14 épisodes

Pourquoi ton équipe de foot préférée joue avec ses couleurs ? J'te raconte... • “MAILLOT FOOTBALL COOL”, un podcast imaginé et produit par Voig • Conception, présentation et réalisation : Gil Baudu • Remerciements : Stéphane Cassier • Rejoins la communauté MFC sur TikTok, Instagram et YouTube • VOIG, un studio de création et de production de “podéos”, fondé par Gil Baudu, à découvrir sur YouTube, Instagram, Facebook et X
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Maillot Football Cool Voig

    • Sports
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    Du HAC au Real Madrid, la saison 1 du Maillot Football Cool

    Du HAC au Real Madrid, la saison 1 du Maillot Football Cool

    Le Havre Athletic Club, l'OM, le PSG, l'OL, le RC Lens, le Barça, le Real Madrid, l'AS Saint-Etienne... et bien d'autres. Le Maillot Football Club vient de boucler sa saison 1. Alors en attendant la saison 2, voici un best of des 12 premiers épisodes. Bonne écoute !
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    • 10 min
    Le maillot merengue du Real Madrid, la pureté de sa Majesté

    Le maillot merengue du Real Madrid, la pureté de sa Majesté

    ¡ Hala Madrid ! Ça, c’est l’hymne du plus grand club du monde : le Real Madrid. Une sacrée machine à gagner. Revers de la médaille : les socios madrilènes sont exigeants. Et quand ils sont pas contents, ils agitent des mouchoirs blancs. Blancs comme la tenue des Merengues. C’est l’histoire d’un maillot simple et basique, pure et iconique. J’te la raconte…
    Cette appellation Real, elle date du 29 juin 1920. Alphonse XIII est alors roi d’Espagne. C’est aussi un grand amateur de foot. Et c’est lui qui accorde le titre royal au club de la capitale. Club logiquement rebaptisé Real Madrid Club de Futbal. Rebaptisé parce que jusqu’ici, depuis le 6 mars 1902, on l’appelle Madrid Football Club. Les toutes premières années, les Madrilènes jouent avec une tunique blanche barrée d’une bande bleue, en oblique. Ce bleu va vite disparaître… pour s’exiler sur le blason. Et laisser place à une tenue blanche. 
    Première surprise : cette tunique immaculée vient… d’Angleterre ! Au tout début du 20e siècle, une équipe fait rêver l’Europe du football : les Corinthians. Pas ceux de Sao Paulo, au Brésil. Non, non. Ceux de Londres. A l’époque, le club anglais est réputé pour son élégance, pour son esprit sportif. Il est LE modèle des dirigeants madrilènes. Jusqu’à leur tenue. Puisque le maillot des Corinthians est blanc, celui des Madrilènes le sera aussi. Le blanc, symbole de la pureté aristocratique... et couleur d'une pâtisserie sucrée : la meringue.
    Son premier titre, le Real le décroche en 1933. Nouvelle surprise : pas de couronne royale sur l’écusson. Elle a été rangée au placard depuis le début de la Seconde République, deux ans plus tôt. Et ne réapparaît qu’en 1941, à la fin de la Guerre civile espagnole. C’est donc dans ce contexte agité que les Madrilènes sont champions d’Espagne. Maillot et shorts blancs. Mais chaussettes sombres. Il faudra attendre encore deux décennies pour que la tenue merengue soit 100% blanche. Le choix d’un homme : Santiago Bernabeu. Bernabeu, t’as déjà entendu son nom. Depuis 1955, c’est celui du stade, anciennement stade Chamartin. Le plus grand d’Europe à l’époque. 
    Santiago Bernabeu voyait les choses en grand pour son Real. Il en fut le président pendant 35 ans, de 1943 à 1978. Et sous son ère, Madrid domine l’Europe à la fin des années 50. La Coupe d’Europe des clubs champions vient d’être créée. Et la dream team madrilène gagne les cinq premières éditions, de 1956 à 1960. Dream team, car c’est l’équipe des Di Stefano et Kopa, trois Ballons d’or à eux deux.
    Cette constellation de stars brille autant par ses succès que par sa classe vestimentaire. Pour Santiago Bernabeu, l’un ne va pas sans l’autre : “Le maillot du Real Madrid est blanc. Il peut être taché de boue, de sueur et même de sang, mais jamais de honte. Nos titres nous ont apporté notre noblesse.” 
    Une noblesse qui s’est perpétuée avec l’ère des Galactiques, des Ronaldo, Zidane, Figo, Raul, Beckham. Puis avec celle des Cristiano Ronaldo et Karim Benzema. Et maintenant, avec celle des Vinicius et Bellingham, en attendant Mbappé.
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    • 6 min
    Le maillot vert de Saint-Etienne, le jackpot de Casino

