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    Pourquoi les bébés trouvent-ils réconfortant de serrer une peluche pour dormir ?

    Pourquoi les bébés trouvent-ils réconfortant de serrer une peluche pour dormir ?

    Qu’il est mignon, cet enfant qui s’endort avec son doudou serré tout contre lui ! Cette habitude s’observe chez les bébés de toutes les cultures, qu’elle que soit la taille ou l’apparence du doudou en question. Elle perdure même chez certains adultes, qui s’endorment lovés contre leur partenaire ou leur oreiller. Pourquoi ce phénomène s’avère-t-il aussi efficace pour favoriser l’endormissement des bébés ?
    La sécurité émotionnelle
    Les nourrissons se montrent très vite sensibles à la séparation, notamment à celle qui accompagne le coucher. Dès l’âge de 6/8 mois, bébé comprend que ses parents existent même lorsqu’ils ne sont pas avec lui. Il intègre alors la notion de permanence des objets et des individus, et peut développer une appréhension à l’idée d’être séparé de son père ou de sa mère. Le simple fait de tenir une peluche familière contribue à apaiser l’enfant, car elle représente un élément constant dans son environnement. Lors du coucher, la peluche devient le substitut temporaire aux parents, apportant confort et protection dans un moment de potentielle insécurité.
    L’attachement aux objets transitionnels
    C’est le pédiatre Donald Winnicott qui introduit la notion d’objet transitionnel. Qu’il s’agisse d’un doudou, d’un vêtement ou d’un jouet, cet objet a pour but d’aider l’enfant à surmonter son angoisse de séparation. Le bébé investit sa peluche émotionnellement, de sorte qu’elle lui procure une continuité de présence rassurante lorsque ses parents sont absents. Le fait d’avoir un objet transitionnel est un comportement parfaitement sain pour l’enfant, qui lui permet de développer sa confiance en soi et sa faculté à s’auto-apaiser.
    L’effet des peluches sur le stress
    Le contact d’une peluche contre soi permet d’expérimenter une baisse du stress et de l’anxiété. Cela s’explique par un phénomène tout à fait réel, qui est la baisse du cortisol. Le toucher doux et la présence de la peluche agissent sur le système nerveux, qui traduit ce stimulus par un message apaisant, réduisant les niveaux de cortisol, l’hormone du stress. Détendu, l’enfant peut alors s’endormir plus facilement.
    Autres facteurs biologiques
    Au-delà de l’aspect émotionnel, serrer une peluche contre soi entraine des effets biologiques bénéfiques au sommeil. Le contact physique favorise la régulation du rythme cardiaque et de la respiration. Il stimule aussi la libération d’ocytocine, l’hormone du bien-être, qui induit une sensation de confort et de bonheur très efficace pour un endormissement serein.


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    • 2 min
    Pourquoi les rapports sexuels dans l’espace pourraient être compliqués ?

    Pourquoi les rapports sexuels dans l’espace pourraient être compliqués ?

