60 épisodes

Amid Faljaoui dans sa chronique économique nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique.

Le directeur du magazine Trends Tendances nous plonge dans l'univers de la bourse, de la finance, des banques, de la BCE, des crises économiques, de tout ce qui fait l'actualité dans notre société comme les GAFA (Facebook, Amazon, Apple, Google), Elon Musk et Twitter, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, la Banque européenne, le changement climatique, le cours du pétrole, les conflits, Wall Street, l'inflation, les actionnaires, l'argent, le cours de l'euro et du dollar, la vie des patrons et des salariés, des investisseurs, des politiques, l'Union Européenne, les USA, la Chine, le Brexit, les taux d'intérêts, et encore beaucoup d'autres sujets d'actualité.

Il débat également autour du prix de l'électricité et du gaz, de la consommation, de la guerre en Ukraine avec Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, de la hausse et la baisse du prix de l'essence, du diesel et du pétrole, de l'arrivée des voitures électriques, de la délocalisation des entreprises de l'indexation des salaires, de la morosité des marchés, du Covid et des vaccins, etc.
La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours sur Classic 21 à 8h30 dans Coffee on the Rocks et à 17h30 dans On The Road Again.

Chronique économique Classic 21 (RTBF)

    • Actualités
    • 4,9 • 30 notes

Amid Faljaoui dans sa chronique économique nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique.

Le directeur du magazine Trends Tendances nous plonge dans l'univers de la bourse, de la finance, des banques, de la BCE, des crises économiques, de tout ce qui fait l'actualité dans notre société comme les GAFA (Facebook, Amazon, Apple, Google), Elon Musk et Twitter, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, la Banque européenne, le changement climatique, le cours du pétrole, les conflits, Wall Street, l'inflation, les actionnaires, l'argent, le cours de l'euro et du dollar, la vie des patrons et des salariés, des investisseurs, des politiques, l'Union Européenne, les USA, la Chine, le Brexit, les taux d'intérêts, et encore beaucoup d'autres sujets d'actualité.

Il débat également autour du prix de l'électricité et du gaz, de la consommation, de la guerre en Ukraine avec Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine, de la hausse et la baisse du prix de l'essence, du diesel et du pétrole, de l'arrivée des voitures électriques, de la délocalisation des entreprises de l'indexation des salaires, de la morosité des marchés, du Covid et des vaccins, etc.
La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours sur Classic 21 à 8h30 dans Coffee on the Rocks et à 17h30 dans On The Road Again.

    Intelligence artificielle, la nouvelle ruée vers l’or !

    Intelligence artificielle, la nouvelle ruée vers l’or !

    Nvidia, le fabricant de puces pour l’intelligence artificielle, entre dans le club très sélect des entreprises qui pèsent plus de 3000 milliards de dollars en Bourse, c’est la nouvelle ruée vers l’or d’aujourd’hui. Les amateurs de bourse connaissent bien cette histoire. Il paraît que pendant la ruée vers l’or aux États-Unis, ce ne sont pas les chercheurs d’or qui se sont le plus enrichis, mais les vendeurs de pelles et de pioches. Et cette histoire, elle est en train de se répéter à un niveau hors normes avec l’intelligence artificielle. En effet, il y a un nouveau record boursier a été battu par Nvidia, le champion mondial des puces graphiques qui servent à faire tourner les applications d’intelligence artificielle. Fondée par un immigré chinois, cette boîte américaine est entrée ce mercredi et de manière fracassante dans le club très fermé, très select, des entreprises qui valent plus de 3000 milliards de dollars en bourse. C’est effectivement le club le plus select au monde car à part Microsoft et Apple et maintenant Nvidia, aucune autre entreprise au monde ne passe le seuil des 3000 milliards de dollars. Juste pour vous donner une idée, ce montant de 3000 milliards est supérieur à l’ensemble du poids de la totalité de la Bourse de Paris… Mots-Clés : BNP Paribas, Carrefour, L’Oréal, Michelin, LVMH, Pernod-Ricard, success story, américaine, entreprise, fondé, réunion, fast-food, États-Unis, époque, grand public, connaissance, existence, progression, valorisation boursière, politesse, iconique, monde, Apple, fou, histoire, engouement, action, enrichir, signe, analystes financiers, recensé, agence financière, Bloomberg, action, achat, conserver, portefeuille, final, analyste, planète, Terre, malin, singe, direction, nombre, acheter, commun, mortels, démocratiser, diviser, abordable, Monsieur, Madame, doper, cours, inquiétude, client, fournisseur, solution, dépendant, chance, simple, plan technique, temps, dirigeants, marge nette, business, destination, manne céleste, volume, compenser, faiblesse, marges, secteur, distribution, double, salto, arrière, colossaux, artiste. La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