    Le maillot vert de Saint-Etienne, le jackpot de Casino

    Question de M. Geoffroy Guichard, de Saint-Etienne. Qui c’est le plus fort ? Réponse A : Géant Vert ; Réponse B : Hulk. Et bien, ni l’un, ni l’autre. Ah bon, alors, qui c’est les plus forts ?
    “Evidemment, c’est les Verts !” Vert, comme le maillot indémodable, que dis-je, légendaire, de l’AS Saint-Etienne. J’te raconte…
    Geoffroy Guichard… C’est donc à ce Monsieur qu’on doit la couleur verte des Verts. Geoffroy Guichard, un nom dans la région, surtout à Saint-Etienne. En 1898, il y ouvre une petite épicerie, qui deviendra un géant de la grande distribution : Casino. Et c’est jackpot. Son épicerie rapporte. Faut dire qu’elle ne passe pas inaperçue. Sa devanture est verte. Logique : elle est située rue des Jardins. 
    Alors en 1919, quand les employés de Casino lancent leur propre club de foot, ils n’hésitent pas longtemps sur la couleur du maillot. Il sera vert. “Evidemment”.
    Ce vert, l’Association sportive Casino le gardera même lorsqu’elle devra changer d’identité, quelques mois plus tard. La Fédération française interdit les marques dans les noms de clubs. Alors l’ASC devient… l’ASC : l’Amicale Sporting Club. Jusqu’à sa fusion avec le Stade forézien universitaire, en 1927. Fusion qui donne naissance à l’Association sportive stéphanoise, l’ancêtre de l’AS Saint-Etienne.
    On est en 1933. Et ça y est, le football professionnel vient de s’installer dans le Forez. L’ASSE possède son stade depuis déjà deux ans, le stade Geoffroy Guichard. Mais la fièvre verte va mettre quelques décennies à gagner la France entière. Quarante-trois ans, précisément.
    Le 12 mai 1976, l’ASSE joue la finale de la Coupe d’Europe des clubs champions. A Glasgow, les Stéphanois arborent leur désormais célèbre maillot vert. Mais pas leur habituel short blanc. En ce soir de mai 76, il est noir. Pour éviter la confusion avec la tenue du Bayern Munich. Mauvais présage, peut-être… Toujours est-il que l’ASSE perd 1-0. C’est de là que naît la légende des poteaux carrés. Les maudits poteaux d’Hampden Park, privant la France d’un premier sacre européen. L’ASSE perd 1-0. Mais les finalistes malheureux ont gagné le cœur des Français. Dès le lendemain, ils défilent en héros sur les Champs-Elysées.
    Les Verts ne sont plus de simples joueurs de foot. Ce sont désormais des rockstars, reçues au Palais de l’Elysée par le président de la République, célébrées par un hymne, sorti spécialement pour cette finale de 76. Cet hymne est devenu celui du club. Et aujourd’hui encore, il résonne dans les tribunes du stade Geoffroy Guichard. Repris en chœur, avec une étoile, frappée au cœur : histoire de rappeler que l’ASSE fut, en 1981, le premier club à gagner dix fois le championnat de France. Bien avant le PSG…
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    • 6 min
    Le maillot du FC Nantes, une bête de course (hippique)

    Le maillot du FC Nantes, une bête de course (hippique)

    Jaune et vert… A priori, ces deux couleurs te font peut-être penser… au Brésil. La Seleçao, la sélection auriverde. Mais je te rassure, dans cet épisode, on va pas danser la samba… On va rester en France. Sur la côte Ouest. Car ici, le jaune et vert, on les associe au Football Club de Nantes, huit fois champion de France.
    Et pour revenir aux origines de ses couleurs, il faut… monter à cheval ! Oui, je sais, drôle de machine à voyager dans le temps. On est le 21 avril 1943, en pleine Seconde Guerre Mondiale. Nantes est sous occupation allemande. Mais pas de quoi refroidir l’ambition de deux entrepreneurs du coin : Marcel Saupin et Jean Le Guillou. Le premier est industriel. Le second travaille dans le bâtiment. Et le duo entend lancer un club de football professionnel, comme dans les autres grandes villes françaises. 
    Le rapport avec les chevaux ? J’y viens, j’y viens…
    Le Guillou a une passion pour les courses hippiques. Il possède même sa propre écurie. Et parmi ses chevaux, il y en a qui lui rapporte gros : « Ali Pacha ». Le fameux Ali. Un vrai crack. Quasiment imbattable. Et devine en quelles couleurs il gagne course sur course ? Bah oui, en jaune et vert. Le Guillou en est persuadé : ces deux couleurs seront parfaites pour le tout nouveau club de football, dont il est le principal financier. Jusqu’à son arrestation pour collaboration, en septembre 1944.
    Ce nouveau club, il est le fruit d’une fusion entre cinq équipes nantaises. Dont celle de la Saint-Pierre de Nantes, le principal club amateur de la ville. Marcel Braud fait partie de son comité directeur. C’est donc tout naturellement qu’il devient le premier président du Football Club de Nantes. Pour lâcher les rênes au bout d’un an. Marcel Saupin prend alors les rênes du FCN. Lui les gardera jusqu’en 1955. Ce qui lui vaudra un stade à son nom, quai Malakoff. L’ancêtre de la Beaujoire. Saupin ne verra jamais ses Canaris en première division. Il meurt en janvier 1963, quelques mois avant l’accession parmi l’élite. Il ne verra pas non plus le premier titre de champion, en 65, sous la houlette de José Arribas.
    Hop, hop, J’ai pas rêvé… T’as dit Canaris ? 
    Wouah, tu suis, c’est bien. Canaris, c’est effectivement le surnom des joueurs nantais. Logique : le canari est un oiseau au plumage… jaune. La couleur phare du maillot nantais. Et puis, le canari, c’est aussi l’emblème d’un club anglais qui, lui aussi, joue en jaune et vert : Norwich City.
    Ces deux couleurs, Nantes ne les a jamais quittées. Jusqu’au mariage parfait, en 1994-1995. Cette saison-là, l’équipe de  Jean-Claude Suaudeau survole le championnat de France. Une seule défaite au compteur. Un jeu chatoyant, le fameux “jeu à la nantaise”. Et un maillot devenu légendaire, avec des rayures verticales… Rayures dans ses couleurs historiques, bien sûr… 
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    • 5 min
    Le maillot blaugrana du Barça, des couleurs venues de Suisse