    Le tourisme spatial n’est plus un fantasme, et les missions au-delà de notre planète se succèdent sans relâche. Bien que la NASA ait clairement annoncé qu’elle n’avait absolument aucune donnée à partager sur d’éventuels rapports sexuels dans l’espace, la question va se faire de plus en plus pressante. La sexualité, en tant que part importante du bien-être humain, devrait en effet faire partie intégrante des préoccupations des personnes qui voyagent dans l’espace sur des durées prolongées. Mais nous allons voir que la possibilité d’avoir des relations intimes dans l’espace est entravée par plusieurs éléments.
    La microgravité et ses effets sur le corps humain
    Nous savons, grâce aux études et observations menées sur les astronautes partis plusieurs mois en mission, que la microgravité vécue à distance de la Terre entraîne des répercussions sur le corps humain. La circulation sanguine, par exemple, est altérée, ce qui peut compliquer l’excitation sexuelle, basée sur un afflux sanguin vers les organes génitaux. La gravité sur Terre aide le sang à atteindre les extrémités du corps, ce qui n’est plus le cas lorsque l’on s’éloigne de notre planète. L’apesanteur s’avère aussi néfaste pour le système cardiovasculaire et le développement des muscles et des os, autant de points qui peuvent entraver la poursuite d’un rapport sexuel classique.
    Les défis de l’environnement spatial
    Sans gravité, deux partenaires pourraient rencontrer des difficultés à stabiliser leurs corps et à trouver des positions confortables. Les mouvements qui unissent deux personnes ayant un rapport sexuel sur Terre reposent beaucoup sur la pesanteur. Dans l’espace, les partenaires devraient faire preuve d’un effort accru et d’une coordination efficace. Ils devraient ainsi se sangler aux parois pour pouvoir rester en contact permanent, ou trouver des alternatives similaires.
    Dans les vaisseaux spatiaux, qui sont des environnements confinés et pressurisés, il est rare de trouver de l’intimité. La restriction spatiale peut rendre les rapports sexuels inconfortables au niveau psychologique, mais aussi physique avec des pièces exiguës laissant peu de place au mouvement.
    L’impact de l’enfermement
    Les missions spatiales de longue durée ont un réel impact sur la libido et les relations interpersonnelles. Qu’il s’agisse de l’isolement, du stress de la mission ou des tensions avec d’autres membres de l’équipage, tout l’environnement concourt à la réduction du désir sexuel, amplifiée par un sommeil souvent moins réparateur.
    Concevoir un enfant dans l’espace, mission impossible ?
    Au-delà de la sexualité, la reproduction humaine elle-même semble difficile à mettre en œuvre dans l’espace. L’absence de gravité terrestre pourrait altérer la capacité des spermatozoïdes à migrer vers l’ovule. Même en cas de fertilisation, l’embryon devrait se développer dans un environnement contraignant qui pourrait entrainer des risques pour sa santé. Cependant, des études menées sur des embryons de souris ont montré que la microgravité n’empêchait pas un développement normal des fœtus. Dans tous les cas, il reste encore beaucoup à apprendre sur la sexualité dans l’espace afin de concevoir des solutions aux défis qu’elle pose.


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    • 2 min
    Pourquoi les testicules sont à l’extérieur du corps ?

    Pourquoi les testicules sont à l’extérieur du corps ?

    Organes reproducteurs masculins, les testicules sont contenus dans une poche tissulaire appelée scrotum. Celle-ci pend au niveau de l’entrejambe. L’un des premiers gestes médicaux chez un nouveau-né garçon consiste d’ailleurs à vérifier la présence des deux glandes dans le scrotum. Cette localisation inhabituelle par rapport aux autres organes internes s’explique d’un point de vue reproductif. Étudions en détail les mécanismes de la fertilité et l’influence de la position des testicules sur la reproduction humaine.
    Anatomie et fonction des testicules
    Les testicules sont suspendus dans le scrotum, une structure située à l’extérieur du corps. Ils comportent différents compartiments.
    Les tubules séminifères sont les canaux où se déroule la production des spermatozoïdes.
    Les cellules de Leydig se situent entre ces canaux et produisent l’hormone mâle sexuelle, la testostérone.
    L’épididyme forme un conduit enroulé dans lequel les spermatozoïdes mûrissent et sont stockés avant l’éjaculation.
    Les testicules servent donc à la fois à produire des millions de spermatozoïdes quotidiennement, et à produire la testostérone qui régule la libido, le développement des caractères sexuels masculins ainsi que la masse musculaire.
    Pourquoi une localisation externe ?
    La production de spermatozoïdes de qualité nécessite une température légèrement plus basse que celle de la température corporelle normale, autour de 35°C au lieu des 37°C mesurés dans les organes internes. Si la température est trop élevée, la spermatogénèse est inhibée et les spermatozoïdes produits ne sont plus efficaces. C’est d’ailleurs ce principe qui est utilisé dans la contraception avec des slips chauffants : ces dispositifs augmentent localement la température des testicules pour contrer la fertilité masculine.
    Les testicules étant situés à l’extérieur du corps, il est plus facile pour l’organisme d’y maintenir une température un peu plus basse. Le scrotum possède en outre ses propres mécanismes de régulation pour contrer une éventuelle chaleur néfaste à la spermatogénèse.
    Les muscles du scrotum et leur influence sur la température
    Le scrotum contient deux muscles essentiels pour réguler sa température. Le muscle crémaster soulève ou abaisse les testicules dans le scrotum en fonction des besoins. S’il fait chaud, il se relâche pour les éloigner du corps et les refroidir. S’il fait froid, il se contracte afin de rapprocher les testicules du corps pour les réchauffer.
    Le muscle dartos, lui, peut aussi se contracter ou se détendre en réaction à la température. Il va alors réduire ou augmenter la surface exposée des testicules, permettant un refroidissement ou un réchauffement plus efficace.


