ❤️ Instagram @KinokoRemi❤️ Instagram @KinokoJulie❤️ Kinoko.fr  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    1h 15m

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