    Le maillot blaugrana du Barça, des couleurs venues de Suisse

    Blaugrana. Bleu et grenat, en catalan. Blaugrana, un surnom qui colle au maillot du Barça. Et pour cause : ces couleurs, les Catalans les portent depuis toujours.  La première fois, c’est lors d’un match contre Hispania, en 1900. Quelques mois après la fondation du Football Club Barcelona, le 29 novembre 1899.
    A l’origine, un certain Hans Gamper. Un Suisse. La semaine, il est expert-comptable de profession. Le week-end, il joue au foot avec le FC Bâle. Bâle, maillot bleu et grenat, comme par hasard…A la fin du 19e siècle, Gamper émigre en Espagne. A Barcelone. Il cherche un club pour taper dans un ballon rond. Mais les joueurs étrangers ne sont pas les bienvenus. 
    Puisqu’aucun club ne veut de lui, Gamper va en construire un de toutes pièces. Il publie une annonce dans le journal Los Deportes. Les joueurs affluent. Et c’est la naissance du FC Barcelone. 
    Pour le maillot, pas besoin d’aller chercher très loin… La tunique catalane reprendra les codes du FC Bâle, le club dont Gamper était le capitaine avant de poser ses valises à Barcelone. En 1924, le journaliste Narciso Masferrer, un ami de Gamper, confirme la filiation : oui, le Barça a hérité des couleurs du FC Bâle. 
    Mais d’autres théories existent. Arthur Witty, le fils du premier président, en avance une première : ces couleurs blaugrana viendraient de son père. Ou plutôt, de l’école anglaise où il jouait au foot, la Merchant Taylors' School. 
    Autre hypothèse, celle avancée par Toni Strubell. Auteur, professeur à l’université. Pour lui, ces couleurs puisent leur inspiration dans la Première République française, instaurée en 1792. 
    Ça en fait des petites histoires dans la Grande… Une chose est sûre, en revanche : au début, le short des Blaugrana est blanc. Puis noir. Puis bleu, mais plus tard, dans les années 1920.
    Autre évolution notable : le motif même du maillot. D’abord mi-bleu, mi-grenat, dans le sens de la hauteur. Viennent ensuite les rayures, plus ou moins fines. Rayures verticales… qui deviendront horizontales le temps d’une saison, en 2015-2016. Encore plus audacieux, le maillot de 2019 : un maillot à damiers, façon Croatie. A oublier…
    Ce que tu as peut-être oublié, d’ailleurs, c’est que, pendant longtemps, pendant plus d’un siècle, même, le maillot du Barça n’avait aucun sponsor. Jusqu’en 2006. Histoire de faire passer la pilule, le président Laporta signe d’abord un contrat de cinq ans avec l’Unicef. Mais à partir de 2011, fini le caritatif. Place aux marques commerciales.
    Tiens, une dernière anecdote sur le maillot barcelonais. Et celle-là, tous les socios du Camp Nou s’en souviennent forcément… Figure-toi que pour sa première victoire en Coupe d’Europe des clubs des champions, l’ancêtre de la Ligue des champions, le Barça ne jouait pas dans ses couleurs habituelles. 
    En ce 20 mai 1992, à Wembley, les Blaugrana sont... en orange. Un clin d'œil à leur entraîneur : Johan Cruyff, le Hollandais volant. Et ça sourit enfin au Barça : victoire 1-0 contre la Sampdoria Gênes. Enfin, parce que leurs deux précédentes finales, les Catalans les avaient perdues. Et ils jouaient… en Blaugrana.

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    • 6 min
    Le maillot de Lille, un mariage qui a du chien

    Le maillot de Lille, un mariage qui a du chien

    Nom : Lille Olympique Sporting Club. Date de naissance : 1944. Le LOSC, c’est d’abord le fruit d’un mariage. D’un côté, l’Olympique Lillois, né en 1902.  De l’autre, le Sporting Club Fivois, créé un an plus tôt. Et comme dans tout mariage, chacun ramène ses affaires.
    Dans cet épisode, j’te raconte comment cette fusion a forgé l'identité des Dogues. Mais aussi la genèse de leur surnom...
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