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    • 2 min
    Pourquoi se frotte-t-on les yeux lorsque l’on est fatigué ?

    Pourquoi se frotte-t-on les yeux lorsque l’on est fatigué ?

    La fatigue occasionne souvent des réactions corporelles spécifiques comme les bâillements ou les clignements plus lents des paupières. Un autre de ces gestes d’apparence anodine est celui de se frotter les yeux. C’est un phénomène remarquable chez les nourrissons qui, très tôt, frottent leurs poings contre leurs paupières fermées lorsqu’ils sont fatigués. Pourquoi agissons-nous instinctivement de la sorte, et quelles sont les conséquences de ce geste ?
    La fatigue oculaire et ce qu’elle entraine
    Face à la fatigue, notre corps réagit de différentes façons, notamment en réduisant notre concentration et en diminuant nos performances générales. Les yeux, en particulier, réagissent rapidement à un épisode de fatigue. Sollicités en permanence lors de nos activités, ils font partie des organes les plus facilement touchés par le manque de sommeil.
    L’asthénopie, terme scientifique pour désigner la fatigue oculaire, se manifeste par une sensation de lourdeur, voire de douleur autour des yeux. Elle s’accompagne souvent de maux de tête. Elle rend beaucoup plus difficile la synchronisation des deux yeux pour assurer une bonne vision.
    Nos globes oculaires sont effets contrôlés par des petits muscles, les ciliaires et les orbiculaires. Ces muscles régissent les mouvements de paupière et ajustent le focus de la vision. Lorsqu’ils sont trop utilisés, ils se fatiguent et occasionnent une sensation générale de tension oculaire avec une baisse de l’acuité ou des capacités visuelles.
    Les frottements et leurs conséquences
    La tension ressentie dans les yeux en cas de fatigue nous pousse à frotter naturellement nos paupières. Mais ce geste pourrait en fait avoir certaines vertus bénéfiques. Par exemple, le mouvement de frottement stimule les glandes lacrymales, qui produisent alors davantage de larmes pour lubrifier et nettoyer la surface de l’œil. C’est le même processus que lorsque nous avons les yeux irrités par un corps étranger ou par un air sec.
    Le frottement des yeux favorise aussi la libération d’histamine. Il s’agit d’une substance chimique qui entraine une légère inflammation locale, et se manifeste par des yeux rougis. Elle soulage la sensation de démangeaison et la fatigue oculaire en stimulant les nerfs autour des yeux.
    Se frotter les yeux pourrait aussi constituer un réflexe protecteur. Par la stimulation des nerfs entourant les yeux, le frottement contribue à envoyer des signaux apaisants au cerveau. Il permet de limiter la sensation de stress qui va souvent de pair avec la fatigue. D’autre part, en éliminant les débris et particules accumulés à la surface de l’œil, le frottement offre aussi un soulagement physique immédiat.


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    • 2 min
    Pourquoi les genoux craquent parfois quand on bouge ?

    Pourquoi les genoux craquent parfois quand on bouge ?

    Vous faites des squats, vous vous relevez d’une chaise, ou vous pliez une jambe pour faire vos lacets et vous entendez un claquement sec qui peut sembler inquiétant. Vos genoux craquent régulièrement ? Généralement inoffensif, ce bruit se manifeste à tout âge et sans condition particulière.
    Fonctionnement du genou
    Articulation complexe, le genou fait la liaison entre le fémur de la cuisse, le tibia de la jambe et la rotule. Il comprend des cartilages pour faciliter le mouvement, des ligaments pour stabiliser l’ensemble, ainsi que des tendons qui relient les muscles aux os. Les ménisques, petits coussins cartilagineux, amortissent quant à eux les chocs.
    Lors d’une flexion ou extension de la jambe, le cartilage et le liquide synovial qui lubrifie l’articulation fluidifient le mouvement. Malgré ces précautions, des craquements peuvent se faire entendre pour plusieurs raisons.
    Craquements et origines des bruits
    Distinguons d’abord les différents bruits articulaires. Les craquements sourds proviennent souvent des mouvements de tendons et des ligaments. Les cliquetis plus nets tendent à provenir des tendons ou des ligaments qui se déplacent contre les os. Les grincements, plus inquiétants, indiquent une possible usure du cartilage occasionnant des frottements inhabituels.
    En général, les craquements inoffensifs produits lors de mouvements des jambes sont dus à des petites bulles de gaz présentes dans le liquide synovial. Le changement de pression induit par la flexion ou l’extension fait éclater ces bulles, ce qui provoque un petit bruit sec. L’on appelle ce phénomène la cavitation.
    Lorsque les ligaments ou les tendons glissent un peu trop rapidement sur un os, ils peuvent aussi produire des bruits semblables à des craquements ou des cliquetis, sans gravité.
    En revanche, si le bruit s’accompagne de douleurs, il peut provenir d’un cartilage usé qui ne protège plus les os. Ces derniers frottent alors entre eux lors des mouvements, provoquant des grincements et une sensation désagréable.
    Des causes pathologiques
    En-dehors des causes normales, il est possible que les genoux craquent à cause de conditions médicales sérieuses. L’arthrose, par exemple, entraine la dégénérescence du cartilage qui conduit à des frottements entre les os. Les tendinites et bursites, inflammations localisées des tendons et des bourses, provoquent aussi des bruits articulaires à cause des mouvements anormaux de l’articulation. Enfin, des blessures antérieures comme des fractures ou des déchirures des ligaments modifient parfois la mécanique du genou en profondeur, entrainant des frictions anormales qui se manifestent par des bruits au mouvement.