    Merci pour votre écoute

    Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21
    Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :
    https://auvio.rtbf.be/emission/802

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 4 min
    Moyen Orient, des négociations entre les USA et l’Arabie saoudite révélées

    Moyen Orient, des négociations entre les USA et l’Arabie saoudite révélées

    Et si nous nous penchions sur les négociations entre les USA et l’Arabie saoudite ? On en parle peu mais elles auront une influence sur l’avenir du Moyen Orient et ces négociations portent aussi sur des aspects économiques et financiers. Des négociations âpres et très dures ont lieu en ce moment pour forcer le Hamas et Israël à accepter un cessez-le-feu et la libération des otages. Ce que l’on sait moins, c’est que depuis deux ans, l’administration Biden négocie aussi avec un autre interlocuteur très important au Moyen-Orient, et c’est l’Arabie saoudite. c’est ce qu’a révélé le New York Times, quotidien habituellement très bien informé de la géopolitique du Moyen-Orient. En contrepartie d’un cessez-le-feu à Gaza et d’une reconnaissance de l’Etat palestinien par les Américains, l’Arabie saoudite voudrait signer un pacte de défense mutuelle avec les Etats-Unis et ce pacte serait inspiré de ce qui existe actuellement avec le Japon. Et cerise sur le gâteau, les autorités saoudiennes souhaiteraient que ce pacte soit validé par une très large majorité des parlementaires américains. Alors, ce deuxième point n’est absolument pas facile à obtenir, pour la simple raison que plusieurs parlementaires américains, qu’il soit d’ailleurs démocrate ou républicain, ont une défiance viscérale à l’égard des Saoudiens… Mots-Clés : matière, confiance, parole, défense mutuelle, passif, drones iraniens, détruire, champs pétrolifères, corser, limiter, achat, armes, Chine, exportations, pétrole, dollar, hantise, pays, Russie, Inde, devises, roi, échanges commerciaux, dédollarisation, économie mondiale, Europe, sanctions financières, indélicatesse, soucis, devise saoudienne, prix bas possible, élections, pierre d’achoppement, volonté, programme nucléaire, civil, Maison-Blanche, choix, négocier, hantise, bande de Gaza, peur, voisin, iranien, arme nucléaire, informations, coulisses, réalité, géopolitique. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

    Merci pour votre écoute

    Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21
    Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :
    https://auvio.rtbf.be/emission/802

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 3 min
    Il ne faut pas se braquer sur l’écart, mais voir le gain, surtout à court terme

