Il y a « la part sombre » de l’épidémie, ses tristes nouvelles, son compteur anxiogène de morts et de populations touchées. Mais il y a aussi la part lumineuse de l’épidémie, ses initiatives solidaires, ses perles d’espoir et d’humanité. Il y a Romain, un horticulteur, qui a fleuri tout un cimetière avec son stock de fleurs qu’il ne pouvait pas vendre et qu’il ne voulait pas jeter, dans un geste fou et généreux. Qui d’autre que lui avait pensé aux morts anciens dans cette fichue épidémie ? Il y a ces personnes anonymes qui prennent soin de leur voisin, de cet infirmier qui part au front de la lutte contre le Coronavirus tous les jours ou de cette vieille dame isolée. Il y a cette bande de cousins de 14 à 24 ans éparpillés en Europe qui ont unis leurs forces pour monter en quelques jours un site afin d’inonder les Ehpad de France de cartes postales colorées disant à nos papis et mamies que si on ne pouvait pas les voir, on pensait fort à eux. Il y a tous ces contenus mis gratuitement en ligne pour sauver les parents transformés du jour en lendemain en professeurs multi-niveaux. Il y a ces applaudissements chaque soir à 20 heures. Il y a de l’entraide, de la générosité, du don, du sacrifice, même. Il y a le pire, mais il y a aussi le meilleur. Non, l’humanité n’est pas foutue. Ce podcast veut diffuser des pépites, des bonnes nouvelles, quelque chose de positif pour mettre en lumière ce qu’il y a de plus beau dans cette situation extraordinaire. On vit une époque fantastique !