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    • 2 min
    Pourquoi a-t-on tous des rêves récurrents (tomber dans le vide, perdre ses dents...) ?

    Pourquoi a-t-on tous des rêves récurrents (tomber dans le vide, perdre ses dents...) ?

    Malgré la grande diversité qu’il peut y avoir entre nos valeurs, nos aspirations et nos parcours de vie, nous faisons souvent des rêves récurrents partagés par la plupart des humains. Vous est-il déjà arrivé de rêver que vous tombiez dans le vide, que vous vous noyiez, que vous étiez poursuivi ou que vous perdiez vos dents ? L’universalité intrigante de ces thèmes repose sur différents concepts psychologiques et neurobiologiques.
    Définition du rêve
    Le rêve se manifeste par une succession d’images, d’idées, d’émotions et de sensations. Il se produit généralement durant la phase de sommeil paradoxal. C’est une activité mentale inconsciente qui reflète aussi bien nos préoccupations que nos désirs ou nos expériences.
    L’on peut distinguer trois types de rêves. Les rêves normaux se produisent aléatoirement, sans répétition particulière. Les rêves lucides permettent à la personne de contrôler le déroulement du rêve, ou, a minima, d’être consciente de son état endormi. Les rêves récurrents, eux, se répètent régulièrement avec des thèmes ou des scénarios similaires. Ils s’accompagnent souvent de sentiments intenses de peur, d’anxiété ou de frustration.
    La cause des rêves récurrents
    Le stress et l’anxiété déclenchent volontiers des rêves récurrents. Notre cerveau a besoin de traiter les émotions vécues durant des situations anxiogènes, ce qu’il fait pendant le sommeil au moyen de rêves qui se répètent.
    Sigmund Freud, le fondateur de la psychanalyse qui étudie attentivement les manifestations inconscientes du psychisme, pense que les rêves reflètent nos conflits et désirs refoulés. Carl Jung, dans son sillage, voit les rêves récurrents comme des messages de l’inconscient pour nous aider à résoudre des problèmes ou à mieux comprendre notre psyché.
    Si l’on souscrit aux théories psychanalytiques, l’on peut associer chaque rêve à un symbole. Par exemple, tomber dans le vide signifie perdre le contrôle. Perdre ses dents symbolise l’inquiétude dans l’apparence et la communication, ou la crainte de vieillir.
    Les rêves récurrents proviennent aussi probablement d’expériences quotidiennes et de préoccupations que nous ne parvenons pas à traiter consciemment. D’un point de vue neurobiologique, les rêves récurrents résultent du processus du cerveau durant le sommeil paradoxal pour consolider les souvenirs et traiter les émotions intenses de la journée.
    La fonction des rêves récurrents
    La fonction cathartique des rêves récurrents est assez claire : en revivant des scénarios similaires, le cerveau travaille à la résolution des conflits émotionnels. La prévalence de certaines situations dans la vie d’un humain comme le décès d’un proche, la maladie, la perte d’un emploi, les déceptions amoureuses ou les traumatismes divers explique pourquoi nous partageons souvent des rêves récurrents très semblables.
    Les rêves récurrents pourraient aussi constituer des mécanismes évolutifs de survie. En simulant des situations menaçantes, ils aideraient l’individu à se préparer pour y faire face plus efficacement.


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