Horlonomie Horlonomie

Dans ce nouvel épisode, direction "Le Lieu", dans la vallée de Joux, où j'ai le plaisir de rencontrer Maëlle Constant. Avant de devenir émailleuse, Maëlle a connu plusieurs vies, plusieurs métiers. Elle commence sa carrière d'horlogère à Rennes, puis se forme auprès d'horlogers de renoms : Laurrent Ferrier, Jean Darricarrère, Philippe Narbel, ... L'aventure se poursuit chez les artisans de Genève, l'émail dans un coin de la tête. Puis c'est le grand saut en 2018 - elle se lance à 100% dans l'émail, à son compte, avec pour voisin Julien Tixier. Les premiers clients arrivent, dont de nombreux horlogers indépendants, et un véritable processus de co-création se met en place. Les possibilités qu'offrent l'émail n'ont de limites que la créativité et le talent de l'émailleur, de l'émailleuse. Un éternel défi ? Allez, c'est l'heure !

Dans ce nouvel épisode, direction Bienne, où j'ai le plaisir de rencontre Shona Taine, la fondatrice de Khemea. Il y a 4 ans et à 21 ans seulement, Shona a lancé sa propre marque de montres, animée par l'envie de créer une histoire, son histoire. Derrière un nom quelque peu énigmatique (Khemea veut dire "alchimie" en grec ancien, mais ça vous le saviez) se cache une vraie passionnée de philosophie et une horlogère accomplie. Sa première montre ? Arkhea, le "premier", ou plutôt la première : une montre avec une phase de lune différente, une date représentée par un disque d’aventurine avec 31 perçages - un point blanc qui se déplace chaque jour. On ne voit pas de chiffres, volontairement - on se situe dans le temps plutôt que dans un référentiel journalier. Ses montres ? Une partie d'elle qui s’en va lors de la livraison aux clients, clients à qui elle offre une part de rêve, en exerçant son art. La recherche de qualité est permanente, avec une envie forte : que Khemea se développe, soit plus grand que sa fondatrice.
L'aventure ne fait que commencer...allez, c'est l'heure !

Dans ce nouvel épisode, direction Renens, où j'ai eu le plaisir de rencontrer Gael Petermann, le co-fondateur de Petermann-Bedat avec Florian Bedat. Tout commence à 15 ans, un peu par hasard, à l'école horlogère de Genève. Rapidement bercé par les indépendants, c'est finalement à Glashütte chez A. Lange & Söhne que Gael fait ses armes pour une expérience hors du commun. Les velléités d'indépendance et l'envie d'un retour en Suisse se font de plus en plus fortes, le chemin se poursuit un temps chez Svend Andersen pour commencer les premiers pas d'indépendants. Quelques années plus tard, Gael et Florian décident de créer leur marque, des idées plein les cartons. La suite ? Une première montre, la 1967 et sa fameuse seconde morte, et un premier prix au GPHG 2020 (révélation horlogère de l'année), en plein covid - la célébration attendra. La 2941 (chronographe à rattrapante mono poussoir) arrive quelques temps après : une montre créée dans le but de faire le plus plus beau chronographe, tout simplement. Pari plus que réussi, et un deuxième prix GPHG qui arrive en 2023 (chronographe de l'année).

Et le Louis Vuitton Watch Prize ? Réponse demain ! L'aventure ne fait que commencer...allez, c'est l'heure !

Dans ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir Tim et Alex, les co-fondateurs de Veritas Vintage Watches, une entreprise de revente de montres vintage qui a su se faire une place de choix dans le paysage horloger. Des bancs de l'EHL et de l'EPFL à la revente de montres, il n'y a qu'un pas, ou presque. Tout commence avec une Rolex Oyster Perpetual, achetée en commun pour finalement être revendue quelques mois plus tard. Une autre montre suit, et encore une autre, puis une autre, pour arriver à près de 500 montres vendues en 2023 : Submariner, Royal Oak, Day Date, Tank, Daytona... Mais comment passe-t-on de passionnés à revendeurs ? Par hasard, ou presque. Patience, recherches méticuleuses, itérations nombreuses : vendre des montres de qualité, avec transparence, ne s'improvise pas. Retour sur un parcours à part, au détour d'anecdotes savoureuses, une histoire d'entrepreneurs passionnés. Et si la vraie connaissance, c'était d'accepter humblement que l'on ne sait pas tout ? Allez, c'est l'heure !

Dans ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir Simon, un passionné d'horlogerie qui a fait ses classes chez Jean Rousseau, Code 41 et maintenant Panerai. Son objectif ? Associer une passion avec un travail. Une passion commencée il y a des années, avec une...swatch. Tout démarre chez Jean Rousseau et ses bracelets, accessoires indispensables pour donner tout son éclat à nos montres. Puis CODE 41 et son label TTO - le Swiss Made, encore un graal absolu, une gageure ? Et enfin, Panerai, avec un focus évidemment sur le bracelet, les bracelets. Plongée dans les arcanes de l'horlogerie, de la construction d'une collection, version pro et passionnée, et bien plus encore. Allez, c'est l'heure.

Dans ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir Mael, le fondateur de la marque Timeless Watch. Comment crée-t-on sa marque ? D'illustrateur 3D (Richard Mille, Preziuso, Ladoire) à créateur de montres, il n'y avait qu'un pas, ou presque. Retour sur le parcours d'un entrepreneur qui a su concrétiser son idée, sa vision, pour aboutir à créer ses montres autour d'une identité visuelle unique. Design, prototypes, créations, commercialisation, logistique, relation clients,...la liste des étapes est longue, l'histoire passionnante. Le tout dorénavant couronné par une nomination au Grand Prix Horloger de Genève, et son verdict le 9 novembre prochain. Quelque chose me dit que cette aventure hors du temps ne fait que commencer.
Allez, c'est l'heure !