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Charge mentale : définition et combat quotidien des mamans Madame Pas De Soucis

    • Forme et santé

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Devenir maman, c’est dur.







On pense souvent au poids de la responsabilité que l’on va avoir, c’est vrai.







Les psychologues vous diront que c’est un chamboulement profond, une reconstruction de notre être pour adopter le positionnement de parent, c’est vrai aussi.







Mais ce dont je parle est beaucoup plus terre à terre. Et donc beaucoup plus puissant.







Dans la vraie vie ce qui est dur, c’est la FATIGUE, l’usure.







La fatigue de l’accouchement ? Oui, bien sûr. Tout le monde le sait – surtout les mamans !







Celle des premiers mois avec les réveils X fois par nuit pour nourrir son bébé et changer la couche ? Clairement aussi.







Mais ce qu’on ne nous dit pas, c’est que la fatigue ne disparait pas le jour où bébé fait ses nuits.







Non. La fatigue, la vraie, on la perçoit quand les semaines s’enchaînent, que les mois de suivent, sans un seul jour de repos.







Pourquoi ? Parce que tous les jours il faut faire à manger – ce qui veut dire trouver des idées de menu et faire les courses avant ça. Toutes les semaines il faut faire des lessives pour toute la maisonnée – et puis repasser / plier / ranger dans les placards. Régulièrement il faut nettoyer la maison qui se salit à vitesse grand V – alors que justement on est devenue beaucoup plus à cheval sur l’hygiène.







Et puis les enfants grandissent et arrivent les affaires d’école à se procurer, les devoirs à faire le soir, les activités périscolaires avec le matériel à préparer et l’horaire à respecter.







Et bien sûr tous les RDV médicaux : RDV de suivi chez le dentiste / pédiatre / ophtalmo et j’en passe. Et tous les RDV en urgence car la fièvre du petit monte et qu’on ne sait pas quoi faire.







Alors bien sûr nos bout de chou on les aime. Bien sûr qu’on est là pour prendre soin d’eux, et qu’on se sent à notre place à endosser notre rôle de guide. Mais être maman c’est vraiment BEAUCOUP de fatigue et de stress. Surtout quand on travaille par ailleurs et qu’on doit tout gérer de front le boulot (y compris le temps de transport) ET la maison.







Cet état de mal-être on n’aime souvent pas trop en parler. Parce qu’on « a de la chance » d’avoir des enfants alors que d’autres n’en ont pas. Parce que c’est le « plus beau métier du monde ». Parce qu’on culpabilise de ne pas y arriver alors que les autres mamans y arrivent, elles – du moins on le croit.







Pourtant cette usure, cette fatigue et ce stress ont une cause réelle qui devient un véritable un phénomène de société dont on commence enfin à parler plus librement : la charge mentale ! Oui, c’est ELLE notre véritable ennemie. Pas la poussière. Pas le linge à repasser.







Et cette charge mentale a tellement de formes différentes, et tellement de niveaux qui se superposent qu’il est normal que vous sentiez débordée. Comment ne pas l’être quand on n’a que 2 bras et 24h dans une journée, alors qu’il y a tant de pensées qui s’entremêlent dans la tête et tant de choses à faire !







Dans cet article,

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Devenir maman, c’est dur.







On pense souvent au poids de la responsabilité que l’on va avoir, c’est vrai.







Les psychologues vous diront que c’est un chamboulement profond, une reconstruction de notre être pour adopter le positionnement de parent, c’est vrai aussi.







Mais ce dont je parle est beaucoup plus terre à terre. Et donc beaucoup plus puissant.







Dans la vraie vie ce qui est dur, c’est la FATIGUE, l’usure.







La fatigue de l’accouchement ? Oui, bien sûr. Tout le monde le sait – surtout les mamans !







Celle des premiers mois avec les réveils X fois par nuit pour nourrir son bébé et changer la couche ? Clairement aussi.







Mais ce qu’on ne nous dit pas, c’est que la fatigue ne disparait pas le jour où bébé fait ses nuits.







Non. La fatigue, la vraie, on la perçoit quand les semaines s’enchaînent, que les mois de suivent, sans un seul jour de repos.







Pourquoi ? Parce que tous les jours il faut faire à manger – ce qui veut dire trouver des idées de menu et faire les courses avant ça. Toutes les semaines il faut faire des lessives pour toute la maisonnée – et puis repasser / plier / ranger dans les placards. Régulièrement il faut nettoyer la maison qui se salit à vitesse grand V – alors que justement on est devenue beaucoup plus à cheval sur l’hygiène.







Et puis les enfants grandissent et arrivent les affaires d’école à se procurer, les devoirs à faire le soir, les activités périscolaires avec le matériel à préparer et l’horaire à respecter.







Et bien sûr tous les RDV médicaux : RDV de suivi chez le dentiste / pédiatre / ophtalmo et j’en passe. Et tous les RDV en urgence car la fièvre du petit monte et qu’on ne sait pas quoi faire.







Alors bien sûr nos bout de chou on les aime. Bien sûr qu’on est là pour prendre soin d’eux, et qu’on se sent à notre place à endosser notre rôle de guide. Mais être maman c’est vraiment BEAUCOUP de fatigue et de stress. Surtout quand on travaille par ailleurs et qu’on doit tout gérer de front le boulot (y compris le temps de transport) ET la maison.







Cet état de mal-être on n’aime souvent pas trop en parler. Parce qu’on « a de la chance » d’avoir des enfants alors que d’autres n’en ont pas. Parce que c’est le « plus beau métier du monde ». Parce qu’on culpabilise de ne pas y arriver alors que les autres mamans y arrivent, elles – du moins on le croit.







Pourtant cette usure, cette fatigue et ce stress ont une cause réelle qui devient un véritable un phénomène de société dont on commence enfin à parler plus librement : la charge mentale ! Oui, c’est ELLE notre véritable ennemie. Pas la poussière. Pas le linge à repasser.







Et cette charge mentale a tellement de formes différentes, et tellement de niveaux qui se superposent qu’il est normal que vous sentiez débordée. Comment ne pas l’être quand on n’a que 2 bras et 24h dans une journée, alors qu’il y a tant de pensées qui s’entremêlent dans la tête et tant de choses à faire !







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