Micro Cortex : Les Sciences en berne - Guillaume Micro-Cortex
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- Sciences
Cette année aurait dû paraître la nouvelle édition du Programme International pour le suivi des acquis des élèves. On le connaît aussi sous le nom de rapport PISA. Il sort tous les 3 ans et classe les pays selon le niveau des élèves.
Finalement, le rapport PISA 2021 a été reporté, et ne paraîtra qu’en 2023. Mais quand on regarde les deux dernières publications, en 2018 et en 2015, on voit que la France ne figure pas dans les premières places. Et sa note générale diminue, ou, au mieux, stagne.
Pour Micro Cortex, on a voulu savoir quelle réalité ces chiffres cachent. Qu’est ce qui, dans les rouages de notre système éducatif, peut expliquer ce défaut de performance. Est-ce que ces résultats sont dûs à un manque d’investissement des élèves, une baisse générale des efforts fournis ? Ou est-ce qu’on peut y voir les signes de problèmes plus systémiques, ce qui pourrait nous amener à repenser notre mode d’éducation.
Pour le savoir, on a tendu notre micro à des professeurs de matières scientifiques, pour qu’ils nous racontent leur façon de faire et comment ils s’adaptent à des programmes changeants, toujours contraints par des volumes horaires de moins en moins importants.
Dans cet épisode, vous allez entendre Guillaume, il a 30 ans et il est professeur de Sciences de la vie et de la Terre au sein de l’académie de Versailles.
Cette année aurait dû paraître la nouvelle édition du Programme International pour le suivi des acquis des élèves. On le connaît aussi sous le nom de rapport PISA. Il sort tous les 3 ans et classe les pays selon le niveau des élèves.
Finalement, le rapport PISA 2021 a été reporté, et ne paraîtra qu’en 2023. Mais quand on regarde les deux dernières publications, en 2018 et en 2015, on voit que la France ne figure pas dans les premières places. Et sa note générale diminue, ou, au mieux, stagne.
Pour Micro Cortex, on a voulu savoir quelle réalité ces chiffres cachent. Qu’est ce qui, dans les rouages de notre système éducatif, peut expliquer ce défaut de performance. Est-ce que ces résultats sont dûs à un manque d’investissement des élèves, une baisse générale des efforts fournis ? Ou est-ce qu’on peut y voir les signes de problèmes plus systémiques, ce qui pourrait nous amener à repenser notre mode d’éducation.
Pour le savoir, on a tendu notre micro à des professeurs de matières scientifiques, pour qu’ils nous racontent leur façon de faire et comment ils s’adaptent à des programmes changeants, toujours contraints par des volumes horaires de moins en moins importants.
Dans cet épisode, vous allez entendre Guillaume, il a 30 ans et il est professeur de Sciences de la vie et de la Terre au sein de l’académie de Versailles.
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