    Il ne faut pas se braquer sur l’écart, mais voir le gain, surtout à court terme

    Nous sommes comme des marins surpris d’être en vie après tant de tempêtes en 4 ans ! C’est cette résistance inédite dans l’histoire qui est l’objet de cette chronique. Les nouvelles qui sont bien souvent anxiogènes. Il faut, c’est vrai, parfois avoir le cœur bien accroché pour ne pas sombrer dans une forme de grisaille morale. Et c’est à ce moment-là justement qu’il faut savoir prendre du recul. Juste aussi se dire qu’il faut parfois faire un distinguo entre l’écart et le gain. Alors l’écart mesure la distance entre nos souhaits et la réalité et nous avons tous tendance à nous braquer sur cet écart. Et c’est normal, c’est humain, c’est instinctif. Le gain, c’est une forme de sagesse. C’est se focaliser sur ce qu’on a gagné ou éviter de perdre. Alors c’est moins glorieux comme démarche, mais c’est une des clés du succès. Et plutôt que de se lamenter et encore une fois, c’est humain, plutôt que de se lamenter sur l’écart, focalisons-nous donc sur les gains. Nos petites victoires qui, cumulées jour après jour, font parfois la différence. Souvenons-nous qu’en 4 ans, nous en avons traversé des crises. La crise du COVID semble loin et pourtant nous l’avons traversée. Pour la première fois de l’histoire, nos dirigeants ont fait passer la vie, nos vies avant l’économie. Que c’est la première fois de l’histoire qu’on a exigé des entreprises de fermer leurs portes pour sauver des vies. Et de même, nous avons traversé la crise énergétique liée à l’invasion de l’Ukraine. Nos parents qui ont vécu la crise pétrolière de 1963 avec un quadruplement du prix du pétrole, ont vu la Belgique et tous les autres pays sombrer dans la récession. Ici, ça n’a pas été le cas en Europe, à part l’Allemagne et encore, c’était une récession mineure de moins 0,3%. Autant dire rien. Nous avons donc assisté aussi à une série de faillites bancaires aux États-Unis… Mots-Clés : météo, mois, juin, autruche, meilleur, monde, injuste, égard, fragile, régional, banque européenne, suisse, Crédit suisse, faillite, concurrent, UBS, Lehman Brothers, panique bancaire, contagion, fantastique, hausse, taux d’intérêt, zone euro, secteur immobilier, pneumonie, résistance, économie mondiale, pouvoir d’achat, ménages, effet domino, explosion, dette publique, charge d’intérêt, générations, élections, table des négociations, période électorale, électeurs, politique, lecteur, marchés, week-end, main, programme électoral, voter, préférence, court terme. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

    Merci pour votre écoute

    Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21
    Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :
    https://auvio.rtbf.be/emission/802

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 4 min
    Le procès perdu par Donald Trump n'a eu aucun effet sur le plan électoral ni sur les marchés financiers. Comment expliquer ce paradoxe ?

    Le procès perdu par Donald Trump n'a eu aucun effet sur le plan électoral ni sur les marchés financiers. Comment expliquer ce paradoxe ?

    Le procès perdu par Donald Trump n’a eu aucun effet sur le plan électoral ni sur les marchés financiers. Comment expliquer ce paradoxe ? Le verdict de la semaine dernière contre l’ancien président Donald Trump est lourd de signification. D’abord parce que c’est la première fois qu’un président américain a été condamné au pénal et à l’unanimité du jury, qui l’a reconnu coupable de 34 chefs d’accusation formulés contre lui. Et ensuite parce que les plus optimistes se diront que, malgré ses immenses imperfections, malgré la polarisation de la population au niveau politique, c’est un signe que la démocratie américaine fonctionne bien. Mais au final, la véritable question, c’est est ce que cela change quelque chose pour cette course à la présidence ? Alors, aussi étonnant que cela puisse paraître, rien, en tout cas en apparence. Donald Trump menait déjà dans les sondages d’une courte tête son rival Joe Biden. Et le plus important, c’est que Trump le devançait dans les 6 Etats, ce qu’on appelle les swing states, qui peuvent faire la différence. Et ça, ça n’a pas changé. Les sondages d’opinion n’ont pas montré une chute de popularité de Trump, ni une avancée de Joe Biden suite au verdict du tribunal de Manhattan. Donc aucun changement au niveau électoral, que du contraire. Ses fans sont maintenant électrisés et sont convaincus que leur champion est victime d’une cabale contre lui. Et quant à Trump lui-même, qui a d’abord grimacé en sortant du tribunal, il va maintenant pouvoir revenir dans la campagne car avec ce procès, il devait être présent quatre jours semaine à New York pour justement assister à ce procès. Il va donc pouvoir bouger et galvaniser ses troupes, Donald Trump aura du renfort sur le plan financier, notamment pour payer ses frais de procès. Car l’Agence d’information financière Bloomberg a montré que le financement de la campagne de Trump est en train de s’accélérer, car de très nombreux patrons de Wall Street et de la Silicon Valley ont pris fait et cause pour lui. Et le fait majeur, c’est qu’aujourd’hui, il ne s’en cache plus… Mots-Clés : augmentation, impôt, société, réglementation, bancaire, administration, timide, riposte, manifestations, pro palestinien, campus, américain, marchés financiers, tribunal, Manhattan, verdict, anticipé, investisseurs, jargon, inscrit, cours, résultat final, cocasse, votes populaires, faveur, idéologie, taux d’inflation, taux d’intérêt, élevé, baisse des impôts, augmentation, droits de douane, importations chinoises, hausse, inflation importée, escompte, citoyen américain, politique fiscale, commerciale, budgétaire, vérités, insultes, air du temps, hirondelles, grève. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

