Gestionnaires en action Podcast

Les Affaires
Gestionnaires en action Podcast Podcast

Le balado Gestionnaires en action traite de l'actualité boursière avec différents gestionnaires de portefeuille.

  1. 1 DAY AGO

    Bourse: les consommateurs, l'inflation et la Fed sous surveillance

    GESTIONNAIRES EN ACTION. La fin du troisième trimestre signifie que les marchés boursiers devront bientôt digérer une salve de résultats trimestriels. Luc Girard, gestionnaire de portefeuille à Noël Girard Lehoux, Valeurs mobilières Desjardins, soutient que les dépenses de consommation, l'inflation et les mouvements de politique monétaire auront une grande influence sur l'évolution des indices d'ici la fin de l'année. «Pour les neuf premiers mois de l'année, un qualificatif me vient en tête lorsque je pense à la performance des marchés, et c'est le mot 'résilience'. Plusieurs experts anticipaient une volatilité accrue et des marchés peu convaincants en raison des tensions géopolitiques et aussi d'une inflation persistante, mais la réalité en a été tout autre», dit-il, précisant que le S&P 500 est en voie de grimper de plus de 20% pour une deuxième année de suite. «À Toronto, le S&P/TSX connaît aussi une très belle performance, lui qui est en hausse de 14%, lui qui surpasse même le Dow Jones qui s'élève à plus de 11% depuis le début de l'année», ajoute-t-il. Aux États-Unis, la bonne performance des indices est entre autres attribuable aux secteurs de la technologie et des services de communication, alors qu'au Canada, ce sont les ressources naturelles (surtout grâce à l'appréciation de l'argent, de l'or, du cuivre et du zinc) qui ont mené le bal. «La bonne performance des indices depuis le début de 2024 rappelle aux investisseurs que l'emploi et la consommation demeurent des indicateurs qui sont fondamentaux et que ceux-ci peuvent jouer un rôle déterminant dans l'évolution des marchés boursiers», raconte Luc Girard.   Saison des résultats du troisième trimestre Avec le quatrième trimestre qui est sur le point de s'amorcer, le gestionnaire de portefeuille soutient que tant du côté américain que canadien, les consommateurs seront le point de mire de la prochaine saison des résultats trimestriels. «Les consommateurs américains ont su garder la tête au-dessus de l'eau grâce à un bas de laine gonflé pendant la pandémie. On commence toutefois à voir des petits trous dans le bas de laine, si bien qu'on pourrait voir des faiblesses dans les résultats de secteurs tels que la consommation discrétionnaire. Pour le reste, les secteurs de la technologie, de l'énergie, des ressources naturelles et de la finance devraient quand même bien tirer leur épingle du jeu», croit-il. Luc Girard gardera à l'oeil l'évolution de la politique monétaire aux États-Unis et au Canada, de même que la géopolitique et l'inflation. La bataille contre l'inflation n'est pas encore gagnée, selon lui. Les investisseurs doivent donc rester vigilants et porter leur attention sur l'évolution des marges bénéficiaires des sociétés. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    6 min
  2. 20 SEPT

    Bourse: la Réserve fédérale américaine envoie un signal fort

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les marchés financiers anticipaient que la Réserve fédérale américaine allait réduire son taux de 25 à 50 points de base le 18 septembre. Pourquoi a-t-elle choisi la seconde option? Sébastien Mc Mahon, stratège et gestionnaire de portefeuille à IA, gestion mondiale d'actifs, explique. «S’il avait eu toute l’information qu’on a aujourd’hui à la fin du mois de juillet, le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, a dit qu’il aurait probablement alors choisi une diminution d’un quart de point plutôt que de garder le taux directeur stable entre 5,25% et 5,5%», dit-il. En ce sens, à son avis, la baisse d’un demi-point annoncée le 18 septembre, qui porte le taux directeur de la banque centrale américaine entre 4,75% et 5%, constitue un rattrapage. Mais la grande question, à son avis, est quelle sera la suite. «Si on monte à 10 000 pieds d'altitude, ce qu'on voit, c'est que l'économie américaine va quand même relativement bien. Le marché du travail se normalise, mais quand on regarde les chiffres d'inflation, on se dit qu'on n'a plus besoin d'avoir une politique monétaire aussi restrictive», raconte-t-il. Sébastien Mc Mahon précise que la Fed envoie le message qu’elle va descendre plus rapidement vers un «taux neutre» d’un peu moins de 3%. «Les taux vont continuer de baisser à un rythme qui est soutenu», dit-il. Si les marchés boursiers américains ont, à court terme, bien réagi à l’annonce de la Fed, l’histoire montre qu’un cycle de détente monétaire qui s’amorce par une baisse de 50 points de base du taux directeur n’est pas un bon présage pour l’économie américaine. Les deux dernières fois que cela s’est produit, en 2001 et en 2007, les marchés boursiers avaient mis plusieurs années à s’en remettre. La situation actuelle est toutefois très différente, estime le stratège. «C'est différent parce que dans ces périodes-là, on faisait face à des crises importantes. En 2001, il y a eu l’éclatement de la bulle techno», rappelle-t-il, sans oublier les attentats du 11 septembre qui sont survenus quelques mois plus tard. «En 2007, bien sûr, c'était tout juste avant la grande crise financière de 2008-2009. Aujourd'hui, quand on regarde d’un point de vue économique, il n'y a pas de panique en la demeure», estime-t-il.   La Banque du Canada pourrait-elle suivre la cadence? Le signal fort envoyé par la Fed pourrait-il inciter la Banque du Canada à accélérer la cadence des baisses de taux? «Je dirais que la porte est ouverte pour que la Banque du Canada fasse la même chose, peut-être une fois, juste pour dire, regarde, on s'en va vers le taux neutre», dit-il. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    7 min
  3. 13 SEPT

