Le Biais d'Aurélie Jean France Culture

durée : 00:03:57 - Le Biais d'Aurélie Jean - par : Aurélie Jean - Les réflexions analytique, pratique, émotionnelle, l'intention, les ressorts... et l'émotion : tous ces moteurs intrinsèques à l'humain manquent encore à l'intelligence artificielle pour créer de l'art au pinceau ou au stylo.

durée : 00:04:03 - Le Biais d'Aurélie Jean - par : Aurélie Jean - Les algorithmes vont-ils tous nous remplacer dans nos emplois respectifs ? Si l'inquiétude est légitime, il faut plutôt voir les algorithmes comme des opportunités de modifier notre rapport au travail, car ils vont surtout impacter des tâches spécifiques plutôt que des métiers entiers.

durée : 00:03:41 - Le Biais d'Aurélie Jean - par : Aurélie Jean - À l'ère de l'intelligence artificielle, faut-il encore investir dans l'éducation traditionnelle ? La réponse est "oui" car les algorithmes se limitent à l'intelligence analytique, tandis que l'humain excelle dans l'émotionnel, le créatif et le pratique. En cela, il se démarque des machines.

durée : 00:03:58 - Le Biais d'Aurélie Jean - par : Aurélie Jean - La chute du plongeur Alexis Jandard lors de l'inauguration du Centre aquatique olympique Saint-Denis nous rappelle que, en sport comme en sciences, l'échec est le compagnon indispensable du succès. Apprendre, s'adapter, persévérer font partie du quotidien des sportifs, mais aussi des scientifiques.

durée : 00:03:52 - Le Biais d'Aurélie Jean - par : Aurélie Jean - Le principe mathématique du "diviser pour régner" a été conçu par Euclide dans l'Antiquité pour accélérer la résolution de problèmes algorithmiques. Encore utilisé aujourd’hui, notamment en informatique, il est facile à comprendre grâce à l'exemple de la traditionnelle chasse aux œufs.

durée : 00:04:01 - Le Biais d'Aurélie Jean - par : Aurélie Jean - Elles vont voler notre travail, et iront même jusqu'à mettre en danger toute la planète… Selon Aurélie Jean, les alertes catastrophistes sur les IA se multiplieraient chez les travailleurs de la connaissance pour une raison : leur peur de cette "intelligence analytique" sans précédent.