    Merci pour votre écoute

    Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21
    Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :
    https://auvio.rtbf.be/emission/802

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 4 min
    "Fuck you money" pourquoi l’Europe a-t-elle décroché sur le plan économique par rapport aux États-Unis ?

    "Fuck you money" pourquoi l’Europe a-t-elle décroché sur le plan économique par rapport aux États-Unis ?

    Pardonnez-moi le côté vulgaire de cette expression, mais l’expression "fuck you money" est une manière, en tout cas pour les Américains, de dire qu’il faut arriver à un certain niveau d’argent pour pouvoir dire à un client ou à un patron qu’on n’a pas envie de travailler avec lui. Et ça, ce n’est possible que lorsque l’on est indépendant financièrement. C’est une forme de liberté de parole, une parole libérée, donc, par l’absence de soucis d’argent. Lorsqu’on arrive à ce stade, on peut en effet dire non à un client qui nous embête, par exemple, sans craindre pour sa place ou pour son entreprise. Henri de Castries, président de l’Institut Montaigne, a accordé une interview extrêmement intéressante au Figaro. Elle est d’autant plus intéressante qu’Henri de Castres est l’ancien patron mondial du groupe d’assurance AXA et donc lui aussi est à l’abri du besoin et peut dire ce qu’il pense sans détour. Et justement, selon lui, si nous, Européens, avons décroché sur le plan économique par rapport aux Etats-Unis, c’est aussi, dit-il, parce que nous avons collectivement un manque d’appétit pour le risque. L’Europe, avec son principe de précaution poussé à l’excès a finalement créé un environnement peu propice à l’innovation et à la croissance. Or, il n’y a pas de croissance sans prise de risque. Lorsqu’un scientifique ou un industriel cherche quelque chose de nouveau, il met en risque son temps, sa réputation et ses ressources et accepte donc la probabilité d’un échec. Or, refuser l’échec, qui est donc l’autre facette de ce refus du risque, est mortifère. Et si l’on n’accepte donc pas de perdre, eh bien les chances de gagner diminuent. Voilà l’autre point faible de l’Europe et qui explique donc aussi le décrochage de notre vieux continent à l’égard des Etats-Unis, c’est que nous ne savons pas flécher notre épargne vers les entreprises européennes pour qu’elles puissent grandir… Mots-Clés : marché unique, épargne, milliards, euros, Wall Street, emplettes, financer, allusion, situation, résumé, Enrico Letta, ancien, Premier ministre, italien, rapport, avenir, Union européenne, final, continent, épargnant, consommateurs, investisseurs, producteurs, optimiste, pays, histoire, intérêts divergents, risque, sclérose, immobilisme, crises, pandémie, homme, virus, cadre, achat groupé, vaccins, réaction, soutien, unanime, Ukraine, Russie, accord, sanctions économiques, financières, face, crabe, élégant, démarche, défis, énergie, dépenses, militaires, immigration, réponse, collective, choix. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

    Merci pour votre écoute

    Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21
    Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :
    https://auvio.rtbf.be/emission/802

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 4 min
    Pourquoi l’Europe tarde-t-elle à se protéger contre l'invasion massive de produits chinois ?

    Pourquoi l’Europe tarde-t-elle à se protéger contre l'invasion massive de produits chinois ?