    Bourse: la volatilité, un mal nécessaire

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les marchés boursiers ont connu un regain de volatilité depuis le début du mois d'août, ce qui est attribuable à quatre facteurs, selon Julie Hurtubise, conseillère en placements principale à Gestion de patrimoine TD. «La première raison, c'est que les investisseurs craignent une autre bulle technologique. Les grandes entreprises ont augmenté leurs dépenses en intelligence artificielle. Elles disent tous qu'il vaut mieux être surinvesti plutôt que sous-investi dans le domaine. Microsoft (MSFT, 427,00$US), Alphabet (GOOGL, 154,69$US) et Meta Platforms (META, 525,60$US) ont d'ailleurs doublé leurs dépenses au cours des trois dernières années. C'est bien beau d'investir pour en sortir gagnant éventuellement, mais on ne sait toujours pas à quoi ressembleront les rendements sur ces investissements», dit-elle. Julie Hurtubise constate également un ralentissement du marché du travail qui provoque une baisse des dépenses de consommation discrétionnaire. «Le consommateur américain représente 70% du moteur économique du pays», précise-t-elle. Les deux autres facteurs sont les opérations spéculatives sur écart de rendement (carry trade). «C'est une stratégie d'effet de levier que certains investisseurs utilisent. Ils empruntent de l'argent dans un pays où les taux sont plus bas, comme le Japon, et ils investissent aux États-Unis où ils peuvent avoir un rendement plus élevé», dit-elle. Or, la Banque du Japon a commencé à relevé son taux directeur le 31 juillet, signalant que d'autres hausses étaient à prévoir, ce qui a forcé plusieurs investisseurs à couvrir leurs positions, ce qui a provoqué une baisse des marchés boursiers américains. «Pour finir, septembre est historiquement le pire mois de l'année sur les marchés boursiers, selon une étude de l'Université nationale de Singapour», ajoute-t-elle. Selon elle, les investisseurs qui veulent tirer avantage de toute cette volatilité doivent faire preuve de patience. Après tout, le titre de Nvidia a vu sa capitalisation boursière s'effondrer de près de 280 milliards de dollars américains (G$US) le 3 septembre, avant de rebondir de 216G$US le 11 septembre. La volatilité peut donc créer des occasions à la Bourse pour les investisseurs disciplinés. «Avant d'acheter un titre malmené par une certaine volatilité, il faut déterminer quels sont nos objectifs, le niveau de risque qu'on est prêt à prendre et la raison derrière un placement. Une fois que ça a été établi, on se pose des questions sur l'entreprise, le secteur, puis l'économie en général», explique-t-elle. Difficile de parler de volatilité en excluant l'indice VIX, surnommé l'indice de la peur. «Ça nous donne une indication des sentiments qu'on retrouve sur les marchés. Si le VIX est plus élevé, on a tendance à avoir plus de turbulences», dit-elle. Elle explique qu'il est bien de combiner le VIX avec d'autres outils pour faire des choix éclairés. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    6 min
  4. 6 SEPT

    Bourse: le point sur Couche-Tard avec Marc L'Écuyer, de Cote 100

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Alimentation Couche-Tard a tenu son assemblée générale annuelle des actionnaires le 5 septembre et l'entreprise a préféré en dire le moins possible sur l'offre publique d'achat «amicale» sur Seven & I Holdings, pour un montant de 14,86$US par action, plus la prise en charge de la dette. Marc L'Écuyer, gestionnaire de portefeuille à Cote 100, société actionnaire de Couche-Tard depuis 2000, juge la situation normale, puisque la direction de l'entreprise voudra en dire le moins possible jusqu'à ce qu'une entente soit conclue ou que l'offre tombe à l'eau. La direction de Seven & I Holdings a toutefois publié une lettre dans laquelle elle juge que l'offre de Couche-Tard sous-évalue grandement sa valeur et sous-estime les embûches qu'elle pourrait provoquer auprès du Bureau de la concurrence des États-Unis. De son côté la direction de Couche-Tard a déclaré qu'elle était persuadée de pouvoir mener l'acquisition à bien d'ici la fin de 2025. Questionné à savoir si la situation était de bonne guerre, Marc L'Écuyer a répondu par l'affirmative: «Lorsqu'on entre en négociations, on va toujours dire que le prix payé n'est pas assez élevé. Ce qui nous inquiète le plus, c'est l'incertitude réglementaire», dit-il. Marc L'Écuyer ajoute que les marchés avaient déjà anticipé que les résultats financiers du premier trimestre 2025 de Couche-Tard seraient plus faibles que ceux de la période correspondante l'an dernier. Il voit également d'un bon oeil le début du règne du nouveau président et chef de la direction Alex Miller le 6 septembre, estimant qu'il est prévu de longue date et s'inscrira dans la continuité pour la société. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    7 min
  5. 30 AUG

    Bientôt la fin de l'inversion de la courbe des taux d'intérêt aux États-Unis

    GESTIONNAIRES EN ACTION. La plus longue période d'inversion de la courbe des taux d'intérêt aux États-Unis est sur le point de se terminer, selon Nicolas Vaugeois, gestionnaire de portefeuille à Fiera Capital. Ce dernier a d,abord commenté les récents propos des dirigeants de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui ont affirmé que les marchés obligataires avaient été plus volatils que les actions au cours des deux dernières années. «Si on prend la portion des obligations à long terme, oui, la volatilité a été plus grande en raison de la forte montée des taux d'intérêt de la part des banques centrales», explique-t-il. Nicolas Vaugeois précise également que le phénomène d'inversion de la courbe des taux d'intérêt, caractérisé par des taux plus élevés pour des obligations à échéance de deux ans que pour celles à échéance de dix ans, est sur le point de se terminer. « Si on regarde la courbe des taux aux États-Unis, elle a commencé à s'inverser en septembre 2022. L'écart a atteint un sommet en juin 2023 et on parlait alors d'un écart de 1,1 à 1,3 point de pourcentage entre le 2 ans et le 10 ans. Aujourd'hui, il n'y a pratiquement plus de différence», explique-t-il. Il estime que d'ici 12 mois, la pente aura retrouvé sa courbe normale, c'est-à-dire que les taux des obligations à plus long terme redeviendront supérieurs à ceux des titres ayant une échéance plus rapprochée. Le gestionnaire de portefeuille croit aussi que les investisseurs devraient privilégier les obligations américaines en ce moment, puisque celles-ci offrent de meilleurs rendements que leurs équivalents canadiens.   Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    7 min
  6. 20 AUG

    Bourse: Seven & i Holdings est une grosse occasion pour Couche-Tard

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Alimentation Couche-Tard (ATD, 81,69$) a confirmé le 19 août avoir récemment soumis une «proposition amicale et non contraignante» à Seven & i Holdings Co (3382.T, 1 933 yens, Bourse de Tokyo), société mère de la chaîne 7-Eleven. Bien que la société québécoise n’ait pas dévoilé la teneur de son offre d’achat, ce sera une grosse bouchée pour le spécialiste des dépanneurs stations-service. «C’est une occasion pour Couche-Tard de plus que doubler de taille en une seule transaction. Elle a un historique de faire des acquisitions spectaculaires et de bien les intégrer pour ensuite augmenter ses profits. La feuille de route est impeccable, mais ce n’est pas encore fait», résume François Rochon, président et gestionnaire de portefeuille à Giverny Capital. Couche-Tard compte un peu moins de 17 000 établissements, comparativement à environ 84 000 pour 7-Eleven. «Je pense qu'en termes de profitabilité, Couche-Tard, par rapport aux ventes, est probablement plus rentable, mais c'est quand même deux entreprises de grande taille et de grande qualité. Je pense que ça pourrait être une bonne fusion», dit-il. La stratégie derrière cette acquisition est d’augmenter la présence de Couche-Tard en Asie, mais aussi aux États-Unis, rappelle le gestionnaire. «Aux États-Unis, Couche-Tard a à peu près 4%-5% de part de marché, contre 8% pour 7-Eleven. Donc, en jumelant les deux, on parle de 12%-13 %, donc ça serait vraiment une grande domination aux États-Unis, qui reste quand même un marché super important», estime-t-il. François Rochon précise que Giverny Capital n’est pas actionnaire de Couche-Tard, principalement en raison des activités de l’entreprise dans la vente de carburant. «À très long terme, la vente d’essence est appelée à décliner. La voiture électrique deviendra dominante, mais la grande question, c’est d’ici combien de temps! Est-ce que ça va prendre 10-20 ou 30 ans? Mais l’entreprise peut s’adapter à l’électrification, même si ça reste un défi», croit-il. Il n’exclut pas non plus que la direction de 7-Eleven opte pour une vente aux enchères de l’entreprise, ce qui serait éventuellement plus coûteux pour Couche-Tard. Le président de Giverny Capital parle aussi de Lululemon (LULU, 260,60$US), qui se négocie en baisse de prés de 50% par rapport à son récent sommet historique de plus de 516$US. À son avis, la société reste bien gérée qui offre de bons produits. Il pense que la société remontera la pente une fois que le secteur de la consommation discrétionnaire relèvera la tête. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    6 min
  7. 16 AUG