    Face à la Chine, l’Europe semble se réveiller et a enfin décidé de riposter pour ne pas être inondées de produits chinois. l’Europe a ouvert une quinzaine d’enquêtes pour soupçons de dumping ou de subventions abusives sûr, par exemple, les voitures électriques bien, mais également sur l’éolien ou les panneaux solaires. Alors ces enquêtes sont déjà une manière pour l’Europe de montrer ses muscles, mais, c’est vrai, si on écoute les candidats aux élections européennes, ce n’est pas encore assez. La riposte Européenne est timide et ce n’est pas par faiblesse mais par intérêt. Si vous vous intéressez aux élections européennes, vous aurez remarqué que la plupart des candidats disent qu’il faut arrêter d’être naïf à l’égard de la Chine en premier lieu certes, mais également à l’égard des États-Unis. Les uns et les autres parlent de libre-échange, mais en réalité, ces deux grandes puissances économiques pratiquent chacune à sa manière, une ou plusieurs formes de protectionnisme. Alors, il n’y a qu’en Europe, visiblement, que l’on croit encore au libre-échange. De son côté, Joe Biden a annoncé il y a quelques jours à peine des droits de douane de 100% sur les voitures électriques chinoises et son administration a demandé à l’Europe de faire exactement la même chose et de suivre le mouvement protectionniste à l’encontre de la Chine. Et pour le moment, vu de loin, on a l’impression que l’Europe prend tout de même son temps pour riposter alors que l’Europe est déjà inondée, elle, de voitures électriques chinoises dont beaucoup attendent dans nos ports le moment d’être vendues sur le continent. C’est vrai que l’Europe a l’air de se réveiller tardivement et de se dire qu’au fond, le protectionnisme, ce n’est pas si mal. C’est même une sorte de légitime défense, et notamment face à la Chine dont la croissance patine et qui n’arrive donc pas à vendre ses produits made in China sur son propre marché… Mots-Clés : pays, surplus, production, inonder, produits, qualité, prix bas, tribu, éléments, droits de douane, campagne, électorale, futur, électeurs, fabricant, marché, bloquer, constructeurs européens, Dacia Spring, BMW, Volkswagen, bémol, voix, puissance économique, Allemagne, jeu, rétorsions, perdre, made in, Germany, découverte, puissance économique, modèle économique, fragile, gaz, russe, bas prix, usine, guerre, Ukraine, avantage, compétitif, volonté, ennemi, Russie, objectifs, lien ombilical, Mission, dépendance, PME, naïf, question, balle, protectionnisme, nuances, loup, poulailler, illusoire, penser, argument. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

    Merci pour votre écoute

    Pour écouter Classic 21 à tout moment : www.rtbf.be/classic21
    Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :
    https://auvio.rtbf.be/emission/802

    Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

    • 4 min

Avis

4,9 sur 5
30 notes

30 notes

QUOI DE NEUF ,

Urgent d’écouter

Remarquablement éclairant !
Sincèrement, un GRAND MERCI, pour ces indispensables chroniques, visant toujours à nous aider, à mieux comprendre notre monde.

rbd tgw ,

Instructif Intéressant Divertissant

Cette émission est un régal pour les oreilles. De nombreuses réflexions qui dépassent le cadre de l’économie. S’il était obligatoire de l’écouter cela ferais reculer la bêtise.

Classement des podcasts dans Actualités

LEGEND
Guillaume Pley
Les Grosses Têtes
RTL
Les actus du jour - Hugo Décrypte
Hugo Décrypte
L’Heure du Monde
Le Monde
Les Actus Pop - HugoDécrypte
HugoDécrypte
C dans l'air
France Télévisions

D’autres se sont aussi abonnés à…

Le Brief
L'Echo
Déclic - Le Tournant
RTBF
Un Jour dans l'Histoire
RTBF
La semaine des 5 heures
RTBF
L'Heure H
RTBF
L'édito éco
Europe 1

Plus par RTBF

Un Jour dans l'Histoire
RTBF
Entre mystères & secrets : la fascinante histoire des OVNIS
RTBF
Histoire criminelle, les enquêtes de Scotland Yard
RTBF
Dans quel Monde on vit
RTBF
NOIR Jaune ROUGE - Belgian Crime Story
RTBF
L'Histoire surprenante des Contes de Fées
RTBF