    Bourse: anticiper les baisses de taux d'intérêt est un jeu dangereux

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les investisseurs qui souhaiteraient effectuer des transactions boursières pour profiter d'éventuelles baisses de taux d'intérêt jouent à un jeu dangereux, estime Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille à Claret. «C'est un thème récurrent. Beaucoup d'investisseurs souhaitent synchroniser leur portefeuille avec l'actualité financière. On veut choisir les meilleurs secteurs selon la portion du cycle économique dans laquelle on est rendus. La réalité de tout cela, c'est que vendre un secteur pour en privilégier un autre, c'est profitable pour plusieurs, mais pas nécessairement pour les investisseurs», dit-il. Selon lui, les principaux bénéficiaires de la multiplication des transactions sont les banques et les maisons de courtage qui sont rémunérées au volume. «On travaille l'actualité financière et on travaille l'appât du gain des investisseurs. Quand on travaille avec l'appât du gain des investisseurs, bien souvent, on voit ces derniers baisser la garde et puis commettre des erreurs», dit-il. Vincent Fournier ajoute que les investisseurs devraient plutôt chercher des entreprises de grande qualité et les conserver le plus longtemps possible, en ignorant les différentes phases des cycles économiques. Pour illustrer son propos, il parle du distributeur de produits pour l'industrie de la construction Adentra (ADEN, 41,05$). Le gestionnaire possède des actions de la société depuis plus de 10 ans et a récemment ajouté à sa position en profitant de la faiblesse du titre. Il explique pourquoi l'entreprise est un bon exemple de titre à détenir à long terme. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    6 min
  8. 9 AUG

    Les leçons à retenir des soubresauts boursiers en provenance du Japon

    GESTIONNAIRES EN ACTION. Les marchés boursiers japonais ont connu une débandade entre le 1er  et le 5 août avant de récupérer environ la moitié de leurs pertes depuis. Luc Girard, gestionnaire de portefeuilles chez Noël, Girard Lehoux, Valeurs mobilières Desjardins, explique pourquoi les secousses sur le marché japonais ont eu des répercussions jusqu'en Amérique du Nord. Pour bien comprendre ce qui s'est passé, il faut d'abord comprendre le concept d'opération spéculative sur écart de rendement, mieux connu sous son nom anglophone «carry trade». Selon lui, la montée de la devise nippone jumelée à une baisse du dollar américain a forcé de nombreux investisseurs à rembourser des emprunts effectués à des taux très bas au Japon qui avaient permis d'investir dans des placements à rendements plus élevés ailleurs dans le monde. «Pour que le carry trade fonctionne, il faut un environnement de stabilité au Japon. Il faut un taux directeur bas et un yen stable. Les mouvements des derniers jours ont été tout sauf stables avec un yen qui s'est apprécié de 12% et un taux directeur qui a grimpé de 0,25 point de pourcentage», explique-t-il, ajoutant qu'en remboursant les emprunts au Japon et en vendant par exemple des actions de sociétés américaines, les investisseurs qui bénéficiaient du carry trade ont pu mettre de la pression sur des titres comme Nvidia (NVDA, 104,97$US) ou Apple (AAPL, 213,31$US). Luc Girard rappelle par ailleurs que les corrections boursières sont nécessaires. En se basant sur les 100 dernières années du S&P 500, il rappelle entre autres qu'il y a 94% de chances qu'un recul de 5% survienne par rapport au plus récent sommet. Le secret pour les investisseurs qui veulent avoir du succès à la Bourse est donc de rester pleinement investis en tout temps afin de bénéficier des remontées suivant ces reculs. Pour de l’information concernant l’utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

    6 min

About

Le balado Gestionnaires en action traite de l'actualité boursière avec différents gestionnaires de portefeuille.

To listen to explicit episodes, sign in.

Stay up to date with this show

Sign in or sign up to follow shows, save episodes and get the latest updates.

Select a country or region

Africa, Middle East, and India

Asia Pacific

Europe

Latin America and the Caribbean

The United States and Canada